Hide and Seek [Cameron Dallas]

25- Sombre.

J'ai faim. J'ai faim. J'AI SUPER FAIM. Mais où sont Olly et Heather ? Cela fais au moins 10 minutes que je les cherche dans les grands couloirs de mon lycée. Soudain, j'aperçois la chevelure blonde d'Olly adossée à son casier rouge. A côté d'elle se trouvait un garçon que je connaissais trés bien. Enfin, du moins.

Caleb : Je paris 5 $ que Mme Wilow repousse M.Shape.

Olly : Je paris 10 $ que M.Shape divorcera avec sa femme dans moins d'une semaine et courera dans les bras de Mme Wilow.

Je m'avance vers eux et remarque qu'ils observaient deux de nos profs dicuter entre eux dans la salle des profs.

Moi : Mais qu'es que vous faites ?

Olly : Quelque parie avec Caleb. On a remarqué que M.Shape fesait quelque avance à ma prof de Physique. Donc on pense, enfin JE pense, qu'ils finiront ensemble.

Moi : Tu t'es crus dans une télé réalité ou quoi ? Bon, dépèche toi, j'ai faim !

Je la prends par le bras et nous dirigons vers la cafètéria.

Olly : C'étais un plaisir de parier avec toi. A dans une semaine et prépare ton billet !

Je vis Caleb sourire et me regarder puis il partis de son côté.

Moi : Tu discutais avec l'ennemie là, je crois ?

Olly : Vous vous êtes toujours pas réconcilié ? Ca va faire une semaine Ley ! Dire que je commençais à bien m'entendre avec lui.

Je baisse la tête et lui souris d'un air désolé. Tout va bien en ce moment. J'ai réussi à avoir une note correcte à mon DST de Maths, je reprends le surf avec mon frère malgrés que je prends moins goût à en faire qu'en début d'année, j'ai rencontré les parents à Olly et ma mère est contente de son parfum de son anniversaire. Mais mon ami me manque. Caleb me manque terriblement. Je ne sais pas s' il ressent la même chose que moi, mais en ce qui me concerne, le savoir loins de moi me pertube. Croiser son regard à l'instant m'a refroidis d'un coup. Savoir que je l'ai déçus me fait mal.

*
Je prend la laisse de mon chien et l'accroche à son collier. Je sors dans la rue et me balade dans le quartier accompagné de mon chien qui n'a toujours pas de nom. J'arrive à l'intersection de ma rue où se trouvait les poubelles. Je me souviens m'être accroupie ici pieds nus, baignant dans les odeurs salles des poubelle avec à mes côtés mon chère cousin Tom. J'avais tellement ris ce jour là.
Mon chien voulut renifler dans les poubelle mais je l'en empècha. Il force un peu mais le tire par la laisse. Soudain, un chat sort des poubelles et mon chien s'affole en le voyant. Il tire plus fort avec la laisse que je finis par lacher, peur de l'étrangler. Le chat s'enfuis dans la rue déserte suivie de mon chien courant aprés lui. Bien sur, je les suivis en courant comme une folle derrière mon chien qui a peut-être des petites jambes mais cour à une vitesse folle. Le chat se fofille dans une maison 800 mètre plus loins et mon chien le suivit. A bout de force, je m'arrête devant la maison essouflée et repends mes forces. Mon chien est partie dans le jardin de cette maison. Je décide de sonner. Une fois. Deux fois. Troi..

Louise : Hey !

La jolie blonde vennicienne Louise, m'ouvris avec un grand sourire accompagné du chat roux dans ses bras et de mon chien derrière elle.

Moi : je suis vraiment désolé .. J'ai .. Mon chien poursuivait ton chat et il s'est introduit chez toi ..

Louise : T'inquiète pas. C'est pas grave. Mistie adore jouer avec les chiots comme le tient.

Elle se baisse pour poser son chat et me laisse rentrer. Je refusse, par peur de déranger ses parents, mais elle insista et j'accepte par politesse. Je pris mon chiot dans les bras et on alla s'asseoir dans son jardin. Elle me servit une limonade. Mon chien partit de mes bras et regoint le chat de Louise avec qui il s'amuse.

Moi : C'est vraiment gentille de ta part de me laissé entrer chez toi comme ça, de plus que c'est moi qui t'es dérangé.

Louise : Y'a pas de quoi. Regarde les tous les deux. Des vrais petits monstres à croquer.

Elle me souris puis commence à me parler de je ne sais quoi puisqu'au bout de 10 min je décroche et regarde les trais fin de son visage. Elle avait des yeux trés bleus comme ceux de son frère mais avait moins l'étoffe d'une espagnole comparé à lui. Ses longs cheveux à reflet roux tombaient en pluis derrière ses épaules. Je comprends pourquoi James est amoureux d'elle. Une vrai princesse sortie d'un conte de fée. Il y avait tellement de chose chez elle que je voudrais avoir, comme ses pomettes rose qui lui donnait un air coquet et ses yeux ciels où l'on sommes absorbés dedant, tout comme ceux de Nash Grier. Comparé à moi avec mes vulguaire taches de rousseurs et mes cheveux partant dans tous les sens. Minable.
Louise me raconte ensuite une de ses disputes avec sa meilleur amie.

Louise : Sèrieusement, elle m'a fait tellement mal en me disant çela. Je voulais tellement réussir ce concours et ... C'étais ma meilleure amie. Je ne comprends même pas pourquoi elle a fait çela. C'est tellement ...

Moi : Je comprends. Et tu lui lui a pardonné aprés t'avoir fait ce sale coups ?

Louise : Tu sais, cela pourrai te paraître bizzarre ... Mais oui. C'étais mon amie et à une amie, on doit se remettre en question et discuter avec. Elle a peut être fait quelque chose de mal .. Mais je lui dois une deuxième chance, et de ne pas me décevoire la deuxième fois.

Moi : Hum .. Et elle est venue s'escuser ?

Louise : Oui ... Je regrette de ne pas l'avoir écouté plus tôt. Elle essayait de se pardonner mais je l'ai toujours repoussé. Une fois, elle m'a obligé à rester, à l'écouté, de savoir ce qui c'étais vraiment passé. Et maintenant, tous va bien. J'ai su garder ma fierté de côté.

*

La nuit commence a tombé et je me retrouve seul dans les grandes rues désertes, seul avec mes pensées accompagné de mon chien qui ne semble pas être encore fatigué. Ma tête me fait horriblement mal et je ne marche plus trés droit. Je m'aperçois que je me retrouve dans le quartier de Caleb où je pouvais entrevoire sa maison en pleinte rouge. Sa maison était éclairé de l'extèrieure. Je m'avance un peu plus et me retrouve face à chez lui, sous le son des criquets. Tout d'un coup, un ballon se dirige vers moi provenant de l'arrière de la maison à Caleb. Le ballon de football s'écrase à quelque centimètre de moi. Un homme avec un bonnet plutôt sombre sort de chez lui en regardant le sol. Caleb. Il ramasse son ballon sans me regarder.

Moi : Caleb.

Il continu son chemin. J'eu une envie de vomir. Une soudaine fatigue m'envahit et je ne sentis que ma tête écraser le sol. Mes yeux se fermèrent en quelque battements de cils. Et puis plus rien. Seul dans cette nuit sombre, sombre comme son bonnet, sombre comme ses pensées, sombre comme cette amitiée.