-moi: s'il te plaît harry, tu ne vas pas faire genre tu ne me reconnais pas hein! Non c'est trop facile comme ça. dis je en le regardant.
-harry: sais pas mais je ne me souviens pas trop bien, rappelle moi un peu où est ce que tu m'as connu s'il te plaît. Je rencontre tellement de gens de tous genre que voilà, me souvenir de tout le monde c'est un peu complexe pour moi. fit il normalement. J'espère que tu me comprends, parce que c'est pas contre toi.
Je le regarde avec les gros yeux avant de regarder les paires d'yeux des personnes autours de moi, braqués sur moi, alors je tourne ma langue dans ma bouche pour ne pas sortir des absurdités.
-moi: non c'est pas vraiment la peine de ressasser le passé, comme tu te souviens pas maintenant, j'espère que ça restera comme ça pour toujours. dis je en regardant maman. Mais pour Rayan qu'est-ce les docteurs ont dits? fis je pour changer de sujet.
-mam: ah il a eue une fracture au niveau du dos et il risque de rester un bon moment dans un fauteuil roulant. Mais pour l'instant ils l'ont plongés dans un comma artificielle à cause de la douleur. Grâce à Dieu il va s'en sortir à présent ma fille. en souriant.
-moi: Dieu merci alors. dis je.
-harry: je vais devoir rentrer Mariline vient de me manquer au téléphone.
-mam: c'est laquelle? demande t'elle.
-sarah: c'est une nouvelle là tu ne la connais pas tantine. dit elle l'air dégoûté.
-harry: c'était à toi qu'on avait posé la question? Mes affaires ne te concernent en rien il faut fermer ton clapet lorsqu'on parle de mon foyer, tu comprends? demande t'il durement.
-sarah: dit plutôt de tes foyers. lâche t'elle en croissant ses bras.
-harry: répète un peu?
-sarah: j'ai dit que tu devais parler de tes foyers, non mais tu penses que tu me fais peur? Non. Tu me dégoûtes tout simplement, tu penses que tes femmes sont des chiennes mais moi je ne suis pas ta femme, tu captes? Je ne suis pas sous tes ordres, je dis ce que je veux. dit elle en défiant son frère du regard.
-mam: on est à l'hôpital, vous n'allez pas commencé s'il vous plaît. Harry tu peux partir, s'il te plait sarah tu te calmes, d'accord!
Ils se lorgnent pendant quelques secondes et lorsque harry détourne son regard, il tombe sur mon regard, je le lorgne à mon tour avant de regarder à côté.
-mam: tu connais ton frère, pourquoi tu es obligé de commencer les hostilités? demande t'elle sur un ton doux.
-sarah: tata c'est pas moi, c'est lui et sa façon d'agir ça ne me plait pas. Tu vois comment il traite ses femmes? Et ses dernières arrivent à supporter son mauvais caractère juste à cause de son argent, chaque année il enceinte deux ou trois nouvelles femmes et sans compter celle qu'il nie la paternité. C'est simplement dégoûtant! dit elle avec une mine écœurante.
Là j'avais un coup au cœur, oui c'est horrible.
-mam: c'est maintenant qu'il commence à s'approcher de la famille, laisse le un peu de temps, tu pourras le faire des remarques plus tard s'il te plaît.
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Relève-toi.
Spiritualma vie entière se résume par: malheur après malheur, échec après échec, tristesse après tristesse, épreuve après épreuve. aujourd'hui encore si tout ne dépendait que de moi, je me passerai la corde au cou, ou encore je me jetterai du 7ieme pour fini...