L'enlèvement 🔞 [Levi X T/p X Erwin]

Chapitre 85

Bastien m'a quitté vers 7h du matin pour aller faire du sport tant que l'air était frais. Je l'ai encouragé de loins. Je me suis levée quand même une heure après lui pour sortir les chats et apporté un café à Erwin. Je lui ai promis de m'occuper de sa blessure alors je le ferai. J'ai toqué à sa porte il ne m'a donné aucunes réponse alors j'ai fais comme chez moi. Erwin s'est pointé exactement 2 secondes plus tard.

- Bonjour Major.

Erwin : « Je te l'ai déjà dit tutoie moi quand on est tous les deux. »

- Je t'ai apporté ton café.

Erwin : « Merci. Que me vaut cette visite de si bon matin ? »

Lui même il est surpris que je me lève tôt.

- Tu me manquais bien évidemment.... Nan en réalité je vais te masser. Est-ce que tu as ta crème magique ?

Erwin : « Ça me touche je ne t'ai même pas manqué. »

Il a bu une gorgée de son café en m'analysant de ses yeux bleus ciel avant d'aller chercher la crème dans sa chambre. Il m'a fourni sa fameuse crème et j'ai attendu patiemment qu'il enlève sa chemise pour lui appliquer. Je l'ai maté sans aucunes retenues défaire chaque boutons. Mes jambes ont du se serrer l'une contre l'autre pour retenir le flux qui s'immisçait dans ma culotte. Pourquoi mon corps me trahit il comme ça ? Il a ôté les deux boutons sur ces manchettes. Je me suis placée derrière lui pour l'aider à se débarrasser de sa chemise.

Erwin : « Merci. »

- Ça va mieux depuis la dernière fois ?

Je lui pliais soigneusement sa chemise sur son bureau et reprenais la crème en main.

Erwin : « Oui je peux à nouveau dormir sur le dos. »

- Cool.

J'ai commencé à étaler la crème sur son dos meurtri. Je masse soigneusement ses trapèzes puis je monte mes mains sur le dessus de ses larges épaules.

Erwin : « Si tu continues comme ça je vais te demander je jouer l'infirmière à vie. »

- L'uniforme est avec major ?

Erwin : « Ça ne saurait tarder. »

- T'es bête.

J'ai refermé le pot et je suis allée le ranger dans la salle de bain le temps qu'il se rhabille. Néanmoins en revenant dans son bureau seulement sa chemise était sur lui déboutonnée. Il dégustait son café lentement en admirant la vue par la fenêtre. De mon côté j'admirais celle que me procurais ses abdos.

Erwin : « Il est vraiment bon. Merci.»

- De rien.

Erwin : « J'ai quelque peu parlé à Mike. Il ne viendra plus t'embêter. »

- Quand ?

Erwin : « Quelques instants avant que tu ne cries contre cette pauvre araignée. »

Quand j'y repense ça me fout la haine car l'autre a profité de mon état de faiblesse pour se rapprocher de moi.

- Qu'est-ce que tu lui as dis ?

Erwin : « Il ne doit plus interférer dans ma vie privée surtout quand ça te concerne. Notre histoire nous a à tous les deux causé du tort. »

C'est ton travail et Marie qui a bouffé notre histoire. Tout allait bien quand on était tous les deux en France.

- D'accord....

Erwin : « Mais je ne la regrette pas. »

Il a tournée sa tête vers moi m'offrant toute son attention. Je distingue de la sincérité dans ses yeux. Sa remarque m'a emplie d'une certaine joie.