~Chapitre 5~

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Chapitre 5

« Les dipsacus symbolisent l'envie de l'autre. »

..Ash. Je ne crois pas qu'il m'ait vu, merde qu'est-ce que je fais ? Je regarde autour de moi rapidement essayant de trouver une issue de secours. Est-ce que je devrais me cacher sous la table? Trop tard, une flamme étincelante s'allume dans ses yeux. Il détaille mon corps de haut en bas. Il fait un pas dans ma direction, je fais un pas en arrière. Il s'approche lentement de moi, je recule au même rythme. La distance se réduit, ses pupilles se dilatent.

On continue cette danse jusqu' à ce que je sois collée contre le mur. Il s'arrête, ses yeux parcourent les courbes de mon corps s'attardant sur ma cuisse découverte. La chaleur monte doucement en moi. Je pose mes mains à plat contre la surface en essayant de trouver un peu de fraîcheur. Je ne le quitte pas des yeux. Ma respiration s'accélère quand il se remet à avancer vers moi. Son corps se rapproche dangereusement du mien. Je me colle au mur essayant de mettre le plus de distance possible entre lui et moi. Je peux sentir sa chaleur contre ma peau. Il s'approche de moi jusqu'à me bloquer contre le mur. Jusqu'à ce que je sois prise au piège. Ma respiration devient lourde, je n'arrive plus à respirer.

Son regard embrasé se plonge dans le mien, me faisant brûler avec lui. Il colle son corps contre le mien, son souffle caresse la peau sensible de mon cou. Je ne fais rien pour le repousser, je ne veux pas le repousser. Sa peau contre la mienne, c'est si bon, je ne veux pas que ça s'arrête. Ses hanches se collent contre mon bassin me faisaient sentir son érection. Un gémissement sort de ma bouche dessinant un rictus séduisant sur ses lèvres tentantes. Ses lèvres roses qui demandent à être dévorées.

Ses mains entourent mes poignets, le contact de sa peau rugueuse contre ma peau provoque une décharge électrique en moi. Brutalement il les plaque contre le mur au-dessus de moi me bloquant le souffle. Je ne peux plus bouger, je suis à sa merci. Mais je ne me sens pas en danger, je garde mon regard plongé dans le sien. Sa main descend le long de mon bras faisant apparaître des frissons sur ma peau. Mon souffle devient de plus en plus irrégulier. Je devrais l'arrêter, lui dire d'arrêter. Mais je n'y arrive pas. Doucement, elle descend. L'excitation tape dans mon bas ventre. Des frissons apparurent sur ma peau chaude à chaque fois que sa main frôle une partie de mon cou.

Je ne devrais pas aimer à ce point ses sensations je ne connais même pas cet homme. C'est un étranger mais c'est si agréable. Je regarde droit dans ses yeux verts me noyant dans le désir. Sa main descend effleurant ma poitrine mais il relève aussi vite sa main ne me laissant pas apprécier le plaisir. Je gémis de mécontentement, j'en veux plus. J'ai besoin de ses mains sur moi. J'ai besoin qu'il me touche.

Mon regard descend sur ses lèvres charnues, inconscient je me mordille la lèvre du bas. Un rictus se dessina sur ses délicieuses lèvres. Il approche sa bouche de mon oreille, son souffle chaud caressant mon cou. Je veux qu'il embrasse mon cou mais il ne le fait pas. Sa main attrape l'une des mèches de mes cheveux qui est sortie de mon chignon et l'entortille entre son pouce et son index.

- Comment t'appelle tu? me demande-t-il de sa voix grave avec un fort accent italien qui me fait contracter mes muscles intimes.

Ma gorge devient sèche, mes mots sont hautés de ma bouche. Aller Ella parle. Son nez glisse sur la peau de mon cou, ma tête par en arrière pour lui laisser un accès plus facile. Il dépose de petits baisers. La douceur de ses lèvres contre mon cou m'allume comme une allumette. Sa main trouve mon cou où il presse un léger pression sans me faire mal. Le plaisir pulse dans mon clito. Je n'arrive pas à parler, ses baisers sont comme une drogue. Je ferme les yeux pour les apprécier.

- Je...Je, essaye ai-je de parler.

Je le sens sourire contre mon cou. J'essaye de remettre mes esprits en place assez pour répondre à sa question. Sa douce torture dans mon cou s'arrête me laissant le court temps de répondre à sa question sans être distraite.

Fight for love Où les histoires vivent. Découvrez maintenant