Chapitre 8

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• Sia --> breathe me•

Je me réveilla pleine de sueur. Je venais à nouveau de faire ce rêve, ou plus tôt ce cauchemar. En regardant mon réveil je constate qu'il est seulement 2h00. Mais il met impossible de me rendormir, car j'appréhende énormément la journée de demain. La rentrée après les vacances de Noël et de fin d'années. Normalement tout le monde est joyeux et se souhaite encore et encore la bonne année. Dans un mouvement brusque je m'assis sur mon lit et regarde tout autour de moi. Tout me rappel a quel point ma vie et foutue, sans mes parents. J'ai perdu une des choses les plus importantes dans une vie je pense. Je commence a décroché toute les photos de moi avec ma famille, mais aussi avec mes amis. Je balance tout pars terre. J'extériorise ma colère, enfin. Depuis si longtemps elle était enfoui en moi et ne sortait pas. Je cris à en perdre mon souffle. Mes larmes sont un mélange de tristesse mais aussi de colère. Je ne sais pas pourquoi je suis tant en colère que ça. C'est possible que ça soit du au fait que j'ai cette vague impression que mes parents m'on lâchement abandonné . Je commence petit a petit a perdre le contrôle de moi même et cris de plus en plus fort en sortant tous les jurons que je connaissent. Prise dans la destruction de ma chambre je ne fait pas attention que quelqu'un rentre, et je sens deux grands bras musclés m'entoure et me soulever avec une tel faciliter que j'ai l'impression d'être juste un objet. Mes jambes ne touchent plus le sol et je me débat tant bien que mal en mettant des coups de pieds très approximatif dans mon ... mon quoi d'ailleurs ? Je me calme et remarque que ce n'est pas comme je l'aurais cru mon frère mais Davon, son pote que j'ai vus dans la cuisine hier. Ma respiration commence a redevenir normal lorsqu'il me pose enfin.

" - Wow comme première rencontre c'est marquant.

- Je suis désolé de t'avoir réveillé Davon avec tout mon bordel.

- Ouais, t'inquiète pas. Mais c'est vrai que cette chambre et un carnage. Si un jour tu viens chez moi rappelle moi ranger tout ce qui se casse."

Sa remarque me fait sourire et je constate enfin l'état de am chambre. Elle est .. hum, c'est un carnage comme dirait Davon. Mais qu'est ce qu'il m'a pris ? Alors que je commence a réalisé je réfugie ma tête dans le creux de mes mains.

" - Bon écoute Aubrey je t'aurai bien aider à ranger mes je suis crever. Donc bonne nuit."

En sortant il me fis un signe de la main accompagné d'un sourire. Quand je commence a tout ranger je me promet de ne plus jamais recommencé et peter les plombs comme ça. Pour calmer le reste de ma colère que j'ai et éviter de casser d'autre choses je descend a la cave et commence a taper dans mon punching-ball.

Droit, gauche, droit, depuis maintenant une bonne heure j'enchaîne coup de poing et de pieds. Mes phalanges commence a saignés légèrement a cause du frottement. Alors que je repensent a chaque détails de ce qui me mets en colère, je sens des larmes se formés au coins de mes yeux, mais j'en est marre de pleuré. Je pleure depuis 4 jours non-stop, je deviens faible, trop faible. Je ravale mes larmes et continue de me défouler.

*Ellipse d'une heure*

Sa fait maintenant deux heures que je frappe se pauvre sac sans relâche, et je sens que je mes jambes commence a devenir elle aussi faible. Je remonte donc pour prendre un petit truc a manger et boire un coup. Je retourne ensuite dans ma chambre où les traces du carnages sont toujours présentes. J'alla prendre une douche. Sous la douche tout mes muscles se détendirent au contact de l'eau chaude. Je commence à réfléchir. A réfléchir a tout en ce qui se passe en ce moments. Ma mère m'avait dit un jour ~ Si un jour je décède, pour une raison quelconque, je ne veux pas que tu pleures, je ne veux pas que tu t'apitoie sur ton sort. Je veux que tu soit forte, parce que tu l'es ma fille. Je t'accorde que c'est plus facile à dire qu'à faire mais je sais que tu peux y arrivait. Je t'aime Aubrey ~ ses paroles se repentent encore et encore et je réalise que jusqu'à là je n'est pas respecter un traître mot de ce qu'elle m'avait dit. Après mon grand moment de méditation, c'est fou à quel point la douche et le meilleur endroit pour réfléchir, je sors et me dirige dans ma chambre pour lire. Je sors un livre que je dois lire pour le bac de français, aussi ennuyant qu'il est il m'occupe.

"-Aubrey! Aubrey réveille toi tu va être en retard !"

J'émerge doucement et vois mon frère s'affoler autour de moi. Le livre était tellement pourris que je me suis endormi. Je regarde l'heure et vois 7h30 et je suis sensée partir à cette même heure. Et bien je suis très gravement en retard. Je me dépêche donc d'aller m'habiller et pris la direction d'un nouveau défis, le lycée.
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