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J'ai remarqué qu'il y avait des fautes de frappe avec un prénom. Si vous voyer Galène il manque un I donc c'est Galiène et non Galène voilà voilà.

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Tout est près. C'est le grand jour. Allonger, prête à tirer j'attends avec patience le bon moment.

Il fais nuit noir se soir. Même la lune c'est cacher. Elle n'est pas la. Sa lumière n'éclaire pas la pénombre.

Une voiture se s'arrête près du hangar. Cela doit être lui. Galiène. Le conducteur descends en premier puis fait le tour de la voiture pour ouvrir à Galiène et deux gardes. Ils en descendent et marches en direction du bâtiment. Ils y rentrent et un des garde  ferme la grande porte.

Fait chier ! Putain de merde !

La porte fermée change tout mon plan. Il était censé la laisser ouverte.
Heureusement j'ai toujours un pistolet semi-automatique sur moi.

Je me lève puis le prends dans mon dos, entre ma peau et mon jean. Je me mets en position de combat et trottine vers le hangar. Arriver devant j'entre sans un bruit à l'intérieur.

Je monte l'escalier en silence. À l'étage se trouve plusieurs grands bacs en bois. Je suppose qu'il y a de la drogue dedans. Je m'assois et m'adosse à l'un d'entre eux. Je tourne la tête et observe Galiène et un autre homme.

Ils sont tout les deux assis l'un en face de l'autre. Ils se parles. 

Galiène a une carrure plus imposante que l'homme en face de lui, que je ne connait pas. L'homme est blond aux yeux vert. Il est aussi fin qu'une brindille. Ses cheveux son plaqué en arrière. Quand à Galiène ses cheveux brun son laisser en désordre. Je ne peux que voir son dos. Les deux porte des costume cravate, de couleur bleu fonce et bleu clair pour l'homme et noir et rouge pour Galiène.   

Si je tire les gardes à l'extérieur, qui ne m'ont pas vus rentrer, vont fermer les sortis et je vais me faire prendre. Il faut que je réfléchisse et vite. En levant les yeux vers le plafond j'aperçois une trappe qui mène à l'extérieur du toit. J'ai ma sortis. 

Je me retourne et vise l'arrière du crâne de Galiène. Je prends une grand inspiration et tire. La balle part dans un gros bruit. Elle rentre dans sa tête et en ressort. pour divagué vers l'épaule de l'autre homme. Les cris de douleur de l'homme résonne dans tout le hangar. J'entends les grande portes s'ouvrir et se refermer. J'entends des clés, se qui signifies qu'ils ferme les portes. 

Il est temps pour moi de partir. Je me lève, remet mon pistolet dans mon dos et me hisse sur la pointe des pieds. J'ouvre la trappe et saute. A l'aide de mes bras je sors. Accroupie sur le toit je referme la trappe. Maintenant la question c'est comment je vais descendre ? En fessant le tour du toit je tombe sur une grande poubelle. Sa sens pas la rose mais c'est parfait. Avec sa je vais m'en sortir avec aucune égratignures. 

Je recule de quelques pas et commence à courir. Je saute et atterrie dans la poubelle.  Je coupe ma respiration et sort de là.  Je prend de grand inspirations et expirations et me mets à  courir. Je vais chercher le Barret M82 qui sur la colline d'en face. Je fais le tour de cette colline et monte. J'arriver à l'endroit ou je devait tirer au départ. 

Les gardes sorts du hangar. J'ai une idée ! Un de plus o un de moins sa ne change rien et puis j'ai bien envie d'utiliser se petit bijou. Je m'allonge et me mets en position.  Je mets mon œil droit dans le viseur. Une balle part dans le tête d'un des deux gardes de Galiène. Une autre parts dans le torce du deuxième garde. 5 autres gardes sorts. Je s'oppose que c'est eux de l'autre homme. Je les tue tous un par un. Ce bijou est fantastique. 

Je me relève et emporte avec moi l'arme.  Je cours jusqu'à arriver à ma voiture. J'ouvre le coffre et pose l'arme puis le referme. J'ouvre ma portière et rentre dans ma voiture, je la referme et démarre.  





Une VengeanceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant