Angoisse

597 21 0
                                    

J'ai fermé les yeux pour m'éviter de voir ce massacre qu'il a fait dans cette salle. 
Il m'installe dans la voiture, Ana est à l'arrière à m'attendre.

Ma belle, on est désolé, tu as dû souffrir par notre faute. Dit Ana
- Je voulais qu'on me tue.mais je suis ravie de vous revoir.
tais-toi. Je veux plus t'entendre dire ça. Dit Lorenzo
- Tu as peur de me perdre comme Ambre ?

Un silence s'installe dans la voiture, elle me prend dans ses bras. Je regarde le paysage défilé, j'entends que Lorenzo charge et décharge son arme.

On arrive à la maison, j'étais informé que les enfants sont en sécurité dans une maison surveillé par les membres de la mafia. Ana et Valentina m'emmènent à ma chambre. Je m'allonge et m'endors.

cauchemar :"Non, s'il te plaît, arrête, je t'en prie. Je ne veux pas.
- laisse-toi faire, merde. Comment je peux prendre plaisir si tu gigotes.
- arrêtez...
- ta gueule, tu mérite ces coups, crève merde"

Mia réveille-toiMe cria Lorenzo.

J'ouvre les yeux toujours agités, je le griffe, me débat, je crie.
Il vient sur le lit, il m'installe entre ses jambes.

-Arrêt, tu es en sécurité, chut, je suis là. Je suis désolé, pardon. Je suis un minable. Me réconfort a-t-il
 - tu étais où quand...
-Quand  quoi ? 

Je fonds en larmes, il se met assis dos sur la tête de lit et moi dans ses bras. Je suis fatiguée , mes larmes ne cesse de coulé, et lui aussi est fatigué,puis on s'endort ainsi.
Je me réveille, je suis seul dans le lit. Il m'a laissé seul encore, je ne sais pas pourquoi, mais je me mets en position de fœtus et pleure. Je me sens délaissé,abandonnée, je sens quelqu'un dans mon dos, je reste tétanisé sur le côté.

C'est que moi mon ange, je suis allé prendre ma douche. Désolé de t'avoir laissée.

Je me retourne, et me blottis contre son torse.
Dis-moi ce que tu as subi, je ne te promets pas que ces gens seront encore en vie après.

- je veux qu'Alvaro soit torturé Et Eva soit vendu comme Ambre et moi.

- Le frère d'Eva t'a fait quoi exactement ? Tu sais pour Ambre ?

- Des choses .Je sais que c'étais t'a copine et qu'elle a était vendu et tuer sous tes yeux.

- hum, Quelles choses , c'est vague ça? pour la faire court, on était amoureux, son père était d'accord, mais le mien pour lui sa famille n'étais pas assez bien.Ambre étais enceinte de notre fille, 6 mois après la naissance de notre fille, Il l'a fait kidnapper et vendu au marché,  mon père accepte cette pratique. Elle s'est fait tuer sous mes yeux par son acheteur. Nos pères se sont fait la guerre et se sont entre-tués.

Je me redresse en colère, et le regarde avec les larmes aux yeux, et je le gifle. 

- connard, tu n'es qu'un con. Je te déteste.

 Je le déteste, pourquoi il ne l'a pas sauvé ? Comment coucher avec la meurtrière de sa copine ? J'ai tellement de questions. Et sort pour aller prend ma douche. Il reste sur le lit toujours dans l'incompréhension.
J'ai fini, je descends voir tout le monde.

M-Mia, tu as giflé Lorenzo après avoir raconté son histoire de son premier amour? Demanda Miguel
C'est un gros con.
Merci, moi aussi, je t'aime. Rolio va venir te surveiller. Je dois chercher le frère et la sœur. Dit -il

Il sort de la maison suivie des autres, il n'y a que Valentina qui attend ce Rolio avec moi. Je pars dans ma chambre, elle vient me prévenir qu'elle s'en va et qu'il est là. Je fais un ok de la tête et la fait signe d'au revoir avec la main.

J'avais pris un tee-shirt à Lorenzo ce matin, j'aime son odeur et ça me rassure. Ce matin, j'ai pris juste un café et des fruits, j'ai encore faim. Je décide de descendre. Je ne le regarde pas, je file direct au frigo. Je prends une bouteille de jus, et chercher quoi manger dans les placards. 

- Bonjour 

- Bonjour ma chérie, tu vas bien ? 

 Je laisse tomber la bouteille, je reconnais cette voix, lui aussi à abuser de moi, je n'ai jamais su son nom.

 - Non, ce n'est pas possible.

 - ton meurtre échec, ta vente et te buter un échec, alors elle m'a dit de faire ce qui faut.

 - pourquoi travailler avec Lorenzo et Eva ?

 - L'argent ma chérie, prendre du plaisir.

Il vient en ma direction, je prends la fuite, mais il me rattrape et me tire les cheveux. Je saisis le verre qui est sur l'îlot central de la cuisine et le balance a la gueule. Il me retient, il me frappe, je le rends. J'ai marre de me laisser faire, des assiettes se brise, des verres, je plante un couteau dans sa main et j'ai droit de me prendre le mur.J'entends une voiture se garer, je regarde par la fenêtre. Non non non.

Nous deuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant