NSFW||~One shot x fem!reader —comprend la reproduction, la domesticité, le clairon, la colère légère, le pli de taille, le marquage rugueux et dégradant
La pâte que vous rouliez était encore trop humide, prenant une poignée de farine sur laquelle vous l'aviez giflée. En appuyant furieusement, en répétant les mêmes étapes. Roulez-le en boule, pétrissez-le. Au milieu de la folie qui se passe ces dernières semaines, au moins, vous devez vous en sortir, même si c'était pour de mauvaises raisons.
Dans une petite cabane au milieu des bois, mais tu n'étais pas seul. Ce n'est pas comme si vous étiez enchaîné, vous pouviez marcher et faire des tâches librement. Essayer de s'échapper était inutile, vous pouviez toujours partir mais ce n'était pas comme s'il y avait un endroit où aller. Les bois étaient vastes et effrayants, être seul là-bas était pire que d'être dans la maison.
Au moins, dans cet endroit, vous aviez à manger et un lit pour dormir chaque nuit, peu importait que ce soit avec lui . Au début, tu étais terrifiée par l'homme masqué qui t'a kidnappé et t'y a gardé. Il n'enlèverait jamais ce masque, portant toujours la même expression cryptique en noir et blanc.
Il a même licencié un peu, ne parlant pas et vous laissant simplement seul. Partir pendant des jours pour faire Dieu sait quoi. C'était jusqu'à ce qu'il rentre à la maison avec une large entaille à la jambe, saignant et boitant sur le pas de la porte avec son masque suspendu. Il était vraiment attirant, avec des cheveux et des favoris bruns doux, ses yeux étaient sombres et magnifiques.
Étant la personne que vous étiez, vous avez à peine hésité à le nettoyer et à recoudre la plaie. S'occupant de lui alors qu'il se rétablissait, il n'était qu'un humain après tout. C'est alors qu'il a décidé qu'il voulait que vous soyez sa femme. Pendant deux jours plus tard, il est resté et vous a regardé faire les tâches quotidiennes. C'était sa chose préférée à faire, te regarder faire les tâches ménagères comme une bonne femme devrait le faire. Renverser volontairement du café sur le sol pour vous regarder vous mettre à genoux et nettoyer.
« Je veux que tu sois ma femme » dit-il nonchalamment.
Tim ne comprenait pas comment tu pouvais être aussi indigné, comment tu avais juste commencé à lui crier dessus. Des larmes coulaient sur ton visage rouge alors qu'il plaquait tes mains contre le mur pour arrêter ton explosion. Après quelques mois à t'avoir observé puis vécu là-bas avec lui, tu étais à lui. Il vous avait manifestement revendiqué, alors pourquoi pleuriez-vous ?
Comment oses-tu lui faire ça ? Il t'a pourvu et s'est occupé de toi, pourquoi as-tu été si ingrat ? Ignorant vos sentiments alors qu'il a forcé la bague à votre doigt. C'était joli aussi, fin, lisse et doré. C'était si réfléchissant qu'il brillait à chaque lumière, un rappel pour lequel on vous avait parlé.
Rien que d'y penser vous mettait en colère, presque au point de frapper la pâte devant vous. L'idée que maintenant tu étais sa femme te rendait furieux. Comment ose-t-il vous kidnapper et ne vous donner d'autre choix que de l'épouser. C'était un miracle qu'il ne s'était pas encore imposé à toi.
Mais ça, c'était quelque chose qu'il savait au fond de toi que tu voulais. Il attendrait que vous veniez à lui, ce ne serait plus long maintenant. Vous deviez retenir vos grognements pendant que vous frappiez la pâte, étouffant les sanglots retenus.
Tu préparais des cookies pour accompagner le cheesecake que tu as fait plus tôt. Il était actuellement dans le four en train de lever. La cuisson au four avait été un réconfort parmi toutes les autres choses qui se passaient.
Tu étais en colère qu'il t'ait emmenée, que tu devais faire tout ce qu'il disait, que tu avais une bague au doigt et que tu avais sur le tablier jaune pastel à volants qu'il te faisait porter.
