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  Ivan me tire si fort que je sens que je vais encore avoir un bleu. A l'extérieure de la pièce il fais aussi noir qu'à l'intérieure. Il appuis sur un interrupteur qui allume de la lumière. Il me fais monter des escaliers puis ouvre une porte. Il me pousse à l'extérieure. Il l'a fait tellement fort que j'en tombe à genoux par terre. La lumière du jour éclaire tout le lieu. La pièce est grande , très grande. Je l'entends fermer la porte. Il viens à coté de moi puis me reprends par le bras me soulève et me pousse vers un autre escalier. J'avance. Je monte chaque marche en me demandant se qu'il va m'arriver. 

Nous arrivons sur un long couloir avec des portes tout les 5 à 6 mètres. Je continue à marcher jusqu'à se qu'il me demande de m'arrêter devant une porte, blanche comme toute les autres. Il ouvre la porte et me pousse à l'intérieure et la referme. 

Un grand lit baldaquin trône au milieu de la chambre. Deux table de chevet son de chaque cotés de celui-ci avec deux lampe qui pendouille au-dessus.  Un petit ban se trouve au bout du lit. La chambre est grande. En me retournant je tombe sur une porte et une armoire juste à coté. J'ouvre cette porte. Une salle de bain ci trouve à l'intérieure. J'y rentre. La première chose que je vois son des sous-vêtement posé sur un petit meuble à coté de la douche. Je me poste devant le miroir. 

Mon état est horrible. Je suis couverte de bleu. Me robe est complétement déchiré et elle sens le sang. Et les point de sutures sont plein de sang séché. Je décide de faire une douche. J'ai beaucoup de mal à me déshabiller à cause des bleus. Je laisse ma robe et mes sous-vêtement devant la baignoire et file à la douche. 

L'eau chaud qui coule sur mon corps me fais énormément de bien. Elle me détends. Je lave mon corps comme je peux. En passant sur les ponts un cris de douleur m'échappe. Je prends une grande inspiration, me dépêche de finir et sort de la douche. Je mets les sous-vêtement propre et me rends comte que je peux mettre que sa et un peignoir vus que ma robe est bonne à mettre à la poubelle. Je sors de la salle d'eau et m'assois sur le lit. 

En y réfléchissant bien je comprends pas. Pourquoi me donné une chambre et me permettre de faire une douche alors qu'il est sensé se venger de moi pour la mort de son père. Ou alors il prévois autre choses. Mais quoi ? Attends attends... Il va me vendre. Il me donne seulement de la lingeries rouge pour qu'on vois mon corps. Il pourra me vendre à personne vus mon état. Je ne vais attirer aucun connard pervers. Mais je suis quand même pas sereine. En même temps j'ai de quoi. 

La porte s'ouvre de nouveaux sur l'homme aux yeux bleu. Il fais rentrer des chaînes et trois autres hommes  avec lui. Ils sont vêtues de la tête au pieds. Je ne peux que voir leurs yeux. Le stresse monte en moi, je l'avoue.  Je sais bien qu'il vont m'attacher et me détruire jusqu'à la mort.  Me torturer me violer... Limite tout se qu'il leur passe par la tête. Mais j'en ai rien à foutre. J'ai venger mes parent maintenant je peux mourir tranquille.  

"- Comment ma petite Laïs ? 

 - Tu vas faire quoi de moi ? 

 - Sa tu vas très vite le découvrir. 

 - Tenez la ! "

Un des trois viens me prendre au cou et me ramène au milieu du lit. Je me défends comme je peux. Je lui assème un coup dans la hanche droite. Par miracle j'arrive à me lever du lit mais on mis remet de si tôt. 

"- Lâchez moi !  cris-je 

 - Sa serrai plus agréable que tu te calme Laïs ! 

 - Laisse moi partir et je me calmerai ! 

 - Tu es drôle ! " 

Ivan sourit pendant que ses hommes me maintien au milieu de lit. Il prends une de mes chevilles puis lui entour le morceaux de cuire au bout de la chêne. Il entour l'autre à la pate du lit. Il fait de même avec mes poignet et mon autre chevilles. Il fait un signe de la main et ses homme sorte de la chambre. Il s'assis à ma droite.  

"- Je pense qu'il est mieux de mettre les choses au claire, tu ne pense pas ? 

 - Tu vas faire quoi de moi ? 

 - Moi je viendrais juste de défouler sur toi quand j'en aurais envie mais par contre de devrais plus te soucier de mes hommes. 

 - Pourquoi ? 

- Tu vois j'ai hésiter à faire sa parce que j'ai un minimum de respect. Mais je me suis souvenue que toi tu n'es n'a eu aucun en couchant avec moi juste après la mort de mon père. Que tu sache qui j'étais à ce moment la ou pas j'en ai rien à foutre. Alors du coup je me suis dis que je pourrais laisse mes hommes et moi même peut-être, je sais pas trop encore, profité d'un beau corps comme le tiens. Tu comprends c'est pas tout les jours qu'on en vois des aussi beau comme celui-là. dit-il en caressant ma cuisse 

 - T'es qu'un sal fils de pute ! cris-je 

 - Ma mère n'était pas une pute. "Me dit-il en me giflant. 

Je sens que j'ai touché un point sensible. 

 "- Toi en tout cas tu vas devenir une pute. Contre ton grés peut-être mais une pute. Si sa peux te rassurer une pute privé. Pour l'instant  ! "

Il se lève et sors de la pièce. 

Une VengeanceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant