Le Perdant Radical

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De retour dans le passé, année 1975 le 1er novembre.

Beyond a été mis au courant de la frayeur qu'eut Grâce, en entendant parler d'un homme qui rit.
Naturellement, il voulait en savoir plus et c'est grâce à son statut de général retraité qu'il eut secrètement la chance de pouvoir étudier une pièce à collection, contenant la preuve de la culpabilité du père de Penny.

On lui a autorisé l'accès, au journal de Michael Satory. Là où ce-dernier, raconte ces affaires criminelles.

Une l'intéressait avant tout, c'était l'affaire Verga. Alors, il se mit à lire cette affaire, là où sa fille a aussi participé à l'enquête.

Journal de Michael Satory

Date : 25 décembre 1956

Vous avez peur de moi mais je ne suis pas le criminel. Moi, je suis celui qui hante leurs nuits.

Le service de police de Londres, m'a contacté pour m'occuper d'une affaire qui dure depuis bien longtemps.

2 ans.

Le préfet m'a chargé de cette affaire avec pour me seconder l'agent White, une femme très prometteuse. Qui est de plus la fille de Johnson White alias Beyond.

Elle m'expliqua l'affaire :

« Un homme depuis 1954 se mit a kidnappé des personnes. Il enlève au départ, une personne au hasard puis il prends 3 de ses proches dont une personne au hasard également.

On va nommer la première personne kidnappée, la personne A.

Ce « Verga » impose à la personne A un dilemme. Parmi les 4 personnes présente devant lui, il doit en tuer deux. Et il dispose d'un délai d'une heure pour faire son choix et donc d'en parler avec eux :
- Dans le cas où la personne A choisi de tuer personne. Alors Verga, tue les 4 personnes réunies devant lui.
- Si A décide de mourir à la place des 4 autres personnes. Alors, Verga ne tue pas A mais tue uniquement les connaissances de celui-ci.

C'est le mode opératoire du serial killer, et les informations sont données grâce à des témoignages. Mais les victimes sont drogués donc les descriptions physiques de Verga sont relatifs.

Les témoignages cohérents, nous ont permis de constaté :

- Il se déguise en clown et se met à rire presque systématiquement.
- Il prône des discours concernant la liberté.
- « Son regard et son sourire n'ont rien d'humain. On y voit uniquement le mal incarné. »

Il y a beaucoup de flou dans les témoignages mais on sait que ces personnes ont été portées disparu à cause de lui. Ont été retrouvé dans des endroits aléatoires cela laisse à supposé que le tueur n'a pas d'endroit fixe, pour commettre ses méfaits.

Une victime a même été retrouvée chez elle avec tous les autres retrouvés mort tué par Verga.

Comprenez vous l'affaire, détective Satory ? »

Je lui ai donc répondu :

«  Vous avez fait une terrible erreur. Vous n'avez pas retenu le témoignage de ceux qui sortaient soi-disant de la cohérence. Nous devons trouvé un monstre, alors même les dires les plus improbables sont à prendre en considération, pour le trouver.

Réunissez tous les témoins, je vais procédé à l'interrogatoire. »

Date 27 Décembre 1956

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