Hide and Seek [Cameron Dallas]

Epilogue - Partis 2

-Dernier chapitre, bonne chance, que la force soit avec toi. N'hésite pas à réagir, à chaque mot, chaque phrase, lâche toi lecteur anonyme c'est peut-être la dernière fois !

*

Moi : On retrouve Cameron.

Matthew : D'accord, et tu sais où il est ?

Moi : Non. C'est le principe de chercher quelqu'un matthew.

Matthew : Pourquoi veux tu le chercher ? Y'a encore trois heures de cela tu voulais encore l'éviter.

Moi : J'ai besoins de lui pour trouver quelqu'un d'autre.

Matthew : Wowowowo .. WO !

Matthew s'arrête en plein milieu du trottoirs, obligeant les passants à le contourner. Je le pris par le poignet pour l'obliger à la faire avancer.

Moi : Ecoute, c'est pas le moment de s'arrêter. T'as le numéros de Cameron ?

Matthew : Evidemment ! Il recherche son numéros sur son Iphone puis stop de faire défiler les contactes pour me regarder. Tu n'as pas le numéros du mec avec qui tu es sortis durant presque deux ans ?

Je roule des yeux et le dévisage.

Moi : C'est pas le moment. Appelle le.

Il m'obéit. Pour une fois qu'il le fait. J'arrive au niveau de sa voiture puis entre côté conducteur sur le regards lourd de Matthew.

Matthew : Et oh ? Il toque à la vitre. Tu fous quoi ?

Moi : Dépêche toi de monter.

Il monte à mes côtés, toujours le téléphone à la mains.

Matthew : Il répond pas. dit-il en racrochant et laissant son portable sur les genoux.

Je démarre la voiture pour m'engager sur la rue à quatre voix. Je pris son portable pour essayé une deuxième fois. Rien à faire.

Moi : Et bien laisse tombé alors. C'est nous qui allons venir à lui.

*

Je me glisse entre les passants, abandonnant Matthew dans la rue et pénètre dans le hale des MVA, où de nombreuses stars étaient encore présentes. J'essaye une troisième fois d'appeler Cameron avec le portable de Matthew, que j'ai accidentellement gardé.

Mes jambes étaient déconnectés de mon cerveaux, et se gambadaient là où il ne faut pas courir et manquèrent de renverser un serveur. Ce qui attira aussi l'intention de tout le monde.

Mes pensées s'envolèrent lorsque mon pognet fus saisie par une main. Pas la peine de me retourner, je sais qui est celui qui m'oblige à me faire face.