N'y a-t-il pas plus belle fin que la mort ?
La mort est pour moi la seule et unique véritable conclusion d'une histoire. Du fait simple, chacun est le protagoniste de sa propre vie.
C'est différent des contes de fées pour enfant, qui laissent à sous-entendre que dans la vie le "Happy End" existe. Une manière d'être positive mais hélas totalement erroné et illusoire.
Il n'y a pas d'Happy End car la vie continue.On peut vivre une vie heureuse et avoir une mort horrible, comme l'inverse. Avoir une vie malheureuse et mourir en étant heureux.
Mon premier patient Daniel O'Bryan, en est la preuve.Certaines personnes pensent que les miracles n'existent pas, n'arrivent uniquement que ce qui peut arriver.
Cependant, l'amour qu'eut Lisa à Ase est comparable à un miracle.
En effet, Lisa D.L Clarkes avait toutes les raisons pour détester Ase, mais elle l'aimait. Ce qui est presque improbable, pourtant ce phénomène existe chez bien d'autres et je ne saurais donner l'explication. D'où le fait que je le qualifie, comme étant un miracle.Maintenant il y a ma patiente Amina Street, né et élevé d'une pauvre famille à Londres.
Une musicienne laissant parler souvent son art, âgé de 35 ans. Étant marié, avec deux enfants.Nous sommes en 1999 en fin d'année, Amina Street continue de vivre en pensant qu'elle peut être sauvée.
Ayant un cancer en phase terminale, ces jours sont comptés.Sa future séparation avec sa famille est ce qui la déchire le plus, ne pouvant donc pas voir ces enfants grandir et encore...
La mort lui arrache, ses plus grands souhaits.
Mourir signifie aussi la fin des rêves poursuivies. C'est ce qui fait, son côté assez triste.
Mourir sans pouvoir réaliser ses rêves, c'est la victoire du désespoir.
L'espoir fait vivre, le désespoir tue.
Penny Satory.
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Les derniers instants
Bí ẩn / Giật gânUn être humain est lié au sentiment, la raison et à la survie. Cependant, il est confronté au mal, qui est devenu une caractéristique chez lui. Vivant sans se soucier, qu'un jour son âme goûtera à la mort.