6) Fumée addictive

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- T'écoutes quoi Jo' ?

- Mozart Capitaine Jackson.

- T'as de bon goût au moins...

Jordan dessine sans passion sur un bout de papier avec l'aide d'un petit crayon trouver sur la table ou le groupe se sont installés.

La tête contre la table, Théo regarde Jordan dessiner les yeux dans la vague.

Théodort et Thomas sont aussi la, attendant aussi le retour de Simon et Arnaud avec la bouffe qu'ils ont promis de ramener pour tout le monde.

Ils finissent par arriver avec 3 kinder surprise.

3 kinder pour 6. Donc la stratégie de la demi se met en place.

Il y a 3 kinder. 3 kinder qu'on peut diviser en 2 donc qu'on multiplie se qui donne 6.

Chaque groupe de 2 aura un kinder....

Les équipe sont déjà former. Théo et Jordan, Théodort avec Thomas et Arnaud avec Simon.

Chacun graille sa moitier de kinder et ouvre sa surprise.

Entre la figurine de cristopher de la reine des neiges, la mini toupie - qui fonctionne incroyablement bien - et la mini voiture, chacun trouve son bohneur en jouant avec leurs jouets jusqu'au bruit de la cloche annonçant que les cours recommence.

***

L'après-midi ce passe comme prévue avec math et sciene, même si Jordan s'endort au bout de 10 minutes après le cour de science, malgré ses efforts pour garder les yeux ouvert.

La dernière cloche de la journée sonne enfin, laissant place aux élèves qui déboullent dans les corridors.

Théo rejoint le brun à son casier et les deux se dirigent sans engager la discution vers leur arrêt de bus commun devant l'école.

Deux, trois élèves venant de la même école sont présent mais pas grand monde quoi. Le bus est vide avec seulement quelques personnes trop concentrer sur leur téléphone pour prêter attention au nouveaux venus.

L'autobus démarre est plus le temps passe, plus les paupières de Jordan deviennent lourdes. Théo a beaux lui parler mais sa fatigue est plus forte.

Il frotte ses yeux de ses deux mains et le métis comprend le problème et cesse de parler.
Il pose sa mains sur la tête de brun et l'appuiye contre son épaule pour que celui-ci lui sert d'oreiller.

Jordan se redit face à se contacte déplacer à son goût.

- C'est gay.

- Je suis pas gay donc entre nous ça les pas.

- On se connait pas.

- T'inquiète pas. On a tout notre temps.

Jordan renonce à argumenter fatiguer et se sentant bien là ou il est au final.

L'odeur du métis l'apaise. Celle de la fleur blanche. Douce et réconfortant pour Jordan qui à toujours aimer cette odeur qui l'envloppe actuellement.

Le sommeille le prend et il s'endort sur l'épaule du métis qui regarde par la vitre la banlieue.

***

Le bus s'arrête à leur arrêt et les 2 hommes se salut de la main en guise d'aurevoir, ne prenant pas la même rue pour retourner chez eux.

Le brun arrive chez lui après 5 minutes de marche sous le soleil de la fin d'été.

Un faible sourire s'étire sur son visage à la vu de la voiture grise de son père dans le parking de l'immeuble.

Montant les escalier par marche de deux, en ouvrant la porte de son appartement, il se dirige d'un pas préssé vers le salon où il voit la silhouette de son père couché sur le canapé.

Dos à lui.

Son sourire s'efface et ne voulant pas briser le sommeille si fragile de son père, il se dirige vers sa chambre sans lui adresser un deuxième regard.

Barrant à clé la porte de sa chambre, il laisse son sac glisser sur ses épaules et tomber sur le sol. Sans l'ombre d'une hésitation, il s'empare d'une main lasse le briquet poser sur son bureaux.

Il se laisse tomber sur son petit lit sortant son paquet de cigarettes de la poche de son jogging.

Quel merde la cigarette. Mais elle procure un si grand plaisir plaisir d'un côté...

Cette sensation de détente à la vu des nuages gris qu'il souffle à répétition...

C'est également un antidépressive et coupe-faim pour le brun.

Les minutes passent, les heures passes, et il est toujours là. Dans son, lit à fumer des joints et à ce divertir sur les réseaux sociaux.

Le soleil tombe rapidement et vers les coup de 17h00, la porte de l'entré principal claque.

Jordan se lève et sort pour aller voir si la personne ayant claquer la porte est bel et bien partie.

Cigarrette à la main, il rentre dans son salon et son père est bien partie.

Il reste un moment dans l'obscurité à scrupter le vide.

C'est calme. Silencieux. Et il ne supporte plus ce manque de présence humaine.

Il enfile sa veste et sort précipitamment vers le parc du quartier ou les autres fumeurs s'y retrouve.

C'est sa 11ème clopes et il ne se lasse pas du goût addictif de celle-ci.

Assied sur l'un des nombreux bancs taguer du parc, il peu apercevoir d'où il est, des gens parler entre eux suivit de rire.

Il sourit face à la solitude qui l'accompagne comparer à eux. C'est débile vu comme ça.

Le vent fait remut le feuillage des arbres. La lune caché par les nuage et les lampadaires éclairant l'allé.

- Jordan?

[À SUIVRE]

Family [Joystu]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant