-48- Parce-que je suis une âme partager

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Le repas c'était terminer assez rapidement, il faut dire que nous avions tous mieux à faire que de rester autour d'une table à discuter de tout et de rien, Ander était parti en premier mais ma mère m'avait gentiment demander de débarrasser la table avec elle et pas gentiment je sous entend bien-sûr qu'elle ne l'était pas, j'avais donc suivis ses ordres et une fois fini j'étais monter en haut, aussi vite que possible, je devait avoir des explication de la part d'Ander.
Je ne pris même pas le temps de frapper, j'entrais brutalement dans sa chambre le laissant soupirait bruyamment.

''Faut qu'on parle'' Lui dis-je aussitôt après avoir fermer la porte

''Ouais sa je m'en douter'' Dit-il en se redressant sur sa chaise de bureau

''C'est quoi cette histoire avec Nadia hein?''

Il me regarda et serra sa mâchoire, il avait cette fichu manie de faire sa lorsqu'il n'était pas en position de force.

''J'en sais rien moi, elle me plaît''

''À d'autres '' Dis-je dans tout mes état

''C'est quoi ton problème avec Nadia? C'est le fait qu'elle critique ton ami qui à le VIH ou tout simplement comme papa le fait qu'elle porte un voile?''

''J'en est rien à foutre de tout sa! Enfin pas vraiment pour l'histoire du VIH, mais c'est un autre débat, qu'est ce que tu fou Ander? Tu n'est pas avec Omar normalement?''

Il roula les yeux au ciel comme agacée par ce que je venez de lui dire mais je n'en avait rien à faire qu'il soit agacée j'estimais avoir complètement raison!

''T'es gay Ander pas Hétéro''

''Peut-être que je suis bi'' Dit-il dans le seul but de me contredire

''Arrête je suis pas ta mère''

''Alors arrête de gueuler comme elle''

''Je ne gueule pas!'' Dis-je en cran presque trop fort

''Qu'est ce qu'il vous arrive encore?'' Cria nôtre mère en bas des marches

Ander me regarda un sourire en coin, il était fier de lui.

''Non ça va désoler'' Dis-je haut et fort pour que ma mère entende ''Putain tu me saoul Ander, pourquoi tu fait sa?'' Dis-je en m'asseyant sur le bord de son lit

''Je viens de te le dire, j'apprécie Nadia''

''Et moi je t'es dis de ne jamais me mentir chose que tu fait là, pourquoi? Tu va lui briser le cœur''

''Non, elle sort avec moi uniquement pour que Guzman arrête de lui tourner
autour'' M'expliqua t-il simplement ''Je ne lui brise pas le cœur, c'est un bon procéder''

''Un bon procéder? Non mais tu rigole?''

''Et toi? Tu pense vraiment que tu est la bonne personne pour me faire la moral?'' Dit-il en se levant brusquement ''Tu utilise tout autant Guzman que moi j'utilise Nadia''

''Je n'utilise pas Guzman''

''Ah vraiment? Alors pour toi, te remettre avec Guzman alors que tu aime Christian sa s'appelle comment? Tu joue avec ses sentiments!'' Dit-il sur un ton plus fort

''Vas y crie, ta raison'' Dis-je en me levant me dirigeant vers la porte

''Tu va où?''

''Je vais pisser j'ai le droit?'' Dis-je en me tournant brusquement vers lui

Il ne répondit rien, poussa simplement violemment sa chaise avant de s'asseoir dessus, je sorti à mon tour de la chambre de mon frère fermant la porte doucement, je me dirigea vers la mienne, ferma la porte à clef et parti rouler une cigarette magique, j'en avais besoin, je détester me prendre la tête avec mon frère, c'était insupportable de ce dire que nous étions aussi proche, tellement que l'on préférait l'un comme l'autre se détruire au lieu de se construire.
Je regarda l'écran de mon téléphone, les yeux remplis de larmes, des larmes de colère, pas de tristesse, à vrai dire la tristesse n'était pas l'une des chose qui me faisait pleurer, non la tristesse je la vivait si mal que je prenez de la cocaïne, mon cerveau était si mal foutu, c'était un combat que l'on mener l'un contre l'autre, la penser contre l'action, j'ai tout, tout pour être heureuse pourtant je me force à être malheureuse, qu'elle en était l'intérêt? J'étais comme partager entre deux monde, une âme couper en deux, le ying et le yang en une seule personne, la tristesse des jours sous la pluie et le bonheur des jours ensoleillée dans un seul et même corps, c'était invivable et la cocaïne ne devait pas réellement m'aider. Sur l'écran de mon téléphone le nom de V pour Vendetta s'afficha, il était temps pour moi de vider mon sac avec lui, nous étions si proche lui et moi, a travers un simple téléphone, loin l'un de l'autre, on se confier tout, quand il en avait besoin il se lâcher sur la toile de nos messages et quand j'en avais besoin je faisais de même et ce que je fit une nouvelle fois.

...
Bonjour, Bonsoir mon Élite 💎
Voilà pour ce chapitre
La grosse grosse bise 😘

C'était écritOù les histoires vivent. Découvrez maintenant