En fuite

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J'ouvre les yeux encore un peu sonner, je ne vais pas tenter de marcher, je sais que je vais m'étaler comme une crêpe par terre. On frappe à la porte, j'autorise cette personne à venir, c'est Valentina qui m'apporte quoi manger. Elle m'explique que tout le monde a essayé de me réveiller, mais sans succès, c'est mon fils qui a pu ,je la sourie. Elle veille que je mange tout, fruit et sandwich.

-Merci Valentina ,ça se reproduira plus.
- tu sais, tu peux tout nous dire et on ne  peut pas  toujours laisser ton fils le faire.
- je sais.
La porte s'ouvre en grand, Lorenzo n'est pas d'humeur, il lance un regard à sa sœur pour lui faire comprendre de partir. On se retrouve seul.

- Tu veux quoi ?

Il rigole d'agacement.

- je veux quoi ? Que tu me dises tout, je veux tout savoir ! au moins, je n'ai pas de  surprise à l'avenir.

- Alors là, tu peux repartir, il y n'a rien à savoir sur moi !
- Tu te fous de moi ! Ton fils ta pique pour que tu reviennes à toi. Tu te rends compte, il a 5 ans ton gosse.

Il commence à m'énerver, mais je ne sais pas si je peux revendique mes droits, s'il va me frapper ou pas. J'aimerais révéler, que c'est fini, je suis fort et je peux me défendre, ça sonnait faux. Je le vois, il perd le contrôle de lui-même.À quoi bon à hausser la voix avec une personne qui est en colère absolument rien.

- réponds -moi merde, si tu vis ici, il faut nous faire confiance bordel. S'énerve-t-il.
- va-t'en et revient quand tu seras calme, ça ne sert à rien de parler dans cet état.
Il alla me réprimander, mais sa douce est venue le récupérer pour X raison. Et croit moi, je ne vais pas rester ici pour les dettes de ma famille, ça, c'est sûr. Je dois rester auprès d'eux et tout dévoiler de ma vie. Je vis un véritable enfer, j'attends qu'ils se barrent de la maison, pour partir. Je sais que soit il m'enferme dans ma chambre, soit il y a quelqu'un qui me surveille, je dois bien réfléchir à mon plan d'attaque. Ça fait une heure que je tourne en rond dans la chambre, j'ai entendu tout le monde partir sauf un, Rafael lui, c'est un mercenaire qui ne rate pas sa cible d'après ce que j'ai compris . j'ai pris un sac avec nos vêtements, dans la minute, j'ai appelé l'école en disant que nous partons en voyage et que je dois le récupérer un peu plus tôt, la directrice à accepter et à demander que lui fait faire des activités pendant les vacances.

14:00, je descends doucement ,Rafael regard la télévision. Je me dirige vers la cuisine, dépose mon sac au sol.

- Je sais que tu es là. Tu te sens comment ?
- je vois, je vais bien, merci, vous avez du jus de pomme.
- Oui dans le frigo. Et arrête avec vouvoiement.
- ok très bien.
- Tu veux un truc à boire ?
- oui une bière

Je saisis quelque jus et quoi manger , au cas où pour Ethan. je prends un comprimé de somnifère et mis dans sa bière. Je viens m'assois à côté de lui, je joue avec le feu , il peut me tuer à tout moment. Il regarde une chaîne de sport, il m'avait demandé si ça me gênait , j'ai répondu que non. Je jetais de temps en temps un œil sur sa bière, il a presque terminé, bientôt, il va s'endormir. 30 minutes plus tard, il  est en profond sommeil, j'ai moi-même vérifié. Je sors de la maison avec mon sac, je prends le bus vers l'école, dans le bus, j'ai appelé un ami que j'avais rencontré quand je suis atterrie ici. Il m'avait parlé une maison loin de la ville, proche forêt et montagne où personne ne peut me trouver, bien évidemment, je n'ai pas fait avec mon téléphone, j'avais demandé un passager. Arriver, je vais chercher Ethan.

- Maman, on part vraiment en vacances ?
- oui mon cœur, dans un endroit près forêt et montagne, ce n'est pas cool?
- oh oui. Maman, tes amis, ils viennent ?
- Non, ils travaillent tous, il n'y a que nous deux.

Il hocha la tête, tout content de ne se retrouver que nous deux. J'espère d'ici là, il ne me retrouvera pas. Si c'est le cas, je signe mon arrêt de mort. Rafael est un excellent mercenaire, mais il a baissé sa garde avec moi, car d'après ce qu'il m'a dit Lorenzo a demandé d'être aimable avec moi et que je ne risque de lui rien faire, c'est mal me connaître. Je sais que mon ami Lucas a approvisionné tout ce qu'il nous faut pour la maison et je le remercie.

Nous deuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant