" C'est à travers tes yeux, que l'amour ma fais un signe. Car les bonhommes ne causent que la langue des signes. Elle est mon essentielle, la prunelle de mes yeux. L'air qui remplie mes poumons. Mon alter ego, pour elle je remuerais ciel et terre. J'arracherais mon cœur s'il le faut et je lui offrirais, lorsque qu'elle est prêt de moi j'ai le cœur sous-jacentes. Elle est le souffle qui lui manquait. Je suis devenue léthargique plongé dans un monde en autarcie. Désormais ce sera elle et moi envers et contre tous. "
17 heures, je me sauve en douce, Leyna devant la porte, putain elle va me llé-gri.
- " Wesh limsa qu'est ce que ça fou al? "
Faut que j'essai de l'emboucaner, mais on peut pas lui faire à l'envers. Et puis merde, elle me servira de couverture.
- " Tu tombe bien sœur, j'ai besoin de toi. Je dois rentrer d'urgence chez oim, je serais de retour vers 21 heures, tu me sers d'alibi, si on me cherche tu dira que j'étais avec toi haychik?"
- " Pas de problème fréro, va y sauve toi."
- " Merci je te revaudrais ça la famille. "
Personne devant le portail, je me tire en scred. Je monte dans le train, je regarde ce magnifique paysage qui défile a toute vitesse sous mes yeux pétillant, heureux pour une fois.Je prends le temps de ressasser, hier à peine elle n'était pas au courant des sentiments que mon cœur ressent à son égard et aujourd'hui, nous voilà ensemble à ce parler tel des amoureux sans trop en être...
Arrivé à destination. Direction l'hosto, chambre 203.
Porte entre ouverte, j'aperçois l'autre hystérique. La discutions semble prendre une méchante tournure. Sa voix criarde fais mal au crâne. Envie de l'encastrer contre ce mur histoire, de lui faire gentiment assimiler qu'on ne s'attaque pas à nous. Mais j'entends le mur hurler d'ici son désespoir, même lui ne veut pas d'elle. Alors j'ai songé, rentrer dans la pièce est déposer mes lèvres contre celle de ma dulcinée, juste qu'elle voit de ses propre yeux, que j'en est rien à foutre de sa petite race de vielle meuf. Finalement je préfère ne rien faire c'est plus sage. J'observe de mon coin. L'ambiance est palpable, les insultes fusent à tout va. C'est à peine si Lina à la force de riposter. Mademoiselle crasseuse Leïla monte sur ses grand chevaux, si elle continue avec son air cynique, je vais vite la faire redescendre, en la traînant par les cheveux. Mais elle a de la chance, que je ne suis pas ce genre d'homme, autrement il y'a longtemps que je lui aurait fait balayer le sol. Dans ma tête j'imagine déjà la scène, une scène tellement violente qu'elle serait aussitôt censuré, et interdit au moins de 50 ans. Je veut la briser, l'anéantir sur le champ. Elle se croit tout permis, de quel droit lui parle t-elle comme ça. Elle me sors de mes pensées, elle se dandine, remplie de chichi cette gadji. À force de trop donner son anatomie elle va finir par choper le dass ou encore par ce faire engrosser, pauvre enfant. La voilà partie comme dirait l'autre, bon vent.
J'observe ma princesse, l'œil hagar, teint blafard,l'esprit ailleurs et perturbé, sûrement par la venue de celle ci. Elle est à bout de souffle, de la ou je suis je ressent sa peine et son mal être. Je sors le phone compose un message et lui envoi. C'est à peine si elle a la force de le lire...
" Coucou la plus belle de l'univers t'es seule ? "
Aussitôt envoyé, aussitôt répondu ...
" Oui pourquoi? "
" Tourne ta tête vers la porte !"
Je sent qu'elle hésite, comme si y avait une caméra caché et qu'on essayait de la piéger. J'entre dans la chambre, elle a le smile qui ne quitte pas ses lèvres. Elle est magnifique. Je pourrais rester des siècles entiers à la reluquer sans jamais me lasser. Elle a les yeux qui pétille...
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Force et honneur tel est ma devise
General FictionRéécriture fictive. Une très belle histoire avec une magnifique plume ✨