Kara

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Je n'en peu plus.

Depuis maintenant la fin du voyage à Londres, je doit continuer d'être heureuse et amoureuse d'Adrien.

Je n'est plus de force.

Nous somme rentré depuis plus de deux semaines de Londres.

Et depuis, il me force à venir chez lui, tout les jours.

Il me fait mal.

Physiquement

M'humilie

Mentalement

J'ai l'impression d'être une moins que rien.

Mon dos, et mon ventre son rempli de bleu.

A chaque appel, mon corps sursaute, il m'appelle tout les jours pour que je vienne chez lui, et tout les jours c'est la meme choses, les même paroles.

" Tu l'a dit à quelqu'un ? Tu sais ce qui t'attend sinon"

" continue comme ça, sinon ta maman devra faire de la place à coter de ton chère papa "

Une claque, un coup de pied.

Il aime me faire mal, et je ne veux pas mourir, alors je le laisse.

Je me réveille en sursaut lorsque mon esprit me rappelle un de ces moments, où il me jete de l'autre coter de la pièce.

Je me lève de mon lit, sans aucun énergie, nous sommes le dix janvier et c'est la rentrée, les vacances de noël son fini, malheureusement.

Mon corps sécher, j'enfile un jean mom, et un pull noir, j'attrape mes basket, puis vérifie mon sac.

Je dit bonjour à tout le monde, prend une bouteille d'eau dans le frigo, et sort, comme à son habitude, il et là.

Je lui sourit faussement, par peur de l'énerver, et l'embrasse, nouvelle règle.

Avant, je détester l'embrasser le matin, maintenant je déteste l'embrasse.

La dernière fois, avant de me foutre une claque, il m'a bien ordonné de l'embrasser des qu'il le veut.

Arriver au Lycée, je rejoins Sarah et les garçons, nous discutons et marchons vers la cours du lycée.

Les garçons ce dispersent dans le Lycée, Sarah et moi nous asseyons à notre banc, et discutons.

Je décide d'accrocher mes cheveux en queues de cheval, remontons légèrement là manche de mon pull pour récupérer mon élastique, j'oublie mon poignet bleuté.

Sarah me tire directement et remonte ma manche.

Sarah - C'est quoi ça ?

Je repousse ça mains et replace ma manche.

Kara - Rien.

Sarah - Kara.

Kara - Ça doit être l'élastique, il m'a serrer le poignet.

Sarah - Attend t'es malade ? Jamais un élastique ne peu te faire un aussi gros bleue !

Kara - Sarah, oublie d'accord.

Elle fronce les sourcils, puis je sort mon livre pour lire devant elle.

La journée ce passe tranquillement, Je n'est pas vue Adrien de la matinée, je me sens moins... oppressée.

Après le déjeuner, je rejoins la classe de mon cours de math.

Je suis debout dans le couloir, à attendre ma classe arriver, lorsque j'entends des pats monter les escaliers à ma droite.

Apprenez moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant