Partie 20

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" Le temps change, les gens aussi.
Je rends à l'être aimé ses lettres de noblesse. Mais le mérite t-elle? J'en suis plus très certain. Difficile d'appeler au secours, quand tant de drames nous oppressent. Et les larmes nouées de stress, étouffent un peu plus les cris d'amour. De ceux qui sont dans la faiblesse, et dans un dernier espoir disparaissent. J'ai ramassé les bouts de verre, j'ai recollé tous les morceaux. Tout était clair comme de l'eau, contre le passé y a rien à faire, il faudrait changer les héros. Dans un monde où le plus beau reste à faire. "

Arrivé au bercail... Avant de rentrer je fais un petit détour, direction le Q.G. Je respire l'air pollué de ce quartier. Ça m'a tellement manqué comme un drogué, je rempli mes poumons de cette air si sale. Je roule, en scrutant les moindres détails comme si je n'avais jamais vu cet endroit. Cela fait quelques mois que je n'y est pas remis les pieds, ça me parait être une éternité. Je monte la pente, avec plus de force dans les bras. Les efforts ce ressente avant j'aurais directement actionné ma manette mais aujourd'hui, je me la joue manuelle. Ça me fera plus de muscle dans les bras. Faut que je travail mes biceps ça tombe bien. J'arrive tout en haut de notre sanctuaire. Les gribouillis y sont toujours frère ça fait tellement plaiz à voir. Rien à été effacé, toute tes belles phrases sont gravé à l'encre indélébile même le temps ne peut les faire partir. Je commence à lire tes phrases. J'essaie de toute les mémoriser mais c'est impossible y'en à trop. Je suis la, le cul assis sur ma chaise, à contempler cette magnifique vue. L'air à comme une odeur d'orage. Le ciel est gris et commence à gronder. Des lumières jaillisse, un vent ce fait ressentir. Un vent moins agressif que celui de suisse, mais ça caille quand même. Je respire une dernière bouffée d'air sale. Et commence à descendre la pente. Je roule est me retrouve en bas des tours. Ici rien à changé c'est toujours la même. Les mêmes tête cramé adossées contre le mur. Une fille passe et tous ce retourne comme des dalleux, à siffler, insulter... Toujours les même mecs irrespectueux. Je m'avance, je selem tout ce bon gros monde et prends l'ascenseur. J'attends une plombe pour qu'il arrive , c'est pas possible il est encore en panne. Depuis que je le connais il tombe en panne une fois tout les deux jour. C'est incroyable et personne ne daigne à bouger le petit doigts, insensé! Alors adossé contre mon fauteuil j'attend sagement qu'il parvienne à descendre. Au bout de 5 bonne grosse minutes à l'attendre il fini par arriver. Tiens tiens qui vois-je! C'est cette fameuse Leïla, qui emballe un grand renoi plutôt bien baraque. Je pense pas qu'elle lui fasse du bouche à bouche. Non ,non! C'est une bonne grosse galoche qu'elle est entrain de lui rouler. Lorsque les portes s'ouvrent, son visage change carrément de couleur, il vire au jaune , toute pâle. Je l'ai grillé, mais dit toi bien que j'en est rien à foutre de ce que tu fais avec ta bouche et toute les autres partie de ton anatomie. Ne sachant pas trop quoi me dire, elle hoche la tête en guise de selem et trace sa route. Elle va probablement continuer à faire ce qu'elle à commencée. Car je l'ai dérangé. Je vois qu'elle s'est vite remis de sa T.S. A l'heure d'aujourd'hui j'ai de sacré doutes sur cette histoire.
Je monte dans l'ascenseur, direction le cinquième étages. Mais il semble que cet ascenseur n'en fasse qu'à sa tête. Il a de gros beug. C'est pas possible, lui aussi me prend pour un touriste. Jai droit à une visite guidée. Il veut me faire visiter chaque étage de ce bâtiment. Comme si je l'est connaissais pas. Il se stoppe à tout les étages , je vais péter un plombs. Troisième étages la porte s'ouvre, je tombe nez à nez avec Lina. Le cœur qui bats à 100, les mains moites, les yeux baissés sur la moquette qui pue soit dites en passant. J'ai peur de croiser son regard. Les portes ce referme, un silence long et pesant ce fait ressentir. Ni elle, ni moi, ne proférons quoique ce soit. L'ascenseur s'arrête au quatrième il a choisit son jour celui là. Lui aussi veut me la faire à la fou. Les portes mettent du temps à se refermer. L'espace d'une seconde mon regard croise le sien. Je baisse aussitôt la tête, comme si c'était moi le coupable dans l'histoire. Elle m'a tellement manquée, elle est magnifique comme à son habitude.
Toujours ses mêmes yeux d'un noir profond et si intense, cheveux doré, un touché soyeux, éclatant si je devais comparer ses cheveux à une matière je dirait de la soie tellement magnifique, long avec de sublime ondulations qui recouvre ses épaules. Les traits délicats, doux presque fragile. Le même parfum enivrant... Les portes se referme, son phone sonne. Elle décroche aussitôt. Je me sens gêné car je ne peut rien faire d'autres que d'écouter sa converse... Apparemment c'est l'autre sensu au bout du fil. Lina lui dit qu'elle à son rendez-vous de dialyse et qu'après elle passera sûrement la voir, elle profère que son état s'est aggravé et que le constat n'ai pas bon du tout, elle a un rein perforé, du à la fusillade et l'autre qui ne fonctionne plus trop bien, il risque de la lâcher tôt ou tard et qu'elle doit trouver le plus rapidement possible une greffe. Au moment ou elle débite ses paroles. J'ai l'impression que le sol se dérobe sous mes pieds. En ce moment même c'est mon cœur qui ce consume . Elle m'a jamais ignorée de la sorte. Arrivé au cinquième étages les portes s'ouvrent est je peut enfin mettre fin à tout ce calvers. Elle est de dos je la reluque discrètement. Les portes ce referment, mon cœur ce compresse. Ces histoires me mettrons à terre c'est sur.

Force et honneur tel est ma devise Où les histoires vivent. Découvrez maintenant