14. Enfer, sur terre.

744 52 22
                                    







pensée //
oc //




derrière les mauvaises décisions se trouve une bonne raison.
l'ange lui même a ses secrets.
Aime moi, je te fuis.









épisode 14 : Enfer, sur terre

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

épisode 14 : Enfer, sur terre.

bonne lecture.












2009 mots



Naomi Hatashi


-J'accepte de rejoindre l'alliance Shigaraki.

Ce dernier retira la main sur son visage pour me partager son expression faciale, l'étonnement et la fierté se faisait lire sur son visage : il avait atteint son but numéro 1.

-Les portes du feu sont toutes ouvertes. Tu vas vivre l'enfer, sur terre.

-Déjà fais.

Puis je m'éclipsai après avoir prononcé ces deux mots, l'enfer..
La vie n'est rien d'autre que le véritable enfer.

Les mains dans les poches, je pénétrai dans les ruelles sombres impossibles à emprunter le soir.
La peur ?
J'avais vécu dans la terreur.
J'avançai alors tout en ignorant les phrases des alcooliques de nuit.

Je passerai la nuit dans ma maison, cette maison regroupant tous mes cauchemars les plus horribles. C'était une habitation calée dans une sombre ruelle où les trafics de drogues régnaient, une maison assez petite de l'extérieur mais immense de l'intérieur.
Elle restait ouverte la plupart du temps, les clés étant posées sous les rosiers laissaient la liberté à n'importe qui d'y entrer.
C'est lui qui l'avait acheté spécialement pour me torturer, cette maison était l'endroit où il m'avait apprit mes faiblesses : je m'entraînais jours et nuits pour survivre.

Arrivée face à la concernée je pris une grande inspiration avant de trouver les clés, j'entrai ensuite dans la maison laissant tous mes souvenirs refaire surface.

Les escaliers, « si tu arrives à t'accrocher tu vis, sinon tu meurs » il riait tellement fort en voyant ma vie sur cette corde qu'il avait fini par tomber et la lâcher.

Le salon, le sang de cette femme ruisselait sur le canapé.

Tout avait changé, il avait tout changé avant de décéder.
Personne n'avait pénétré dans cette maison depuis, cette dernière était extrêmement poussiéreuse mais les meubles encore bons tandis que l'électricité fonctionnait toujours.

Angel in hellOù les histoires vivent. Découvrez maintenant