" Princesse au regard triste, princesse au regard vide. Princesse s'en est allé vers le chemin du paradis, âme pure, elle ne peut que y accéder. Le cœur calciné, les yeux brisés. Le chemin sera long parsemé d'embuche en tout genre. Je savais que ma fragrance de muerter était contagieuse. Pire que le dass je lui est refilé ma mort..."
J'ai l'impression que je vais tomber en syncope... Désolé, désolé,désolé... Ce son résonne dans ma tête. A quoi il sert ce mot sérieusement, lorsque que tu débite ce genre de boutade ça ne présage rien de bon. Merde, je m'en tape de ta désolation mec, moi je veut ma princesse... Dans ma tête je suis entrain de me faire un scénario de fou. Dans mon cœur c'est la Syrie. Les balles fusent a tout va, j'essaie d'éviter le coup fatal mais c'est difficile, je persiste quand même avec l'esprit dévasté...
- " Monsieur B**** Salim je suis désolé, nous avons bien greffé le reins mais il semblerait que son organisme refuse les corps étranger, le réveille sera plus long que prévu elle ne sais pas encore réveillé nous surveillons son état de près. Des qu'il y aura du nouveau nous vous rappèlerons. "
Alors c'est donc ça la vie, je me fais charcuter pour que l'amour de ma vie est des complications. L'essentiel c'est qu'elle se réveille. Envie de veiller sur elle. Être sur qu'ils ne fassent pas n'importe quoi. Pour eux nous ne sommes que des morceaux de viande qu'ils charcutent a longueur de journée.
Je ne peut imaginer une seule seconde de vivre sans elle, frère j'ai le cœur qui saigne, que j'en viendrais même à en avoir des envie de meurtre et de suicide sur ma propre personne! Starfoullah je pense qu'en ce moment même sheitane et en ma compagnie, il faut que je le banni aussitôt et que je chasse ces idées noir qui envahissent mon esprit.
Les yeux totalement dans le vide, je transverse ce couloir qui empeste l'odeur de la mort, je sais pas si c'est mon état actuel qui fait que cette effluve effleure mon odorat. Juste je ressent ce besoin de communiquer avec les étoiles, simplement essayer de t'apercevoir frère, tu me manque tellement avec tout ces slata j'en est même oublié notre rendez-vous nocturne. Je peine à entrevoir un brin de ton minois frangin t'es gravé dans cet organe qui me sert de moteur, car à cet instant précis, il me sert plus à grand chose, trop de haine et de rage ont pris place sans demander la permission. A qui devrais-je en vouloir? A la vie? Au destin? Non comme tu le disais tout le temps: "Accepter la vie, c'est accepter la mort."
Mais moi je veut pas accepter sa mort je ne peut la concevoir. elle et moi c'est à la vie à la mort. Elle part, je pars point barre. Je suis son ombre, elle est le mien. Tel est la devise d'un cœur meurtrie, une vie tourmentée, un drame, une tragédie, des larmes, une théorie... On avancent toujours avec une devise en poche, chercher une solution à toutes nos incompréhension, toute nos galères de tess... Le monde est vaste, moi je suis dévasté par toutes les tournures que mon destin à jonché sur ma route. Il a semé une sacré pagaille dans ma ive de rat moisie qu'empeste la muerter. J'ai plus la force pour subir, j'aimerais tellement que celle ci sois magique comme cette constellation nocturne que j'ai sous les yeux. La nature est magnifique, le ciel à comme un goût de magie ce soir. Allah est omnipotent, tu peut lui parler ou tu veut et quand tu veut, quand bon te semble. J'essaie de lui communiquer ma peine et mon mal être même si je sais qu'il ressent tout, qu'il voit tout, le visible comme l'invisible, qu'il entend tout. Je lève les yeux et les mains vers le ciel, je l'implore pour qu'il me vienne en aide. Je sais qu'on a pris cette mauvaise habitude que de l'implorer que lorsque on est en galère, penser a lui dans les bons comme dans les mauvais jours et lui sera à tes côté pour toujours. Voilà le chemin droit qu'il faut prendre, en voilà une bonne résolution. Tout ce qui t'arrive de bien ou de mal c'est Allah qui te le donne, l'implorer quand tout va mal c'est bien mais l'implorer pour le remercier des bienfaits qu'il ta donné c'est encore mieux. J'aurais tendances à dire pour tout le reste il y a MasterCard mais pour ce qu'il le concerne ça ne s'achète pas, ça se gagne, tu veut œuvrer pour ta vie dans l'au delà, commence par poser ton front au sol, à t'agenouillé devant le Grand-Pardonneur, le Tout-Généreux, le Très-Miséricordieux. Respecter autrui, vouloir pour lui ce qui y'a de bien pour toi et ne pas vouloir pour lui ce qui à de mal pour toi... Moi je suis loin d'être irréprochable ce ci n'est pas une leçon bien au contraire, j'arrive à me faire la moral a moi même, j'ai des tendances skyzo de temps à autre quand la vie me tourmente trop... Je suis une âme trop éprouvée, trop écorchée, on m'a incisé à vif. La bravoure je l'ai gagné avec mes années de misère et de colère, les tempêtes mon tellement rendu, les nerfs a vif, que je m'y suis adoucis avec le temps. Comme "Mélanie", j'ai les nerfs, ma tendresse est casanière. Je rêve de paix et ma bonté est invincible. Rétine braqué vers le ciel, les mains en l'air, les genoux à terre, je me prosterne devant L'éternelle... " Y'a Allah, accorde lui une vie ici bas, je prendrais soin d'elle, je ne côtoierais pas le hram, aide la à s'en sortir, je suis son futur, elle porte ma descendance pieuse dans ses entrailles. Y'a Allah aide moi, aide nous, à avancer vers un chemin droit, vers ton chemin qui est vérité. Yen Allah je t'en supplie, ne refuse pas à ta créature une aussi grande faveur." J'implore le Grand, le Très-Haut, avec les yeux humide, les joues inondées par ce mal qui s'y trouve en dessous ma cage thoracique. L'impression d'être un moins que rien traînant mon sale corps sur les graviers. L'impression d'être un grain de sel, dans un océan de connerie humaine. Je me relève, rejoint mon fauteuil, j'ai trop forcé, que ma cicatrice à pété, une flaque de sang viens tenir compagnie avec celle de mon cœur, bien que ce n'est pas une flaque qui s'y trouve mais plus un océan de sang. Elle est mon moteur, l'inspiration de mon cœur, si elle part ma plume sèche aussi vite, l'encre s'évapore et vous pourrez même dire adieu à Salim. Je serais un néant d'os... Mes jours seront damnés, je vivrais tel un légume en attendant mon heure, je vivrais pour ma mort... La cicatrice commence à s'agrandir, une flaque d'eau viens rejoindre ma flaque de sang. Le temps s'unit toujours à ma douleur, toujours fidèle à lui même. Il est ma meilleur compagnie, quand je pleure, il pleure. Quand je souris, il sourit voilà pourquoi j'ai le teint blafard, le soleil brille peut.
VOUS LISEZ
Force et honneur tel est ma devise
General FictionRéécriture fictive. Une très belle histoire avec une magnifique plume ✨