XXII

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C'est en lisant toutes ces lettres chaques jours que mes pensées pleurent. Je regarde aussi le paysage, partout je le regarde, au moins une minutes chaques jours pour bien regarder toit les temps, tout les paysages avant de m'en aller. Je ne savais pas qu'il avait cette partie en lui. Je ne savais pas qu'il était autant dans ces pensées et dans ces ombres.

Je veux tellement le serrer dans mes bras. Je regarde mes dessins en pleurant, tout change. Tout disparaît pour renaître comme un dieu. Je n'ose même plus écrire. Pourquoi? Car si j'ecris, il vas ecrire encore des choses d'ombres, il vas perrir dans le noir et le vide.

Si seulement je pourrais l'embrasser. Et lui dire qu'on vas se retrouver.

Mais dire et faire cela sera mensonge. C'est ainsi que j'ai arrêter d'écrire pendant deux simples lundi.

J'ai maintenant un petit copain. C'est mon ancien ami qui m'a dit "je t'aime" du moins...non il me l'a pas dit. Pas réellement.

Sommes nous les deux seuls êtres qui vivent et rêve ? Aaron. Pardonne moi pour tout ce que je te fait subir. Je rêvasse et rêve à pleins temps. Je voyages de temps en temps, je chantonne dans ma tête en pensant à toi. Je me déclare chaques jours dans mes rêves. Je discute avec mon coeur car je ne sais pas quelle décision prendre, je cours sur une route vide en pleurant et en souriant, je fais tout en une seule fois, je fait rien en plusieurs fois.

Je ne respire plus.

....... Lettre je ne sais pas combien.

Aaron,

AnaëlleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant