pensée //
oc //Derrière les mauvaises décisions se trouve une bonne raison.
L'ange lui même a ses secrets.
Aime moi, je te fuis.épisode 51 : Attirance partagée.
bonne lecture.
2066 mots
Naomi Hatashi
-Je peux ? Questionna-t-il.
-Oui.
Puis ses lèvres s'écrasèrent une seconde fois sur les miennes, mélangeant nos souffles respectifs. Tout mon corps tremblait devant ce contact, nos lèvres se complémentaient alors que nos langues valsaient.
Je ne pensais pas à mon père, à la réaction qu'il aurait eu face à cela, à toutes les absurdités qu'il me disait à ce sujet. Mes pensées s'étaient arrêtées et seul mon cœur qui battait beaucoup trop fort témoignait du magma de sentiments qui coulait dans mes veines.
C'était si beau.. de se sentir en vie.
Je n'avais même pas besoin d'alcool pour me retrouver vivante.
Mon dos retrouva doucement le mur et mon élastique rejoignit le poignet du cicatrisé. Il venait de détacher ma queue de cheval.
Nos lèvres se décolèrent lentement, puis je l'entendis chuchoter, toujours aussi proche de mon visage :
-J'ai pris cette étrange habitude de ma mère.
Il assura ses mots en déposant sa main dans mes mèches brunes, je compris alors pourquoi il passait son temps à poser sa main sur ma tête.
Cela lui rappelait l'affection que lui portait sa mère étant enfant, il voulait me la redonner, pour rattraper nos enfances respectives..Nous nous épaulions sans même le savoir..
Toga avait raison, j'étais tombée bien bas.
Mais je n'avais jamais autant aimé atteindre cette profondeur.
-Je peux ? Demanda-t-il de nouveau.
-Oui. Répondis-je encore.
Il déplaça alors mes cheveux vers la droite et s'attarda sur mon cou, ma tête bascula pour le laisser faire, puis je fermais les yeux pendant qu'il enivrait mon parfum.
-Je te veux entièrement Naomi.. Chuchota-t-il contre mon oreille, avant d'embrasser mon cou.
Je voulais vivre, me sentir en vie.
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Angel in hell
Fanfic« 𝘓𝘦𝘴 𝘩𝘦́𝘳𝘰𝘴 𝘧𝘰𝘯𝘵-𝘪𝘭𝘴 𝘳𝘦́𝘦𝘭𝘭𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘭𝘦 𝘣𝘪𝘦𝘯 𝘰𝘶 𝘱𝘳𝘦́𝘵𝘦𝘯𝘥𝘦𝘯𝘵-𝘪𝘭𝘴 𝘴𝘦𝘶𝘭𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘭𝘦 𝘧𝘢𝘪𝘳𝘦 ? » Naomi, jeune lycéenne de 17 ans, se retrouve à remettre en question l'idéologie qu'on lui a imposée dès...