𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟕

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[ Salut ! J'espère que vous allez bien ! Chapitre plus long que d'habitude ! J'étais inspirée ! La musique m'a aidé pour un passage du chapitre . Je vous dirais quand la mettre si vous voulez la mettre au bon moment ! Bonne lecture ! Kiss Bianca ✨♡ ]

16 septembre

𝐊𝐚𝐫𝐨𝐥

Un dernier regard dans le miroir de ma coiffeuse . J'expire l'air de mes poumons puis je serre les dents gênée par cette boule de stresse qui s'est formée dans mon ventre .
Voilà l'effet que ça me fait de revoir mon père . Il vient tout seul . Vanessa est restée au États-Unis avec ma demi- sœur Maia . Elle a deux ans bientôt trois . Elle est née le 25 décembre et je suis triste pour elle . Je suis triste parce que je sais ce qu'elle va ressentir . Un père absent et parfois manipulateur qui aime par dessus tout contrôler la vie de ses enfants mais qui ne s'en occupe pas pour autant . Je stresse surtout que mon père apprenne la vérité . Pour lui je suis toujours célibataire et je vis encore ici . Hors ce n'est absolument pas le cas . J'entends soudain des voix dans le salon et je reconnais la voix imposante de mon père .
- Aller Karol . Ça va aller . Me dis je à moi même .
Heureusement que mon frère est là .
Je sors de ma chambre et je descends les escaliers à la lenteur d'un escargot . J'apparais devant mon père . Il n'a pas changé . La peau bronzée , ses yeux presque noir rendant son regard aussi dur que de la pierre et un sourire qui pourrait être celui de fierté si je ne savais pas qu'il est un maniaque du contrôle .
- Ah ! Ma grande princesse . Sourit il en me rendant les bras .
Il me prends dans ses bras mais j'ai juste la sensation d'étouffer .
- Salut papa . Souriais je poliment .
- Hé bien ça ne te fais pas plaisir de voir ton vieux père ? Rit il .
- Si si bien sûr . Essayais je d'être plus convaincante . Comme il ne fait attention à rien il a du me croire .
- Si tu savais comme tu m'as manquée ma chérie .
Ma mère voyant mon mal aise viens à ma rescousse.
- Et si on passait à table ? Suggère t'elle .
- Très bonne idée Gaëlle . Déclare t'il .
Nous nous dirigeons alors à table tout les quatre . Eliott ne voulait pas rencontrer mon père tellement il le trouve intimidant et flippant . Le pauvre . Il s'est arrangé au plus vite pour dormir chez un ami . Je le comprends . Gaspard reste sur Paris alors nous revoilà tout les quatre presque comme au début de notre vie à Alex et moi . Presque puisque papa n'était jamais là . Comme d'habitude. Le silence s'installe et nous mangeons seulement dans le bruit des couvert .
- Et mon petit fils ? Il n'est pas là ce soir ?
- Arthur à six ans . Il est petit et à cette heure un petit garçon de son âge doit être au lit et il est au lit . Réponds mon frère franchement.
- Et je suppose que pour une fois sa mère daigne s'en occuper. Réponds mon père parfaitement au courant de la situation de couple d'Alex.
- Tu n'es pas venu ici pour parler de Laurel je crois. Le replace Alex.
- Je t'avais comme même prévenu mon fils. Je te l'avais dis que de te mettre avec elle n'était pas là conne solution. Et maintenant? Mêler un gamin à cela. Une séparation. Soupire mon père comme si c'était stupide.
- Tu l'as bien fais toi. Défendis je mon frère .
- Et je le regrette. Réponds t'il du tac au tac .
Je n'ai toujours voulu que votre bonheur . Vous êtes mes enfants et je vous aime . Fini t'il. Et voilà . C'est parti pour son grand baratin habituel.
