Until I Die

ℒ'ℰ𝓃𝓉ℯ𝓃𝓉ℯ | 2

Conor

Espèce de petit merdeux, je savais bien qu'il y avait une taupe parmi mes troupes, mais lui ? Jamais je n'y aurais pensé. Une chose est sûre, il va bien pourrir avec l'autre filleul du voleur.

Je fais des papiers dans mon bureau comme à l'habitude, c'est le seul moyen d'occuper mes pensées. Si je ne travaille pas, je m'entraîne.

J'entends ma sœur crier, je me lève d'un bon et cours au salon. Je dévale les escaliers en deux temps trois mouvements.

J'arrive dans la pièce, inquiet et essoufflé. Je vois ma sœur se tortiller et rire aux éclats, mes yeux regarde ce qui est la cause de ce vacarme et je vois Lyam. Je souffle et je m'approche, je prends son épaule et le tire vers l'arrière.

- Salut Conor, ça roule ? Il demande avec un sourire.

ARG, IL M'ÉNERVE !

- Conor assied-toi ! Dit ma sœur en m'asseyant de force sur le canapé.

Les deux se postent devant moi, en prenant un air autoritaire, les bras croisés.

- Tu vas donner une chambre à ta prisonnière. Lance Lyam.

- Non. Je dis en roulant des yeux et en essayant de me relever.

Ils me repousse sur le divan. Je grogne de mécontentement et je fronce les sourcils.

- Conor, aimerais-tu me voir à sa place ? Je ne pense pas, il fait froid et elle est mal nourris, elle va probablement mourir.

- Je n'en ai rien à faire d'elle.

C'est la vérité, son oncle à voler une voiture pleine de drogues, c'était ma cargaison, et ça m'a fait perdre des milliers de dollars. Alors, elle ne sortira pas tant que je n'aurais pas récupéré l'argent. Ma sœur m'observe avec des yeux remplis de colère. Ils continuent de me donner des arguments.

C'est ennuyant, et j'ai hâte de pouvoir retourner travailler.

Nous sommes interrompus par la porte d'entrée qui s'ouvre en trombe. Je me retourne automatiquement avant de voir deux de mes hommes transporter Ryan, un de mes meilleurs amis. Je me lève automatiquement et je crie à Ella d'aller dans sa chambre, elle y court sans broncher.

Ils posent Ryan sur le canapé, je me mets à tourner en rond, il est touché dans la jambe, le sang gicle sur le tapis. Ce n'est pas une balle, mais plutôt un couteau.

Mon passé revient...

- Donne-moi les clés de la cellule MAINTENANT ! Me crie Lyam.

- Bordel, Lyam, on en reparle tantôt ! Je crie à mon tour.

- PUTAIN, MAIS FAIS MOI CONFIANCE POUR UNE FOIS, DONNE MOI TES CLÉS, CAC NAOFA ! (PUTAIN DE MERDE)

- Hors de question, je te suis. Je réponds en essayant de garder mon calme.

- Jakob, toi et Kelyan, tenez bien sa jambe et empêcher le de s'endormir. Je dis à mes hommes.

Lyam m'entraîne dans la cave, il m'amène devant la cellule de la brune. Elle est accroupie au fond et évite mon regard.

Je suis un monstre...un monstre...un monstre.

- Nous avons besoin de toi. Il lui dit.

Je le regarde avec un regard plein d'incompréhensions.

- Elle est médecin. Il dit en s'adressant à moi.