Humaine et sorcier

Chapitre 62

-Bien, mademoiselle Aleyna, une moldue venant de l'allé Halle 213, a introduis notre monde des sorciers inégalement. Elle a été introduit par la bibliothèque d'à côté, où les sorciers peuvent aussi la fréquenter. C'est M. Albert, qui a déjà été jugé. Il est condamné à ne plus se déplacer de tableau en tableau. Ensuite, par l'aide de Mme. Jeanette qui nous a averti de l'imposture qui était dans notre monde. Aussi, par l'aide de monsieur Malfoy, ici présent, nous a formellement conseillé et demandé un procès pour cette moldus. Donc, nous allons commencer à la procédure de vote qui permettra de savoir son châtiment. Veuillez citer nos choix Monsieur Roubert, dit-il le monsieur à la tête du procès.
-Vous pouvez voter soit pour l'abandon, du projet avec aucune sanction. Soit, la laisser dans ce monde mais avec une sanction tel que pas le droit d'utiliser la magie. Ensuite, elle peut être renvoyer chez elle sans aucune sanction. Puis, elle peut être renvoyé chez avec en plus le sortilège de l'oubliette, dit-il l'homme.
-Commençons les votes.
-Je me prononce en premier, dit-il M. Malfoy décidé.
Tout d'abord, je trouve inutile quel reste ici, si elle n'utilise pas de magie, ça n'a pas d'intérêt. Ensuite, elle mérite une sanction puisqu'elle a nuit à plusieurs sorcier comme mon fils.

Draco lui jette un regard noir mais son père ne fais pas attention à lui. Puis il reprend.

-Mais pas que, elle aurait fait perdre la tête à un certain nommé Cédric Diggory. Donc, je pense que c'est évident qu'on doit lui faire oublier tout cela, dit-il d'un ton ferme.

Plusieurs, personnes de la salle, prennent leurs décisions et ils sont souvent de l'avis de M. Malfoy. Excepté deux personnes qui ne voient pas de mal à qu'une moldus soit ici. Mais Lucius leur fait la remarque que même si qu'ils s'occupent des problèmes de moldus, ils peuvent pas décider d'une chose absurde, en me gardant.

-Alors, avec le nombre maximum de vote, nous décidons qu'elle soit renvoyée chez elle avec le sortilège de l'oublie, dit-il en frappant son marteau.

-Attendez, je trouve ça injuste qu'elle parte maintenant sans avoir dit au revoir à ses camarades de classes, bondit Draco qui est fusillé du regard par son père.
-Développé.
-Elle apprécie ce monde peut être plus que nous. Ce qui est honorable et nous pouvons en être fier. Sans oublier qu'elle a peint des formidables peinture sur notre monde qui intrigue beaucoup les moldus.
-En plus, de ce fait là, elle doit absolument être punie pour ses actes.
-Je le sais bien mais avouez que cela vous plait d'être apprécier par d'autre. Surtout en sachant que avant les moldus voulais nous exterminer mais plus maintenant. Donc, je propose qu'elle reste encore un jour ici et demain au levé du soleil, je vous l'apporterai moi même ici pour qu'elle rentre chez elle, dit-il Draco sûr de lui.
-Voyons, comment voulez vous qu'on vous fasse confiance. C'est une partie de votre faute aussi. Soyez content que votre père nous a convaincu pour que vous ne subissez aucune sanction. Demain si vous ne l'a ramenez pas, vous serez sanctionné.
-Oui monsieur, je comprend, j'en fais le serment qu'elle sera là demain à 8h tapante, dit-il en closant le procès.

Je vois que Lucius lui dit 2, 3 mots à l'oreille, ce qui fait ronchonner Draco. Puis, tout le monde quitte la salle et Draco et moi nous transplanons à l'enceinte de l'école.

-Draco qu'est-ce qui t'a pris de faire ça. Tu vas gâcher ta vie à cause moi.
-Ma vie serait gâché sans toi. Écoute, je m'en fout j'ai pas envie que tu partes, j'ai une idée.
-Quel genre ?
-Je viens avec toi dans le monde des moldus.
-Hein! Dis-je aberré.
-Oui, si nous pouvons pas rester ici au moins qu'on puisse rester ensemble là-bas. C'est mieux que rien .
-Mais ils vont nous retrouver.
-Non quand ça concerne le monde des moldus, ils s'en foutent mais je sais que c'est mon père qu'on pourra pas le berner très longtemps.
-T'es sûr que c'est une bonne idée, ils savent déjà j'habite où.
-On aura qu'à déménager comme ça tu habites plus avec ta coloc mais avec moi.
-Je-

Il s'approche de moi et prend mes mes joues entre ses mains.

-Je sais que c'est tôt d'habiter ensemble alors que notre relation commence que depuis 1 mois à peine mais je ne vois pas d'autre solution. Je préfère que nous restons ensemble au lieu que toi tu m'oublie et que moi je vis dans la tristesse à vie parce que tu m'aura oublié.
-Laisse moi le temps de réfléchir un peu.

Il m'embrasse le front et nous nous dirigeons dans le bureau de Dumbledore pour lui faire part de son idée. Il a l'air plutôt contente de cette idée que je trouve encore absurde. Mais il nous donne des conseils pour comment réussir notre coup. Étrange qu'un sorcier comme lui ne s'oppose pas à ce genre de chose. Nous sortons avec Draco pour faire nos valises. Je sais pas comment je vais faire pour emporter toute mes peintures. Il faudrait qu'on passe 2 fois ici pour tout récupérer. Lorsque nous avons finit, nous partons dans la grande salle pour dire au revoir à nos amis. Même si que je sais que rien n'est sûr pour lui mais j'ai l'impression que pour moi enfaite c'est sûr qu'on va quitter ici tout les deux. Je sais que dans tout les cas je dois dire au revoir à mes amis. Je leur raconte tout et ils sont triste de me dire adieu. Hermione pleure et m'enlace puis Harry et Ron nous rejoins. Ils me disent qu'ils viendront me voir et m'enverrons des lettres. Ils sont un peu inquiets que je m'installe avec Draco alors qu'on se connaît pas encore très bien mais au final ils pensent que c'est mieux ainsi. Je lâche un dernier regard à eux quand je quitte la salle accompagné de Draco qui a l'air d'avoir la larme à l'œil. Je m'en veux de lui faire subir ça. Il quitte ses meilleurs amis pour moi. L'amour peut rendre aveugle et fou. Je lui prend la main pour le rassurer et pour lui dire que je suis là pour lui. Puis, nous partons nous coucher. C'est la dernière nuit, où nous nous retrouvons dans le monde des sorciers alors nous allons savourer chaque instant de cette nuit ensemble cote à côte. Nous passons la nuit, à nous faire des papouilles, des bisous et des câlins sans rien dire puis nous nous endormons.