Ma mère me regarde et me fait signe que c'est le bon moment . Elle veut que je le dise à mon père . Que je lui dise que je suis en couple mais moi je ne le sens absolument pas.
- Ta fille a quelque chose à te dire. Lance ma mère.
Je suis à deux doigts de m'étouffer avec ma feuille de salade. Je lui jette un regard noir.
- Ah oui ? Je t'écoute ma puce. Me sourit il.
Mon coeur bat à mille kilomètres heures. J'ai du mal à respirer et mon tôt d'adrénaline ne cesse d'augmenter. Je ne me sens pas bien du tout. Tout mon corps est enveloppé par la peur et la boule de stresse dans mon ventre n'a fait qu'augmenter.
- Oh euh oui je voulais te dire que le droit tu avais raison ça me correspond bien et je prévois de postuler en stage dans le cabinet d'avocat  Steinley. Déclarais je.
-  C'est un très bon cabinet. Tu vois j'avais raison le droit c'est parfait pour toi.
Ma mère me regarde désespérée.
J'étais tout simplement incapable de lui dire j'avais trop peur et j'ai encore peur je ne suis pas bien.
- Bien on passe au fromage ? Demande mon frère.
- C'est tout ce que tu as préparé Gaëlle ?
- Ouais pourquoi ?
- C'est tout ce que tu fais à mes enfants ? Tu ne les nourris pas plus que ça ? Après ce qu'il s'est passé pour Karol ? Tu es vraiment inconsciente!
Sa y est. La claque était partie. Ma mère venait de gifler  mon père en beauté. Le silence avait pris place avant qu'ils ne commencent à se faire une série de reproche dans une cacophonie de cris.
- Viens. On se barre. Me chuchote mon frère.
Nous sortons de table et nous sortons de la maison pour souffler.
Une fois dehors nous respirons enfin mieux.
- Je vais rentrer. Rentre chez toi Karol. Me sourit il.
J'acquiesce. Il est vrai que j'ai besoin d'être seule mais l'arrivée de mon père n'étais pas vraiment prévue et puis je n'arriverais pas à me concentrer sur moi même avec mon père dans les parages. J'ai juste besoin de mon homme. Si il veut bien encore de moi.
Je prends la voiture et conduit jusqu'à l'appartement. Je prends l'ascenseur de l'immeuble une fois arrivée pour atterrir au bon étage. Une fois devant la porte je souffle et je toque. J'ai mes clés mais je n'ai pas envie de lui faire peur ou quoi que ce soit. Si ça se trouve il n'est même pas là. Pendant que j'étais dans mes pensées le bruit de la serrure s'est fait entendre et la porte s'est ouverte sur Ruggero en mode décontracté . Il est surpris de me voir .
- Chérie ? Me demande t'il.
- Je peux rentrer ?
- Oui bien sûr. Tu sais tu n'étais pas obligée de toquer. Tu aurais pu rentrer comme ça. Me dit il en fermant la porte derrière nous.
- Je sais mais je ne savais même pas si tu étais là.
Je pose mes affaires dans l'entrée. Je vais dans le salon et je découvre soda sur la table et pizza . Je me retourne vers Ruggero qui se gratte la nuque . Ce n'est  pas trop son genre de faire ça.
- Je me laisses un peu vivre depuis que tu n'es plus à la maison. C'est pathétique je sais.
- Nan. Tu as le droit d'être tranquille à condition que tu ne laisses pas le salon dans cet état pendant plusieurs jours.
- T'en fais pas pour ça. Tu sais que j'aime que tout soit en ordre je vais pas supporter ce désordre très longtemps. Rit il .
C'est vrai que monsieur est un maniaque du rangement.
- Oui je me doute.
- Mais sinon tu as des affaires à récupérer ? Non pas que ça ne me fais pas plaisir de te voir ici mais parce  que tu m'as dis que tu n'étais pas prête à rentrer hier.
- Mon père a débarqué chez moi pour dîner ce soir. Déclarais je.
- Attends quoi ?
- Ouais.
- Viens on va s'assoir. Me dit il.
Nous nous installons dans le canapé l'un en face de l'autre en tailleur.
- Ton père est là ? Il est en France ?
- Oui . Il a eu l'appel d'un de ses client français. Il a dit à ma mère qu'il en profiterait pour nous voir . Il s'est invité lui même chez maman ce soir pour dîner . Il n'y avais que maman , Alex , moi et lui . Je peux te dire que ça nous a fait tout drôle . Mais dès le départ il a commencé avec ses remarques stupides. D'abord sur Laurel . Comme si Alex n'était pas assez tourmenté avec ça et puis sur d'autres trucs. Ma mère a voulu que je lui dise pour nous deux. Pour le faite que j'étais en couple et que je ne vivais plus à la maison mais j'ai pas réussi. J'étais tétanisée alors j'ai répondu quelque chose qui n'avais absolument rien à voir. Résultat il ne sait toujours pas et ensuite il a fait une remarque à ma mère sur le repas. Ma mère a craquée et lui a mit une gifle. Ils sont commencés à s'embrouiller et ils n'ont même pas remarqués qu'avec Alex ont est partis.
Ruggero me regarde tristement .
- Je suis désolé mon amour je me doute que ça doit être compliqué pour toi et je comprends si tu ne lui à rien dis.
- Mais il faut que je te dise quelque chose. Si ma mère a craquée ce soir c'est parce que même si elle ne cuisine pas bien du tout elle s'est toujours débrouillé pour qu'on mange correctement un minimum et qu'on manque de rien . Tout ça vient du moment où mon père a trompé ma mère et qu'ils se sont séparés . J'avais huit ans . Ma mère était complément perdue et elle se retrouvait seule avec Alex et moi a gérer. Alex était en pleine crise de preadolescente et ma mère n'arrivait pas du tout à le gérer alors moi je me suis sentie seule et délaissée. J'ai commencée à manger de moins en moins jusqu'à en devenir anorexique. Ma mère ne remarquais rien elle croyais que je mangeais parce que j'arrivais à duper tout le monde . C'est David. Le père de Gaspard qui s'en est rendu compte parce que sa sœur était anorexique et il a compris le manège. Quand ma mère a réalisé elle était perdue et en colère . Elle n'avait rien vu et elle s'en ai voulu à mort . J'ai été hospitalisé et pas une fois mon père n'est venu me voir. Je m'en suis sortie que grâce à ma mère qui ne m'a pas lâché d'une semelle . Et que là mon père lui fasse une remarque sur le fait qu'elle soit inconsciente parce que le dîner était trop mince. C'était la goutte de trop. Confiais je.
- C'est pour ça que ta mère a toujours refusée que tu sortes de la maison sans avoir manger.
- Oui . Elle a toujours peur que je recommence mais je n'ai pas de raison. J'aurais pu y rester et ça m'a suffit. Même si honnêtement ça t'arrives inconsciemment.
- Je suis tellement désolé. Tu as du vivre tout ça et moi je ne suis qu'un égoïste tu as raison.
Est qu'on peut lancer le sujet qui fâche ? Me demande t'il doucement.
- Arrête tu n'es pas égoïste. Si tu veux. À condition qu'on s'écoute et qu'on se respecte. Lui dis je .
- C'est promis. Me dit il .
- Tu veux commencer ou je le fais ?
- Je pense que je devrais d'abord t'expliquer pourquoi je ne veux pas d'enfants.
- Je t'écoute. Lui souriais je faiblement .
