Humaine et sorcier

Chapitre 19

De plus en plus, d'élèves passent, alors je décide de rentrer pour aller dans la grande salle, en avance pour le dîner. Mais lorsque, je me lève, deux individus me font sursauter. C'est les jumeaux Weasley.

-AAAAH, je cris de surprise.
-BAHAAHHA, ils éclatent de rires.
-Vous êtes fou, j'allais avoir une crise cardiaque, dis-je en hallucinant de leur blague.
-Mais on rigolais, dit l'un avec un sourire.
-Mais oui Aleyna, c'était une blague, dit l'autre.
-Je savais que un jour, vos blagues allaient tomber sur moi.
-Et oui, tout le monde.
-Tout le temps.
-Et enfaite comme vous savez mon prénom ?
-C'est Ron qui nous l'a dit.
-Tu es une de leur copine maintenant ?
-Oui, j'imagine. Du coup c'est Frank et Gaston vos noms, dis-je avec un sourire narquois.
-Non, pas Frank, Fred.
-Non, Georges.
-AHAH, je sais.
-Georges, nous avons une blagueuse ici.
-Fred, je vois ça. Elle nous a eu.

Ils repartent à leur chemin, après qu'un de leur amis les a appelés . Moi aussi, je me dirige vers l'intérieur.

En allant, à la grande salle, je croise Cédric. Lorsque je le vois, j'ai des nausées et je me sens pas bien, comme si que j'allais faire un malaise. A cause de ce rêve, je ne le vois plus comme avant. Pourtant, en soit, il n'a rien fait mais ça m'a quand même traumatisé ce qu'il m'a fait, fin ce que j'ai rêvé.

-Aleyna, tu es sortie, super. Tu vas mieux ?, dit-il avec la joie de me voir.
-Oui oui ça va et toi ?
-Oui. Désolé si j'ai pas pu te rendre visite aujourd'hui. J'ai pas eu le temps.
-Ha bon ? Pourtant Draco a eu le temps pour moi, dis-je pour l'intimider.
-Ha oui ? Bah on a pas le même emploi du temps.
-Pourtant il était chargé son emploi du temps. Il était même presque à rester avec moi toute la journée et raté ses cours.
-Et alors ? Pourquoi tu me reproche ça?, dit-il en faisant l'innocent.
-Pardon ? Évidemment que je vais te le reprocher. C'est à cause de toi quand même, je me suis retrouvé à l'infirmerie, dis-je halluciné.
-Ah je vois qu'il t'a fais un lavage de cerveau, vue que maintenant tu dis aussi que c'est à cause de moi.
-Alors là, pas du tout. On t'a évoqué dans aucune de nos conversations. T'a cru t'étais le centre du monde !, dis-je en haussant la voix de plus en plus.
-Alors pourquoi maintenant tu dis c'est de ma faute ?, lui aussi fait comme moi.
-Tu me le demande vraiment ? C'est toi tu m'a lancé le sort ducon, dis-je choqué de moi car je dis rarement des mots injurieux.
-T'a dis quoi là ?,dit-il en criant que certains élèves qui passent par là se retourne.
-J'ai dis la vérité...

Je passe à côté de lui pour partir mais il me bloque avec son bras. Je reste collé à lui, de l'autre sens. Il se rapproche de mon oreille et me chuchote.

-Écoute moi bien, connasse. J'ai toujours été cool avec toi mais juste une fois j'ai merdé, tu vas me le dire tout le temps. Bah maintenant tu vas voir si je vais être gentille avec toi, sale moldus vide de bon sens dans ta tête.

En me disant ça, il pousse ma tête deux fois comme si qu'il toquait dans. Cela me rend folle et je ne me retient pas. Alors, je lui donne un gros coup du bas à son menton que ses dents claques. Il recule directement et il me lâche par la même occasion. Quand il relève sa tête, sa bouche est en sang. J'ai dû lui casser la dent ou il a dû se mordre la langue. Il me regarde avec tant de haine dans les yeux que j'en ai peur. J'ai peut être été trop forte avec lui. Je le vois s'approcher en furie de moi et il dit.

-Grosse emmerdeuse !

Il me donne tellement une grosse tarte que j'atterris par terre, tête baissée. La douleur est horrible. J'ai les larmes qui monte direct en yeux car je viens d'être humilié devant d'autre élèves.

-HHHEEEE! Enfoiré !

J'entends une personne crier et courir vers Cédric. Je relève la tête et je vois Draco, attraper Cédric comme au rugby. Ils s'écroulent tout les deux par terre, Draco dessus lui. Puis, la Draco se lâche. Il lui donne des grosses baffes à la geule, que certains élèves cris de choque ou de panique. En le frappant, il lui cris aussi.

-Comment ?, une frappe. Oses-tu ?, un autre coup. La toucher?, encore un. Connard.

Il continue ainsi de suite, sans s'arrêter. Ça commence à devenir trop violent, déjà que ça l'est. Je décide d'aller vers Draco pour le stopper. J'ai même pas la force de me lever, que j'y vais à quatre pattes.

-Draco! Stop!, dis-je en tirant son haut.

Il m'entend pas. Je le regarde dans les yeux et je vois encore plus de haine que les yeux de Cédric tout à l'heure. J'essaye d'attraper son visage pour qu'il me regarde.

-JE T'EN SUPPLIE STOP, dis-je en commençant à pleurer.

J'entends des professeurs arriver dans les lieux.

-DRACO !, je cris de toute mes forces que même les profs ont arrêter de courir vers nous et les élèves se sont tait.

Draco aussi a retourné son regard vers moi et il s'est stoppé net dans ses coups, avec son bras levé pour un autre coup. Je le tiens toujours par son visage et j'ai toujours mes larmes qui coulent. Je le vois par ses yeux, perdu mais en même temps apaisé de me voir. Mais aussi, il est inquiet de me voir dans cette état. Il se relâche pour s'assoir par terre.

Une élève s'approche de nous et cris, en voyant Cédric. J'ai pas fais attention à lui et là quand je le vois. Il est remplis de son sang sur son visage et il est à moitié évanouie. Je mets mais main directement sur ma bouche de choque et de dégoût. Les professeurs viennent à côté de nous. Je suis encore plus traumatisé que mon rêve. Alors, déjà que j'avais des nausées, je vomis à côté. Certains professeurs, demande au élèves de partir d'ici. D'autre, s'occupe de Cédric et Severus Rogue geule sur Draco. Toute la scène, j'ai l'impression de la voir en ralentit et en silence, tellement qu'il s'est passé trop de chose rapidement. Pour moi, c'est McGonagall qui essaye de me reprendre les esprits. Lorsque je les reprends, la scène redevient normal et j'entends tout le boucan.

-Aleyna, levez vous. Vous devez partir d'ici.

Je me lève avec du mal. En me levant, je vois en face de moi, Dumbledore.

-Bien, Madame Chourave occuper vous de votre élève et emmener le à l'infirmerie. Aleyna et Draco vous venez à mon bureau.

Avec Draco, on se regarde d'inquiétude car on s'est qu'on va avoir des soucis mais on est aussi inquiets l'un pour l'autre.