This boy next to my room |EN FRANÇAIS|

29 | Plus qu'assez

Je vous promets la traduction en français est tellement moche les gars 😭. J'ai essayé de modifier quelques trucs pour que ça fasse sens mais pardonnez les incohérences si vous en voyez.

June

J'ai presque l'impression qu'il a souri.

Il tape quelque chose, et quelques instants plus tard, je sens mon téléphone vibrer dans ma poche.

Connor me regarde, il n'y a plus de haine dans ses yeux. Je saisis mon téléphone et le déverrouille pour voir ce qu'il m'a envoyé.

"Dommage, moi aussi."

Je reste bloquée sur son message pendant un moment avant de relever la tête vers lui. Je ne peux m'empêcher de sourire comme une enfant, et évidemment, il fait pareil.

En moins d'une heure, nous sommes passés d'une dispute explosive à la paix.

— Je ne veux pas gâcher tout ça, mais... t'étais où hier soir ? Demandé-je.

— Tu préférerais ne pas le savoir, crois-moi.

Je suis un peu déçue, mais je vais m'en contenter pour ne pas aggraver les choses entre nous. La tempête est passée, j'espère qu'elle ne reviendra pas.

Je le regarde fermer sa valise puis se lever.

Les mots durs qu'il a prononcés sont toujours présents dans mon esprit. J'espère qu'il ne les pensait pas, car je n'ai jamais été aussi loin avec un garçon, et pour moi, cette nuit était exceptionnelle.

Il m'a fait ressentir des choses que personne d'autre n'aurait pu me faire ressentir, j'en ai maintenant la preuve avec Tyler.

De plus, je ne sais pas pourquoi, mais encore une fois, ça m'amuse de savoir qu'il était jaloux.

Parce qu'il est attaché à moi.

Il l'a dit lui-même.

Connor est attaché à moi.

— À quoi tu penses ?

Je sursaute lorsque je réalise qu'il s'est rapproché de moi. Ses iris sombres me scrutent intensément. La faiblesse que j'aimerais montrer en me blottissant contre lui me chatouille, mais je me retiens.

— Je pensais aux lèvres délicieuses de ton meilleur ami, répondis-je avec un sourire provocateur.

Il se tend immédiatement, c'est hilarant.

— Ah ouais ? Elles étaient 'délicieuses' ? me demande-t-il en souriant.

J'acquiesce vivement de la tête.

— Si je le pouvais, je les embrasserais cent fois, ajouté-je.

Il croise les bras.

— Tu veux savoir à quoi je pense ?

— Dis-moi.

— À celles de Cynthia. Tu ne sais pas à quel point elles sont douces, June, et la façon dont elle m'embrasse...