- Tu sais je t'avais expliquer le fait que une de mes exs était tombée enceinte et qu'elle avait perdu le bébé. Ça nous a éloigné alors qu'on s'aimait encore. J'étais pas bien après cette rupture parce que oui je l'aimais mais je m'étais préparé à devenir père. Vraiment. Et du jour au lendemain ça s'est terminé. Je n'ai pas vraiment digérer ça. J'ai mis du temps à faire le deuil de ce bébé et perdant un temps je me suis mis à haïr tout les parents que je croissait dans la rue. Mais c'est pas la raison la plus grande. Ça a commencé bien avant. Mais ça je ne l'ai réalisé que lorsque Solène et moi nous nous sommes séparés .  Quand j'étais petit mes parents voulait à tout pris avoir un deuxième enfant. Ma mère rêvait d'avoir une petite fille et ils sont essayés plusieurs fois mais ça ne marchait pas . J'ai vu mes parents se disputer de nombreuse reprises à cause de ça . Même si ils s'aiment plus que tout ils se déchiraient tout seuls. Par je ne sais quel miracle Mila est née mais dès sa naissance ça a été le début d'un nouveau cauchemar. C'était une grande prématurée. Elle a été placée en couveuse et la c'était le début d'une bataille sans fin avec les médecins pour la maintenir en vie. Mes parents étaient encore plus déchirés. Si je ne veux pas avoir d'enfants c'est simplement parce que j'ai été  perturbé et traumatisé on peut le dire par les seules expériences de grossesse que j'ai vécues. Je n'ai pas envie de te faire vivre ça. Et puis tu as bien vu je n'arrives même pas à m'occuper de Loan. Je crois que je porte la poisse à ce niveau là.
Je le regarde sans rien dire . Il est vrai que je peux le comprendre mieux maintenant.
- C'est  à toi. Me sourit il faiblement .
- Ok je. J'ai pas vraiment d'explications mais je sais que je veux des enfants depuis que je petite. Comme beaucoup de petite fille qui rêve du mariage parfait avec des enfants. Et c'était ce qui me raccrochait à la vie les contes de fées lorsque j'étais à l'hôpital . Juste de savoir qu'un jour quelqu'un m'aimerait pour ce que je suis réellement . Que je ne serais plus jamais seule . J'ai toujours imaginé ça parce que j'ai grandis avec ça et depuis qu'on est ensemble tout les deux c'est une des choses qui me rends la plus heureuse depuis mon enfance et quand on s'est rencontrés j'avais vraiment  l'impression que c'était différent . La petite Karol de huit ans m'aurait dis que c'était sans doute le début de mon conte de fées seulement certains détails sont bien loin de la réalité . 
- Tu as autant d'argument valable que moi. Me dit il en se grattants là nuque.
- De toute façon  mon père est là et c'est déjà assez le bordel à cause de ça je pense qu'on peut reporter le sujet .
- Oui. Tu as raison. Tu restes dormir ?
- Je n'ai pas envie d'y retourner. Je veux rester à la maison.
- Je comprends. Me sourit t'il.
- C'est quoi ce sourire ? Lui demandais je.
-  Quoi? J'ai bien le droit de me réjouir que je vais  à nouveau pouvoir dormir avec ma femme après une semaine. Dit il en apportant la pizza dans la cuisine.
Je le regarde en souriant. Je suis bien contente qu'on ai dit  tout ce qu'on avait sur le coeur et qu'on ai joués les cartes du respect de l'écoute et de la sincérité.
- Et toi c'est quoi ce sourire béa ?
- Je suis heureuse qu'on se soit expliqués. J'en pouvais plus de ces  tensions.
- Tu sais bien qu'on est comme ça . Deux caractères explosifs qui rentrent  en conflit sans poser les choses tranquillement. C'est pas la première fois qu'on se prends la tête aussi fortement mon coeur.
- Je sais que c'est comme ça qu'on fonctionne mais j'ai peur qu'un jour on arrive pas à régler ça .
- Chérie. On s'aime. On ne se lâchera pas comme ça tu le sais. J'ai mauvais caractère , tu as mauvais caractère mais ça va tenir parce que je compte bien passer le reste de ma vie avec toi.
- J'ai besoin d'un câlin! Dis je en tendant mes bras alors qu'il arrive vers moi pour exécuter ma demande.

