Quarantine with Noah Centineo

49. Hannah

Hey !

Saviez-vous que cette fiction avait été lue presque 8000 fois ? Je trouve cela incroyable.

Je vous remercie sincèrement et je suis vraiment contente de voir qu'elle plaît toujours et que vous continuez de venir lire.

Je remercie évidemment @eyachocolat2 et @aikoomona qui me suivent depuis le début et laissent des commentaires à chaque fois. Vous ne pouvez pas savoir à quel point ils me font plaisir.

Voici le chapitre 49, sachez que c'est le dernier du point du vue d'Hannah, car notre histoire touche bientôt à sa fin... Moi non plus je ne veux pas quitter Noah et Hannah, mais... il le faudra bien. Vous l'avez donc compris, le prochain chapitre que je posterai sera le dernier de cette histoire.

Allez assez de blabla, gardons nos larmes pour la semaine prochaine ! 

Enjoy ;)

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En nous remémorant cette soirée, je m'aperçois que ce que nous nous étions dit à l'époque était tout sauf une déclaration d'amitié. Nous sommes-nous toujours voilé la face par rapport à ce que nous ressentions réellement l'un envers l'autre ? N'étions-nous pas déjà amoureux à ce moment-là ? J'ai l'impression que si.

- Mieux vaut tard que jamais hein ? me demande Noah en souriant.

Je lui souris et il me fait un clin d'œil.

- Toi et moi, chuchote-t-il en me prenant dans ses bras.

- Toi et moi, répété-je avant de poser ma tête contre son torse.

*** 15 jours plus tard ***

Noah tient ma main fermement dans la sienne alors que nous marchons dans les rues de Vancouver. J'ai l'impression que c'est la première fois que nous nous affichons ainsi, ne l'est-ce pas réellement d'ailleurs ? J'ai le ventre noué, sans bien comprendre pourquoi. Il me parle, mais je ne prête pas attention à ce qu'il me dit. J'ai le sentiment que tout le monde nous observe. Noah sent que je ne suis pas à l'aise car il m'entraîne vers le coin d'une rue moins animée.

Il pose son skate à ses pieds, enlève son bonnet, le cale dans sa poche arrière et m'attire à lui pour me serrer contre lui.

- Tu angoisses babe ? me murmure-t-il.

Je hoche la tête, collant mon oreille encore plus contre son torse afin d'entendre battre son cœur.

- Il n'y a pas de quoi. Tu as vu que les gens t'aiment et il ne faut pas tenir compte de leurs avis. Moi, je m'en fous.