Lorenzo, chef de la mafia espagnole, passé sombre. Un homme qui obtient tout ce qu'il veut et sait se faire obéir.
Mia, jeune mère qui a quitté la France pour fuir son passé et offrir un meilleur avenir a son fils auprès de la famille de son père.
D...
J'entends des bruits étranges, j'ouvre difficilement les yeux. J'analyse la pièce, je suis à l'hôpital, après que je me suis fait poignarder et vidé de mon sang, je suis encor en vie.
Une infirmière entre alerter par l'effet sonore que fait la machine à côté de moi, elle appelle directement le médecin. Je suis encore sonné, je scrute la chambre, personne n'est à mon chevet. Tu t'attendais à quoi Mia, Lorenzo? Le médecin vient m'examiner, il vérifie si tout va bien.
- Bonjour Mlle Suarez, je suis le Dr Diego. Comment vous vous sentez ? - Bonjour Docteur, je suis encore dans les vapes. Combien de temps je suis ici ? je vais rester ici combien de jours? -doucement je vous en prie, c'est tout à fait normal cette sensation d'être à l'ouest après ce que vous avez subi. Vous étiez dans le coma pendant quatre jours et Je ne peux rien prédire, c'est en fonction de votre guérison.Tout est normale, Maintenant si vous le permettez, je vais vous laisser vous reposer.
- d'accord , je vous remercie Docteur.
Il sort suivi de l'infirmière, je replonge dans un sommeil.
Je suis resté deux semaines à l'hôpital, j'ai eu droit à la visite de mon fils et d'Andréa, et de toute la bande sauf Lorenzo. J'avoue que ça m'a blessé de ne pas le voir, tu n'es qu'une otage pour sa drogue de merde, c'est tout. Ils m'ont demandé ce qui s'est passé et je leur dis la vérité. Mais je leur ai dit de lui pardonner, Eva étais juste trahi par lui à cause de moi et que je suis désolé. Ils ont fait la sourde d'oreilles.
Depuis l'incident, je n'est plus entendu et revue, Eva, je me demande si elle se porte bien. Oui malgré, ce qu'elle m'a fait subir je m'inquiète.
Je suis de retour à la maison, je dois faire attention à mes cicatrices, malgré ça, j'essaie de passer des moments avec mon petit Ethan et Andréa. En plus, la bande n'arrêtent pas de me surveiller, ils me traitent comme un enfant. Rafael m'en veut terriblement ce que je lui ai fait et se fait un plaisir de me le faire savoir. Je descends pour préparer le petit-déjeuner aux enfants. Purée, ça n'arrive que sur moi ça, je renverse le bol de céréale et le brise, je suis tellement maladroite moi. Je m'accroupis pour nettoyer, et toute la bande se précipite dans la cuisine.
- Mia, ça va ? Tu as besoin t'aide ? Demanda Valentina - Tu ne devrais pas faire ça, laisse-moi le faire.Protesta Ana - J'ai juste fait tomber le bol, non ça va aller. Je peux encore le faire. - Je crois que je vais mettre des somnifères dans ton eau pour que tu bouges plus. Rétorque Rafaël - je suis désolé Rafaël de t'avoir fait ça, mais si c'est pour t'apaiser vas y, fait au moins une fois. - Qu'est-ce que t'as encore fait ? Demanda Lorenzo - oh ta gueule toi, tu n'as pas autre chose à faire ?
Je suis tellement en colère contre lui que ces mots sont sortis tout seul, quant à lui, il contracte sa mâchoire. Et pars, les autres font de même. Je finis de nettoyé et donne des nouveaux bols aux enfants. Il fait que ça revenir au petit matin et repart dans la journée, même pas un "désolée Mia de ce qu'Eva t'a fait " ou "désolé de ne pas pu venir te voir à l'hôpital". Je suis complètement perdu dans mes pensées que je ne remarque pas que je pleure, je lève les yeux au plafond. Je l'ai fui, mais il m'attire, comment explique ça. J'essuie mes larmes, car j'entends quelqu'un s'approcher.
- Mia, on va au club " tenebroso " ce soir, tu veux venir ? Me demanda Valentina - oui pourquoi pas, j'ai besoin de me libérer la tête, mais pour les vêtements ? Je n'ai rien. - ne t'inquiète pas pour ça, on va faire du shopping. Va te préparer. Me dit Ana
Je souris, je pars me changer. J'ai mis une robe courte, mais assez moulant pour laisser le peu de formes que j'ai s'exprimer, bon je n'ai pas beaucoup de seins, mais je les aime, sans oublier mes baskets. Je rejoins le salon, Lorenzo est là sur le canapé, vue le regarde qui me lance, ma tenue ne lui plaît pas. Je m'en fous de toi. Tout le monde est prêt, on dépose les enfants avec leur gouvernante. Direction centre commerciale.
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