𝐉𝐮𝐥𝐞𝐬

-Mon amour tu m'écoutes ?
Je reviens à la réalité par la voix de Martina qui est devant moi. Je le rappelle alors que nous sommes au restaurant tout les deux .
- Qu'est ce que tu as ? Tu es distrait en ce moment.
- Je suis désolé Tini j'ai beaucoup de choses à penser pour les cours et ça me prends un peu la tête. J'arrive pas à faire abstraction.
- T'en fais pas c'est sûrement une mauvaise passe. Ça va se calmer. T'en fais pas je comprends. Me sourit elle en me prenant la main.
Elle est juste merveilleuse et parfaite. Je ne la mérite pas. Elle ne mérite pas que je lui mente pour lui cacher que mes véritables pensées ne sont pas dirigées vers mes études mais vers mon demi frère. Ça fait déjà une semaine qu'on s'est embrassés et je n'ai pas oublié la sensation de ses lèvres sur les miennes. J'avais l'impression de rêver. Depuis une gêne s'est installée entre nous et je hais cette distance qui a pris place au même moment . Plus de complicité. Plus de jeux vidéo ensemble. Plus de fous rire. Rien que du silence, des regards discrets, une gêne et une distance sans nom. Un fossé nous sépare et j'ai beau tout faire pour briser cette distance Baptiste ne fait que de l'agrandir.
- Tout va bien monsieur , mademoiselle ? Demande le serveur.
- Oui tout c'est bien passé . On pourrait avoir l'addition s'il vous plaît ? Questionnais  je.
- Bien sur je vous apporte ça .
Le serveur s'en vas . Je paye et nous Je ramène ensuite Tini jusqu'à chez elle .
- Merci mon amour c'était parfait ce soir.
- De rien. Bonne nuit ma belle .
Elle m'embrasse doucement et rentre chez elle.

[ Si vous voulez mettez la musique ]

Lorsque je rentres à la maison il est minuit trente. Tout le monde dort. J'arrive dans le couloir et passe devant la cuisine. Je vois Baptiste prendre un truc dans le frigo mais il fait tomber une mangue. Je pouffe doucement de rire  et il se retourne vers moi .
- Oh t'es la. Me dit il.
- Ouais.
- C'était bien ton rendez-vous ?
Il se retourne et je le vois torse nu  grâce à la seule lumière bleuté du frigo car nous sommes dans le noir. Je déglutis. Qu'est ce qu'il est bien foutu.
- On est pas obligé de faire semblants tu sais ? Dis je.
-  De quoi ?
- Tu sais très bien.  Dis je en me rapprochant.
- Toi aussi tu l'as senti. Tu le ressens.
- Je vois pas de quoi tu parles. Nie t'il.
- Je parle de ça.
Je l'embrasse à pleine bouche suite à ma réplique . Il réponds à mon baiser qui est le premiers d'une longue série de baiser charnels. Je retire mon t-shirt et ma veste  pour me retrouver torse nu devant lui également. Nos doigts sur nos peau nues , nos lèvres collés nous sommes au paradis. Je le pousse contrôle l'îlot de la cuisine en continuant de l'embrasser mais il fait tomber la corbeille de fruit. Il rit.
- Oh la vache. Rit il.
- Chut tu vas réveiller toute la maison . Riais je doucement.
- Mais non. Dit il en me ré embrassant de manière charnelle.
Guidés par nos sentiments et nos adrénalines nous allons à la découverte de nos corps pour la première fois. Stressés , pressés , les sensations sont d'autant plus fortes. La chaleurs de nos corps. Sa peau contre la mienne. Nos soupires effacés par nos baisers. Nous sommes vraiment au paradis. Je n'ai jamais eu le coeur qui palpitait autant et je n'ai jamais été autant comblé. Ses doigts griffent laissants des traînés dans mon dos comme les miens le font avec son dos. Ses mains dans mes cheveux. Sa bouche contre mon torse. Nous sommes emballés par nos sentiments.

Mon prof d'histoire-géoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant