-63- La vérité éclate

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Je me laissais presque tomber sur la chaise derrière moi tandis que Guzman entrée dans ma chambre, j'espérais bien qu'il n'avait pas entendu le moindre mot de notre discussion, mais à en voir son regard effaré, il avait tout entendu. Je pris une grande inspiration avant de prendre une bouffée de ma cigarette. Guzman venu vers moi presque d'un pas rapide.

« C'est quoi cette histoire Andréa ? » Dit-il bien trop fort à mon goût

« Écoute Guzman, tu n'aurais pas dû entendre tout ça »

« Que je n'entende pas ? Tu te rends compte de ce que tu me caches, à moi ? » Dit-il maintenant en hurlant

« Ça va, je me drogue, je ne te trompe pas » Dis-je en soupirant

« Tu veux mourir, c'est ça ? »

« Non »

« Alors arrête de prendre ça bordel »

« Parce que tu crois que c'est si simple que ça Guzman ? » Dis-je en me levant brutalement de ma chaise « C'est facile pour toi, tu n'as aucune putain d'addiction, tu ne fumes pas, tu ne bois pas, tu ne drogues pas, ok super pour toi, je ne dis pas que ta vie est mieux que la mienne, parce que c'est loin d'être le cas, mais toi tu es fort, moi non, c'est comme ça »

« Qui t'en as filé ? »

« Tu peux toujours courir pour que je te le dise, de toute façon le gars est plus dans le coin »

« Si je le trouve »

« Tu ne vas rien faire, parce que ces gars Guzman, c'est pas avec de l'argent que tu les as ok »

Il se laissa tomber sur mon lit à son tour.

« Pourquoi tu ne m'as rien dit ? »

« Surement, parce que je savais comment tu allais réagir » Dis-je en haussant les épaules

« Mais Andréa, tu n'es pas heureuse ? »

« Si, bien sûr que si, mais c'est compliqué »

Il se leva et venu vers moi, il se mit presque à genoux et plongea son regard dans le mien, pour une fois je lisais dans son regard de l'inquiétude et non de l'énervement, Guzman était différent en ce moment, il déposa sa main sur la mienne avant de me faire un sourire.

« Je suis là moi, je sais que t'es parents et toi ce n'est pas une histoire d'amour, mais moi, je suis là » Dit-il alors en souriant « Il faut que tu arrêtes de prendre cette merde, je vais t'aider »

Je savais pertinemment ce que Guzman était capable de faire, surtout lorsqu'il s'agisser de drogue, peu de gens était au courant de son histoire personnelle, mais je faisais partie de ces gens qui en savaient suffisamment pour savoir que les vrais parents de Guzman étaient de vrai droguer.

« Je sais que tu veux m'aider, mais ce n'est pas si simple que ça »

« Tu préfères aller en cure ? »

« Vu sous cet angle » Dis-je en soupirant

« Aller vient là » Dit-il en attirant ma tête contre son torse « Je t'aime Andréa et à deux on va s'en sortir ok ? »

« Ok »

Retour au présent

« Il n'a pas réussi » Affirma l'agent en me regardant

« En effet, je pense que je suis un cas désespéré » Dis-je en souriant tristement

« Je pense surtout que tu as besoin d'une vrai aide Andréa » Elle pris quelques papiers dans ses mains « Tu veux un café ? »

« Je veux bien, merci »

L'agent se leva et sortit de la pièce, pour la première fois depuis des heures, depuis l'annonce, je me retrouvais seule, mon Dieu qu'est ce qui venait de se passer, Marina était... Morte ? Vraiment morte ? L'information était si dure à transmettre à mon cerveau et je n'imaginais pas a qu'elle point elle devait l'être dans le crâne de Guzman, lui qui avait toujours tout fait pour elle, qui l'avait défendu dans les pires moment, Guzman et moi avions pris de grande, de très grande distances ces temps si, mais je savais et je vivait sa peine, nous étions liée par je ne sais qu'elle file et ce file était incassable. Lui est moi étions unis pour la vie, quoi que l'on fasse, alors je sentais la peine qu'il vivait, comme imisser dans son cerveau. 


...

Bonjour, bonsoir mes leader de demain 

Voilà pour ce nouveau chapitre, n'hésiter pas à me dire s'il vous à plut

La grosse bise 

C'était écritOù les histoires vivent. Découvrez maintenant