Anxiété

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Je sortais du musée tout rouge tout en brandissant le sceptre avec le peu de force que je pouvais avoir actuellement. Tout le monde avait été évacuer à l’extérieur du musée le temps que tout ce calme .

Tout le monde m’acclamait et commençait à rentrer de nouveau à l’intérieur du bâtiment pendant que le directeur, monsieur Koreikyo Shinguji marchait rapidement vers moi un mouchoir en soie à la main .

En avançant vers moi il me tendait rapidement le mouchoir en soie pour que je puisse rapidement me nettoyer le visage de ma sueur. Puis il disa avec une voix qui me semblait emplit de fierté .

«Eh bien vous voyez monsieur Saihara, vous avez réussi à garder en sécurité le sceptre !!! Vous pouvez être fier de vous jeune homme .»

Puis voyant que je n’avais pas l’aire aussi enjoué que lui et surtout épuisé physiquement et émotionnellement, il rajouta :

«Mais je pense que vous devriez aller vous reposer, il se fais tard et vous avez tant fais. Nous nous occupons de tous ici. Nous vous sommes extrêmement reconnaissants monsieur Saihara .»

Il me donna une légère tape dans le dos avant de repartir vers le musée avec le reste des invités pendant que moi, je me dirigeais vers ma voiture encore confus de tout se qui venait de se produire .

Monsieur Shinguji a raison je devrais aller dormir mais avant je ferais mon rapport histoire de ne pas être embêter le matin .

•Quelques minutes plus tard...

Le trajet en voiture fus assez long car j’ai du faire extrêmement attention étant donné que je suis en pleine nuit et que je suis très fatigué ...
Pendant tout le long je n’ai fais que de réfléchir au voleur de l’ombre...

J’ai compris que ces sentiments étaient bel et bien réel mais je ne peux que me demander, pourquoi ? Et surtout est-ce qu’il dit vraiment la vérité ? C’est difficile à dire...

Je rentrais dans mon appartement tout en faisant, cette fois, attention à bien fermer le tout à clé .
La première chose que je faisa ensuite fus de regarder partout pour vérifier si le voleur était présent ou avait posé quelque chose dans ma maison et effectivement cette fois il y avait sur mon bureau un bouquet de roses rouges qui se différenciait grandement des roses blanches qu’il m’avait déjà offertes .

Je m’assis donc sur ma chaise avec toute la grâce d’un éléphant puis commença à écrire mon rapport, je l’écrivais rapidement tout en faisant attention aux différentes fautes d’orthographes. Évidement j’enlevais tout moment où le voleur avait...

Attendez une seconde...

Pourquoi est-ce que j’enlèverais ces morceaux là ? Pourquoi est-ce que je protège le voleur ? C’est un hors la loi après tout !

Parler de tout ce qui c’est passer dans un rapport ne me donnerais que des avantages et le voleur serait peut-être pris plus au sérieux, quelqu’un qui viole l’intimité des gens et qui s’introduit partout ! Mais en même temps...

Mon cœur se serre à penser que je pourrais trahir quelqu’un de cette manière...

Je ne peux pas oublier cette partie , donc ce que je vais faire c’est que je vais allez au rendez-vous du voleur demain à 23 heures (Ou aujourd’hui étant donnez que j’ai passer minuit ???) et je vais lui demander la raison de ces actions. Je ne peux pas le pourchasser indéfiniment sans savoir le pourquoi du comment et puis comme ça je pourrais décider si...

Si je dois accepter d’aimer ce voleur ou non...

Après quelques minutes où je finissais d’écrire mon rapport tout en enlèvant la plupart des détails, je l’envoya à l’agence via mon ordi puis je commençais à m’étirer puis à me lever pour aller dans ma chambre, je n’ai pas besoins de mettre les fleurs dans un pot car visiblement le voleur y a penser lui même cette fois .

~Mon petit voleur~ ^o^Où les histoires vivent. Découvrez maintenant