« 𝘓𝘦𝘴 𝘩𝘦́𝘳𝘰𝘴 𝘧𝘰𝘯𝘵-𝘪𝘭𝘴 𝘳𝘦́𝘦𝘭𝘭𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘭𝘦 𝘣𝘪𝘦𝘯 𝘰𝘶 𝘱𝘳𝘦́𝘵𝘦𝘯𝘥𝘦𝘯𝘵-𝘪𝘭𝘴 𝘴𝘦𝘶𝘭𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘭𝘦 𝘧𝘢𝘪𝘳𝘦 ? »
Naomi, jeune lycéenne de 17 ans, se retrouve à remettre en question l'idéologie qu'on lui a imposée dès...
Derrière les mauvaises décisions se trouve une bonne raison. L'ange lui même a ses secrets. Aime moi, je te fuis.
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épisode 44: La pièce maudite.
bonne lecture.
2298 mots
Naomi Hatashi
Mon estomac se retourna violemment, je vomis littéralement toutes les réserves de mon corps à l'instant où j'arrivai dans la salle de bain. Tout me dégoûtait, que ce soit le contenu de cette pièce ou bien les souvenirs qu'elle réveilla dans mon esprit.
Des crânes, des tonneaux, du sang.
L'image ne voulait sortir de nos esprits.
Cependant, ce qui m'effrayait le plus était sans aucun doute le liquide sur le mur, et le message écrit avec.
« Bien joué mon Chaton ».
C'était comme s'il savait qu'un jour, je reviendrais, il avait une longueur d'avance sur tout et ma rage ne cessait d'augmenter.
Je frottai mon visage avec de l'eau avant de laisser mes deux mains sur ce dernier. Le lourd regard de Frankenstein dans mon dos me déstabilisait plus qu'autre chose. J'inspirai profondément pour reprendre mes esprits et sortis de la salle de bain, histoire de rentrer à nouveau dans la pièce.
Il voulait que je m'en aille, qu'elle m'effraie et m'oblige à refermer cette porte.
Mais je refusais de lui accorder cela, je n'avais plus peur.
Plus jamais.
L'odeur de l'espace était normale, un sentiment de sécurité m'effleura, puis je me rappelai la personne qu'il était.
Et de son intelligence.
-Tu devrais peut-être reculer, je peux l'ouvrir si tu veux. Lâcha la voix derrière moi, mais trop tard, j'avais déjà ouvert le premier tonneau.
Un nouveau haut le cœur arriva en inspectant l'intérieur et une horrible odeur se dégagea dans la pièce.
-Putain de merde, ça empeste ferme ce truc !
De l'extérieur, cela ressemblait à de l'eau, mais je penchais plus vers l'acide lorsque ma main se plongea à l'intérieur.
-Naomi ! Bordel espèce de stupide gamine inconsciente ! Aboya-t-il en relevant violemment ma main. On ne sait pas ce qu'il y a dedans, mets des putains de gants au moins !
