Partie 50

8.3K 626 26
                                    

La bonne humeur n'était pas au rendez-vous.

Tout l'monde etait silencieux. Rare sont ceux qui riaient entre ces murs qui respirait la tristesse et le mal de vivre.

Nassim etait arrivée avec sa femme et ses 3 enfants. Aliya, Tahar et Mohamed. Ils avaient tous entre 4 et et 8 ans.

L'ambiance etait ... mortuaire. Pourtant Younes, Mon Younes, il etait toujours en vie. Alors qu'allait- il se passait après?

Un par un, sa famille rentrait dans sa chambre. Le medecin disait qu'il ne fallait pas rentrer a plusieur. Il n'a pas non plus dit qu'il fallait rentrer un par un. C'est nous qu'avons proposer cette régle.

Nassim - Ça va bien s'passer ... T'es forte Aisha Wallah !

C'etait enfin mon tour, je me dirige dans sa chambre tandis que le salon se vidait. Il se faisait tard.

Je me pose a ses côté et lui caresse le visage. Il avait les yeux a moitié ouvert et respirer lentement.

Son visage etait blanc et en manque de vie. Son silence appeller a l'aide mais son corp nous demander de le laisser en paix.

A sa vue, une boule c'est former dans ma gorge. Mon coeur ne faisait que battre. Et mon ventre ... J'avais l'impression de recevoir des gros coups de couteaux, plus profond les un que les autres.

Cette reaction ? C'etait un melange de peur et d'amour que je lui portais chaque jours seconde par seconde.

Il me souriait ... enfin il essayer. Et rien que cet effort de sa part me tuer a petit feu.

Je lui sourie et sans pouvoir me contrôler je m'effondre. Sa main dans la mienne. Yeux dans yeux, coeur a coeur, Homme a femme.

Il etait tellement beau ... tellement lui ... tellement bon ... tellement gentil que je voulais pas le laisser s'en aller.

Pas après tout ça, pas après tout c'quon a vécu .. tout ceux qu'on a partager.

Je trouvais ça injuste.

Je lui embrasse le front, la main tout en pleurant. Il se met a carresser mon ventre de manière très faible alors j'ai pris sa main et je l'ai fais passez sur tout mon ventre pour qui puisse au moins sentir ce qu'il  conçue.

Mon coeur est a lui.

Il s'endort doucement. Je lui murmure un je t'aime. Et peu de temps après il s'endort. Je n'aimais pas le voir dormir. Je preferer le voir eveiller. J'avais peur que dans son sommeil .. qu'il ne soit plus en vie ...

Je le laisse la et sort de la chambre. Restez enfermer avec tout ces gens triste me rendait mal.

J'ouvre donc la porte et sort prendre l'air sans prevenir personne. Arrivée dehors je respire un grane coup et me met a marcher et a examiner la solitude dans la quelle je m'engourfer tête première.

L'envie devoir du monde me rendait malade. Je ne voulais etre en contact avec personne. J'avais besoin d'etre seul pour pouvoir penser tranquiller sans etre deranger par des histoires dont je ne suis pas concerner.

Ils meurent. Petit a petit. Et je pense que c'est sa le pire pour. Si je pouvais je donnerais ma vie pour la sienne.

Avec amour j'ai pris la poudre d'escampette j'ai desirer le coup d'foudre j'ai dis bonjour a la tempête.

Mais pourquoi  se justifier ? L'amour ne s'explique pas.

Je peux que profiter de l'instant présent. Une des phrases favorite de Younes.

A cet instant il est devenue toute ma vie. Ils avaient tord les gens l'espoir il existe encore.

Mais je me dis que c'etait trop beau pour durer ... J'ai mal de vous que j'ai aimé j'aime et j'aimerais toujours le même homme.

Pourquoi?

Parce que avant lui j'avais aimé et avant lui j'avais détruit. Je croyais plus en l'amour. Et je l'ai connue. J'ai connue Younes. Qui en quelque sorte etait dans le même cas que moi. Et il m'a montrer qu'on pouvait aimer intensément. Il m'a montrer tout ce dont j'avais besoin de voir et de connaitre. Il m'a appris a aimer. Pas de la meilleur façon mais il me l'a appris.

Alors vous comprenez ... ? Vous comprenez a quel point j'ai mal ? A quel point il compte pour moi? A quel point You il est indispensable a ma vie ?

Je l'aime tellement que mon coeur en saigne. Il est un exemple pour moi. Un exemple que je penser jamais connaitre dans ma vie.

Il m'evitait pour m'empecher de souffrir mais je souffrais quand même. Il me faisait souffrir pour que j'evite de m'attacher a lui pour que je le deteste. Mais ça n'a pas marcher. Mon coeur finissit par battre pour lui comme toujours. Et pendant tout ce temps ... Il souffrait de l'absence que je lui cosait quand je l'evitais.

Il a essayer de me sortir de sa vie mais non j'etais toujours etait la.

J'ai tellement marcher que je suis arrivée chez moi. Je croise mon frère il essaye de me remonter le moral et je monte. Ma mère, ma soeur et Aya etait la. On parle un peu je vais  dans ma chambre et m'endors.

Quand les opposés s'attirent Où les histoires vivent. Découvrez maintenant