Chapitre 7 : Ne me laisse pas

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Le repas s'était terminé assez rapidement, et Harry n'avait pas osé aller voir Severus, pensant qu'il valait mieux le laisser tranquille pour ce soir. Il avait donc passer sa soirée avec Drago, tout deux s'étant balader sur le terrain d'entraînement qui soit dit en passant était très grand.

- Alors quelqu'un t'intéresse c'est dernier temps ? Demanda Drago.

- Non pas spécialement, et toi ? Répondit le Gryffondor.

- Ne me dis pas que personne n'a réussi à voler le cœur du survivant. Plaisanta-t-il, esquivant ainsi le fait de devoir aussi répondre a la question.

- Depuis Ginny et ses philtres d'amour, je reste à l'écart de tout ça.

- Elle t'a vraiment traumatisé, j'aurai peut-être du te prévenir à l'époque. S'exclama le blond avec un sourire moqueur.

- Quoi tu étais au courant ? Prononça Harry l'air offensé.

- Tout le monde savait, je te l'aurai bien dit, mais j'avais ma propre fan girl a géré. Dit-il ce qui fit rire le brun.

- Pansy ? Demanda-t-il pour être sûr.

- C'est bien elle. Répondit Drago. Elle n'était d'ailleurs vraiment pas douer.

- Ginny non plus tu sais. Soupira l'ancien Gryffondor.

- Ouais, mais elle au moins elle a réussi a t'avoir avec des philtres, Parkinson n'a jamais rien réussi elle.

- C'est vrai que vue comme ça. N'empêche tu te rends compte une Gryffondor qui bat une Serpentard. S'exclama Harry sur un ton moqueur.

- Elle est simplement l'exception qui confirme la règle, sinon tout Serpentard est meilleur qu'un Gryffondor. Prononça Drago en faisant le fier.

- Ah bon ? Pourtant, je me rappelle d'un Serpentard qui n'était pas capable d'attraper une balle balle.
Répondit Harry en rigolant ce qui lui valut un coup de coude dans le bras.

- Je te laissais simplement gagner. Répondit Drago avec un léger sourire avant de se mettre à rire a son tour.

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Du côté de Gellert Grindelwald, tout semblait sans couleur, ou plutôt l'homme semblait être comme dans un cauchemar, torturé par ses émotions. Celui-ci était d'ailleurs retourner a sa villa, et avait essayé tant bien que mal de se changer les idées, mais rien à faire, son sang bouillonnai encore dans ses veines, sans parler de son passé qui le torturait. Ne pouvant attendre le lendemain, il attrapa son manteau avant de se diriger vers l'appartement de Perceval, qui se trouvait en face de celui du survivant toujours vide. Il transplana donc devant l'immeuble, avant de monter quatre à quatre les marches et de tambouriner a la porte de l'ancien directeur, qui vint ouvrir a contre cœur.

- Gellert il est deux heures du matin. Gronda Perceval.

Grindelwald n'avait d'ailleurs pas répondu, celui se contentant d'attraper notre homme par les épaules, mais avant qu'il ne puisse tenter quoi que ce soit, Perceval le maîtrisa, le faisant par la même occasion tomber au sol.

- Non Gellert. S'exclama l'ancien directeur d'une voie fatigué. Tu as assez joué, trouve-toi un autre jouet.

- Albus... Répondit Grindelwald d'une voix semblant blesser. Je t'en supplie... Je suis désolé...

- Tu crois vraiment que t'es excuse suffiront a pardonné tout ce que tu as fait ? Prononça Perceval qui maintenaient toujours l'homme au sol. Et pitié cesse de m'appeler Albus, vas t'en maintenant. Dit-il d'un voix agacée avant de le lâcher.

Nouvelle vie (Grindeldore/Snarry)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant