Aveu et désir

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Nous arrivons au centre commercial, mais j'ai un sentiment de culpabilité qui me ronge. Toutes ces personnes torturées ou mortes à cause de moi. Les filles remarquent que quelque chose ne va pas, et me le demande, je leur explique, elles me rassurent comme elles peuvent, je ne suis pas en paix. On marche jusqu'à une boutique qui vend de tout : vêtement, chaussure, sac et autres. On rentre, chacune part vers ce qu'il lui plaît. Moi, j'ai craqué sur une robe moulant vert, col en V et ouvert sur ma cuisse gauche. Par la suite, j'ai craqué sur une paire de talons noirs. Shopping terminé, les filles me proposent d'aller manger dans le restaurant d'en face, je fais signe que je suis ok. Je regarde mon portable, il est déjà midi, d'où ma faim. On s'installe et commence à papoter.

-  Mia, qu'est-ce qui te trotte dans la tête ? Me demanda Ana.
- Si je vous dis tout ce que j'ai sur le cœur, vous ne me jugez pas ?
- Bien sûr, certes, on n'est pas des gentilles, mais on a un cœur. Répond Valentina
- Vous savez pour ma culpabilité, mais je suis profondément blessé par Lorenzo. Je sais que je ne suis juste un échange ou comme je me vois une caution contre de l'argent dû. Mais je voulais qu'il soit désolé de ce qui m'est arrivé, qu'il soit un peu présent. Je ne sais plus quoi pensé.
- Ok, tu es amoureuse de mon frère, je sais des choses que ce n'est pas à moi de dire.
- Noon, je ne le suis pas . oui, il est très beau, son côté agressif peut être attirant. C'est tout.
- Ouais, tu en kiff sur son frère, c'est tout. On va faire passer le message à ce con. M'informa Ana.
- Noon, vous êtes folles.

On s'arrête de parler quand nos plats arrivent avec nos boissons.Après avoir bien déjeuner , On quitte le centre vers 14:00, en route vers la maison.

Arriver, je vais directement dans ma chambre et dépose mes affaires sur le fauteuil près de ma penderie. Je vais vers mon lit et m'allonge le regard dans le vide. quelqu'un frappe à la porte, je l'invite à rentrer, je tourne ma tête pour voir qui c'est, à ma grande surprise Monsieur Lorenzo.

- Oui ?
- Je voulais te parler, Valentina est venue me voir.

Super, j'avais dit non, merci beaucoup. Je me tourne pour être dos à lui, même si je voudrais l'entendre s'excuser. Je l'en veux toujours.

 - Je ne veux rien savoir, tu peux partir.

Il ne veut rien entendre, il vient, s'allongé.et m'explique du pourquoi et du comment.

- Je ne suis pas venu m'excuser, car je me sentais coupable de ce qu'Eva t'a fait, je t'ai évité, puisque je pensais que tu m'en voulais. Cette nuit-là, j'avais peur de te perdre, je t'avais retrouvé et tu allais encore me laisser seul. Eva, je ne l'ai pas retrouvé, j'allais te venger. Je suis désolé Mia, pendant ces quatre jours que tu étais dans le coma, je suis resté au près de toi quand je pouvais.

Après cet aveu, je fonds en larmes. Je me lève et commence à le frapper.

-Je te hais tellement, je t'ai attendu que tu viennes me voir enfoiré. Pourquoi tu as couché avec elle, pour ensuite la délaissée ? En ma présence en plus, la cause, c'est moi.

Il me saisit les poignets et me prend la nuque pour m'avancer vers lui. Sans m'attendre, il m'embrasse, je le repousse, mais il me maintient, je m'abandonne à lui. Il me bascule sur le lit, il est dessus de moi. Nos baisées s'amplifient, à cet instant, je le veux. Ses lèvres descendent à mon cou, ses mains agrippent mes hanches. On s'arrête pour reprendre notre souffle.

 - je ne laisserai personne te faire de mal, si ça arrive, il perdra la vie. 

- Ne me laisse plus jamais alors.

 Il reprend mes lèvres, retira ma robe et mon soutien-gorge et je lui enlève son tee-shirt pour sentir sa peau sous mes doigts. Il joue avec le bout de mes seins et les mordille, je frissonne. On n'alla pas plus loin, vu que Valentina est entrée.

 - Putainn, Valentina, tu ne peux pas frapper ? Grogna Lorenzo

 - Oups, pardon, les portes se ferment à clé aussi, on te cherchait et Rafael a besoin de toi. 

- J'arrive, casse toi maintenant.

 Puis, elle s'en va et referma la porte , comme si de rien n'étais. 

- on reprendra tout ça plus tard et on  verrouilleras la porte. Je sais que tu en veux plus, moi aussi, mais le devoir de la mafia appelle. Désolé mon trésor.

Il dépose un dernier baiser sur mes lèvres et pars. quant à moi ,Je suis dégoûté, Valentina je vais te tuer.

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La tenue choisie de Mia

La tenue choisie de Mia

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