{Tome 2} October the 1st 1989. /☂️Umbrella Academy Fanfiction☂️\

~2~

Après une bonne nuit de sommeil dans un lit incroyablement moelleux, je m'étais levée comme une fleur, l'esprit serein. Je sais avec quoi je commence ma nouvelle vie. Je ne peux pas m'occuper de Raphaël encore car Cinq n'a pas l'âge corporelle requis donc je dois m'occuper des choses importantes. Premièrement, rejoindre l'adresse que j'ai trouvé pour trouver Steven.

Je m'étais habillée proprement. Après avoir refais ma tresse, je suis descendue, un léger sourire aux lèvres.

En passant dans le hall, je regarde autour de moi.

Comment je vais me rendre là bas moi?

“Tessa? j'entends Cinq et me tourne vers lui, le voyant au comptoir en tenue de pêcheur.”

Qu'est-ce-qu'il me fait lui...?

Je m'approche, un peu dans le jugement, je l'avoue et m'arrête devant lui.

“Qu'y a-t-il Papi? je demande et il plisse des yeux.
- Où tu vas?
- Ola, excuse moi, je savais pas que j'avais besoin d'une autorisation de sortie.
- Ce n'est pas ça, je préfère juste savoir où tu es en cas de problème.
- Je suis suffisamment grande pour me défendre seule, mais merci quand même le symbole même de la virilité avec tes gambettes de cinquante centimètres et ta petite bouille d'ange. je lui attrape le menton et il se dégage de ma prise. J'reviens vite Papi. je lui souris en le saluant, m'éloignant.”

Je fais un coucou à Klaus et Diego de loin et atterris dehors. Je regarde un peu partout et me pose au bord du trottoir pour faire du stop.

Une jeune femme aux cheveux verts, accompagnée de deux enfants de bas âges, m'accepte dans sa voiture.

“Merci énormément. je souris en retirant mon chapeau.
- Vous n'avez pas de voiture ? elle demande et je ris légèrement.
- Disons que je l'ai perdu à Dallas.
- Oh! C'est pas la porte à côté. Qu'est-ce que vous faites ici?
- J'habite ici, en réalité... Enfin, pour le boulot j'ai du aller à Dallas et... Il y a eu un incident.
- Maman! j'entends une voix de petite fille derrière moi et la concernée lève les yeux vers son rétroviseur intérieur.
- Les enfants du calme. elle ordonne et je souris.
- Il arrête pas de m'embêter ! la blonde pointe son frère, j'imagine, tandis que ce dernier lui fait des grimaces.
- Ukyo... la mère râle et le garçon se tourne vers elle.
- Elle ment! J'ai rien fait du tout.
- Calmez vous, c'est tout.”

Les deux regardent par la fenêtre en boudant et je ris légèrement. Et bien, ils ont des têtes bien dures.

“Désolée... la verte souffle et je me tourne vers elle.
- Ce n'est rien. Ce sont les vôtres tous les deux ?
- Oui. Et j'en ai une un peu plus grande qui est actuellement avec son Papa, nous allons les rejoindre tous les deux au parc. elle m'explique et se tourne vers moi. Vous avez des enfants ?
- J'en avais. On me les a enlevé. Mais je compte les récupérer bientôt.
- Vous avez besoin qu'on appelle la police ? elle demande inquiète et je ris légèrement.
- Non. Ne vous en faites pas.
- Vous êtes sûre ? On peut lancer un avis de recherche et-
- Vraiment, ne vous en faites pas. je lui souris d'un air rassurant. Cette affaire est réglée. Et je vais bientôt les revoir tous les deux.”

Elle semble perplexe et hoche la tête en se reconcentrant sur la route. Je fais de même en insultant intérieurement tous les chauffards qui ne savaient pas conduire. La vie moderne m'avait manqué mais je me serais passé des mauvais conducteurs.

Nous arrivons devant un bâtiment blanc, plutôt moderne, et je vois la verte se pencher vers le GPS.

“C'est bien ici. Je peux vous poser une question ? je me tourne vers elle.
- Allez y.
- Qu'est-ce que vous venez faire ici?
- Revoir un ami, j'espère.
- Oh. Vous vous êtes donnés rendez-vous ici?
- Pas vraiment. Mais je sens que c'est ici.
- Oh. Très bien. Vous aurez besoin qu'on vous ramène ?
- Oh non, je ne sais pas combien de temps nous prendrons et vous devez rejoindre votre mari.
- Très bien. Vous voulez mon numéro ou une coordonnée pour au cas où vous avez besoin d'aide?
- Non. je souris en la voyant aussi bienveillante. Vous avez déjà fait beaucoup.
- Très bien. Les enfants, vous dîtes au revoir ?
- Au revoir Madame ! les deux me saluent de la main et je leur réponds en un sourire.
- J'espère que vous retrouverez vos enfants. elle souffle et je lui souris.
- Je le ferais. j'hoche la tête et ferme la portière.”