C'était un jour d'août 2022. Le dernier jour de mois. Le jour de la rentrée. Les lueurs dorées et bleus pastels de l'aube rayonnaient dans le ciel ce jour-là.
Ce matin-là, j'étais sortie dehors avec une boule dans la gorge et les yeux couvert d'un voile d'eau. Un joli sourire avec de jolies larmes. Personne dans ce bus ne savait que je pleurais dans mon sommeil. Personne n'aurait jamais dû le découvrir.
Personne et jamais.
Je me sentais observé dans le bus. J'ai cru au début que c'était mon anxiété sociale qui y était pour quelque chose, mais quand j'ai tourné la tête vers sa direction et que je les surpris en train de me regarder, j'ai paniqué.
J'ai agi comme si je ne l'avais pas vu et j'ai fui derrière l'école dès que je suis sortiedu bus
J'ai pensé que j'étais si con de m'être assied sur le 4ème banc de gauche, que j'aurais du me mettre encore plus au fond pour pas re remarquer et puis une voix grave à interrompu mes pensés.
Aujourd'hui, je pense que je me serais jamais pardonner de m'être assied au fond.
J'avoue, j'ai d'abord pensé à mon père quand j'ai entendu sa voix. J'ai pensé à lui car j'ai eu peur que ce sois lui.
Mais ce n'était qu'un pauvre type. Un type perdu sans ami, cherchant un bouche troue. Un pauvre type. Mais je n'étais pas mieux. Je suis un pauvre type et en plus pas présentable. Je pleurais. J'étais putain de vulnérable. Donc, je n'étais pas mieux. Alors, j'ai essayé quand même de cacher un minimum mes larmes. Et après, pour répondre à son «Ça va?» jelui ai sortie le même discour que je sors à tout le monde.
- Yep! T'es pas le gars du bus toi? Je t'avais pas vu venir pardon.
Il est resté un peu bloqué et puis il a commencé à être nerveux.
- Ah bas... Oui! J'avais rien à faire et je t'es vu partir derrière le lycée et- Bas je me suis questionner- et-...
Le temps, c'est arrêter quand il a commencé à parler. Tout ses mouvements... Tout ses mouvements me facinnaient, la main dans les cheveux, le sourire nerveux, le craquement de doigts, sa voix qui vassiler et les tremblements incontrôlés... Je suis tombé sous son charme de la pire manière. J'ai compris qu'entre lui et moi, il n'y avait pas de ''meilleur'', puisqu'on est tout les deux pareils. Nous avons les mêmes tics nerveux et ça m'a passionné et rassuré. Je me suis sentie compris. Moins seul. En confiance. Et quand je l'ai vu reculer d'un centimètre je me suis empresser de le couper et de le garder prêt de moi pour ressentir encore un peu ce sentiment inconnue.
- T'inquiètes pas. Je viens toujours ici quand je suis seul et que je n'ai pas de truc à faire. C'est mon petit coin de paradis, on va dire puisqu'il y a jamais personne le matin. Tu veux t'asseoir?
Je lui ai indiqué où s'assoir en tapotant la place à côté de moi. Il s'est installé à mes côtés tandis que je le regarde faire, souriant, les yeux pétillants et le visage illuminer par les reflets du soleil. J'étais juste... Heureux de voir quelqu'un aussi nerveux et timide que moi.
- Tu t'appelles comment?
- Jordan...
Absorber par ton image, ton sourire, et putain que ça fait cliché. Mais c'est la stricte vérité et réalité.
Je me rappellerais sûrement toujours de notre rencontre, de cette rencontre et de toute la journée en question. C'est le genre de date dont tu te rappelles 50 ans après.
Jordan, je ne sais pas comment n'y pourquoi je ressens ça. Je suis presque sûr de ne pas être gay. Je ne sais pas si c'est de l'amour ou juste que j'ai des problème d'attachement.
J'ai pensé à toi toute la journée après. Toute la nuit, chaque fois que je voyais tes yeux dans mes souvenirs, je me sentais rassuré. Et comme toujours, j'ai tout gâché avec mes sentiments.
Car je suis lâche Jordan.
Je t'aime Jordan. Pardonne mes sentiments interdits, mais le mal est fait, mon amour est là. Les questions dans tes yeux me pique le coeur comme à chaque fois que tu fronce les sourcils quand tu ne veux pas croire mes paroles. Chaque fois où j'ai dit que je t'aimais et que je voyais, le doute et la peur. Je peux lire en toi comme dans un livre ouvert vu que tu es comme moi. On est pareil. Et on te côtoyant, j'ai réussi à me comprendre d'ailleur. Tu m'as sauvé
Donc Jordan, oui.
Oui.
Je t'aime.
♡
[À SUIVRE]
Pardonnez la base qualité, j'ai fait ce chapitre one shot aujourd'hui il est presque 0h00 donc bon.
La suite arrive... Bientôt vous inquiétez pas je vais pas reprendre 2 mois :D
780 mots
VOUS LISEZ
Family [Joystu]
FanfictionC'est l'histoire d'une bande de lycéen qui aiment bien boire et rire avec du rap en fond :) **[Cette fanfic à 0 sens, y a plus rien qui va à la fin j'ai fait n'importe quoi jpp-] * Il n'y aura pas tout les membres du loat. Théodort, Linca, Hctuan...