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Ma tête me fait horriblement mal. Tout mon corps est engourdie. J'ai des fourmis dans les jambes. J'ouvre les yeux mais ne vois que du noir. J'essaye de bouger mais en vain. Mes poignets et mes chevilles sont accrocher aux pattes et aux accoudoirs. Je suis assise sur une chaise dans le noir complet. 

Putain mais quand j'y repense c'est logique.  J'ai été stupide même vraiment conne. On ne peut pas faire confiance à Alëxys Turgenev. Je le savais mais je me suis dis que vus qu'on avait un contrat ensemble et que j'avais fais à la lettre se qu'il voulait que je fasses je pouvais lui faire confiance. Mais nan cruche comme je suis j'ai foncer dans le tas sans me douter qu'il pouvait y avoir n'importe quelle autre danger. J'ai été conne et maintenant je vais en payer les conséquence.  Je suis pas prête à sa. Mais je vais assumer. J'ai tuer son père, il doit avoir le même sentiment destructeur que j'ai eu. Alors je vais assumer jusqu'au bout, jusqu'à ma mort. 

J'entends une porte s'ouvrir. Puis une grande lumière vient attaquer mes yeux. Je les fermes d'és lors ou je sens la lumière. J'entends ensuite des gens entrer dans la pièce, je conçois qu'ils referme la porte et qu'ils allume une lumière. J'arrive à rouvrir mes yeux petit à petit. En premier je persoie des silhouettes puis des hommes debout devant moi. Une fois la vision bien claire je tourne la tête autour de moi pour voir se qu'il y a. Une table et une chaise avec des ustensiles de torture est poser à ma droite. Un matelas piteux est, lui, à ma gauche. Les trois hommes en face de moi sont habillés tout en noir. Je les fixe comme ils le font pour moi. 

"- C'est dommage d'avoir tuer Galiène. Son fils va te détruire mentalement et physiquement." Me dit l'un d'eux placer tout à droite. 

Je leur lance un regarde noir puis baisse la tête pour voir mes jambes. Je relève la tête quand j'entends la porte se rouvrir. Mes yeux tombes sur ceux de Ivan Ivanov. Il entre et demande à ses hommes de partir se qu'ils font sur le champs. Ivan se dirige vers la chaise et la prends. Il se place devant moi avec la chaise puis s'assoie à califourchon sur celle-ci. Il pose ses deux mains chacune sur une de mes cuisses. 

"- Ne me touchez pas ! Lui crache-je 

 - Il y à de cela quelque jours, tu me réclamer de te toucher encore et encore. Etrange. Me dit-il " 

Je le regarde noir alors que lui souris comme un enfant. 

"- Tu sais, jamais je n'aurais penser que mon père murirais par vengeance de plus par une fille comme toi par exemple ou par une fille tout court. Je pensais plus tôt qu'il murirait de vieillesse ou alors d'une maladie comme le cancer ou une crise cardiaque. Mais tu vois pour être honnête tu m'impressionne et tu me fais rire à la fois. Tu m'impressionne parce que tu as réussie à tuer un chef de mafia mais tu me fais rire parce que tu ne t'ai même pas dis que en conséquence de tes actes tu allais être traqué. 

 - Bien sur que si. J'y ai penser. Vous croyez que j'ai demander la protection de Alëxys pourquoi ? 

 - Oui justement. Tu ne t'ai pas dis une seconde qu'il pouvait te trahir. Tu as foncer tête baisser. Tu lui a donner ta confiance sans te soucier du reste. Pourtant personnellement je trouve que te a été stupide. Se que te demandais Alëxys n'étais pas logique. Crois-tu vraiment qu'un chef de mafia aurais juste besoins que tu le supplie ? Nan Laïs. Dès que je lui est fais une offre, il n'a pas hésité une seul seconde. En revanche, pour être honnête, j'ai été surpris  quand je t'ai vus. Je ne m'attendais pas à voir la femme que je me suis taper le soir même de la mort de mon père. 

 - Je ne savais pas qui vous étiez à se moment la. Croyez vous vraiment que j'aurais coucher avec vous si je savais qui vous étiez ? 

 - Je ne suis pas vraiment sur mais je pense que oui. Sa aurais été un moyen de se venger du père mais aussi de fils en quelque sorte. Je l'aurais fais aussi ne t'inquiète pas. 

- Vous avez dis sa pour me rassurer ? 

- Nan, au contraire. Et puis avec se qui va suivre je n'ai pas à me donner la peine de te rassurer. 

- Qu'est se qui va suivre ? 

- Tu le verra bien assez tôt. " 

Il se leva puis alla à la table ou se trouve plein d'ustensiles. Il prit un couteaux et revient s'assoir en face de moi dans la même position. 

"- On va commencer gentiment, d'accords ? 

- On va rien commencer ! 

- Mais si tu vas voir sa va être marrant.  

- Marrant de rien du tout ! 

- Mais si regarde. " 

Un cris de douleur m'échappa quand il fessa glisser d'un coup sec le couteux sur ma cuisse  droite. Mon sang commença à couler. La douleur est grande. Ma cuisse est ouverte. Il me faut des points de sutures. 

"- Tu vois c'est pas si méchant que sa. dit-il sans aucune expression.  

 - Il me faut des points. Murmure-je avec douleur. 

- Qu'est ce que tu dis ? " 

Il se penche vers moi. Il place son oreille près de ma bouche. 

"- Il me faut des points de sutures. 

- Oh non c'est trop facile sinon. Tu vas attendre un peu. Je t'en ferais si j'en ai envie. "

Il se releva puis me roua de coups de poing. 












Une VengeanceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant