Prologue

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Un autre jour à se lever en même temps que le soleil. Les cernes sous les yeux du jeune homme le rend méconnaissable. Elles gagnent toujours du terrain grâce à ses 4 heures à sommeil quotidien

Son regard bleuté se pose à travers la fenêtre de sa chambre, ou les lueurs dorées et bleus pastels de l'aube réyonnent dans le ciel.

Un soupire de fatigue passe entre ses lèvres. Il s'étire un peu et détourne au passage le regard du ciel pour dévisager une photo encadré par un cadre de bois, à côté d'un des cafés de la veille.

La vitre est raillé. Cependant, la photo est toujours intacte.

Elle est ici. Avec lui sur photo.

C'était il y a 4 mois. La photo la représente lui, avec une vielle femme devant avoir la soixantaine. Tout deux souriant, remplie de rêves et d'ambition.

C'était avant.

L'homme aux yeux si claires mais noircie par la fatigue ouvre l'un des tiroirs de sa table de nuit et prend les cigarettes cachés dans celui-ci.

Il se lève avec mal et se dirige vers la cuisine pour prendre le briquet mit en évidence sur le comptoir vide.

Reposant ses coudes sur la rembord du levier ou un tas d'assiette s'empille, l'homme inspire et soupire de faibles nuages gris qu'il regarde s'évaporer dans l'air.

Il fini par se lasser de la vu de la fuméen qui sort de sa bouche et écrase sa clope contre le plan de travaille. L'appartement pu la clope et le café. Il tend son bras et aggripe une tasse ou se trouve le restant du café froid d'hier, histoire de se donner meilleure mine.

L'homme soupire péniblement, encore une fois, et se lève pour se diriger vers sa salle de bain pour se préparé à sortir.

Sortant de la douche, serviette à la taille, il balance un vague regard vers le salon. Son père n'a pas l'air de vouloir rentrer de si tôt...

Celui-ci qui avait l'habitude de passer ses journées affaler dans le fauteil imposant du salon, à regarder la télé dès qu'il rentrait d'une journée de travail.

Maintenant il préfère passer ses jours et ses nuits aux côtés de sa mère. Rentrant seulement pour manger ou pour se laver.

Sa mère... Une belle femme. Forte et compatissante. Comment va t-il faire le jour ou elle partira? On dit que ce sont des êtres cher.. Autant mourir à leur place.

Si il l'avait pu, le brun lui aurait donné son coeur pour qu'elle vive encore un peu dans la joie et pas dans la déprime, sur un lit d'hôpital.

Il sait qu'elle va mourir. Il sait qu'elle n'en n'a plus pour très longtemps. Mais il préfère vivre dans le dénit et la musique. Un beau duo qui lui sert à changer de monde en un cour instant.

Jogging gris avec le chandaille de la game de son lycée, écouteur dans les oreilles, et sac sur le dos, sa deuxième année en tant que lycéen commence maintenant.

[À SUIVRE]

Family [Joystu]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant