Plus Que Douloureux

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Depuis qu'on a quitté le centre, et m'est fait cogner la tête par son père, j'ai perdu connaissance. Je viens de me réveiller , j'ai analysé la pièce, il y a rien ,ni de lit ou un autre meuble , juste une fenêtre ,et puis je suis attaché à un tuyau pour que j'aille nul part ,Super. J'ai mal à la tête, je saigne encore. Personne en vue pour le moment , je me demande depuis combien de temps je suis là ?

J'attends mon sort , il veut me tuer comment ce connard. Cette famille va me rendre folle.

Je n'ai pas mangé, comme vous le savez, je suis en carence de fer et ça ne m'aide pas à ne pas me nourrir. Entre temps, j'ai pris mon tee-shirt pour arrêter le saignement. Un malaise pour survenir à tout instant.

C'est ça son plan me laisser mourir de faim ou d'avoir une infection avec ma blessure à la tête ? Disons que c'est bien parti pour que ça arrive.

Je suis en pleine réflexion quand la porte s'ouvre. Le père de Lorenzo pointe son nez.

- Alors ma chère Mia, tu n'es pas encore morte ? Enzo n'étais pas malin sur ce coup, vous trouver au parc et ensuite on vous as suivi jusqu'à la cachette où vous planquer les gosses. Je n'aime pas me salir les mains que c'est embêtant, Carlos va le faire à ma place, te tuer je parle évidemment. Mais avant tout je dois te remercié, mon fils est hors de contrôle, c'est ce que je voulais, qu'il soit sans pitié.

Il commence à rire comme s'il avait fait un exploit extraordinaire de ne savoir que Lorenzo tue tous les gens gênants. Ça implique aussi les femmes et les enfants ? Non quand même pas.

- mais pourquoi faire tout ça ?Quel est votre but? Comment un père peut infliger ça à son enfant ?

- Tu me demandes pourquoi ? Tu sais ce que je lui ai obligé de faire pour qu'il ne fasse aucune différence entre homme, femme et enfant ? Et tu sais pourquoi je tue les femmes qui l'aiment ? Non.
Je vais te dire au moment où on te tuera.

Il ressort tranquille ,pour lui rien ne vient de se passer, Tout est normal.

Plus tard, c'est le père d'Enzo qui vient à ma rencontre et commence à me frapper jusqu'à me briser les côtes, éclaté le nez et je sais quoi encore. J'en ai marre de tout ça, tellement de fois, j'ai raté la mort, pour une fois, je veux bien que tout se termine même si j'aime Lorenzo de tout mon cœur .et que mon fils est ma lumière mais je veux ma vie s'arrête. Il a une fâcheuse habitude de charger et de décharger son pistolet quand il stresse ou qu'il est en colère , j'aime quand il fait ça, me demander pas pourquoi? moi-même je sais pas.

Maintenant, c'est le tour de Monsieur Sanchez de faire son entrée et de regarder le spectacle.

- c'est du beau travail mon ami. Laisse-moi une minute s'il te plaît , je dois lui parler, après étrangle-la pour en finir.

Il hocha la tête et fait ce qui est demandé. Nous voilà seul.

- alors comme tu vas crever, je te dis mes petits secrets, J'ai obligé Lorenzo à tuer sa propre mère, car elle m'a désobéi cette salope, bien sûr les autres enfants le savent ,vue que je les ai forcées à regarder et je tué Ambre pour que Lorenzo oublié ces sentiments stupides.

Je suis horrifié de ses révélations, comment on peut faire subir cette atrocité à ces enfants ?

Il sort ravi de la bombe qui vient de balancer et invite son ami de finir le travail. Carlos entre et recommence à me frapper, des poings et des coups de pied, il se met sur moi et étrangle. Même si je veux en finir avec ces souffrances, je ne peux m'empêcher d'essayer de me défendre.

- Tu veux bien de laisser t'étrangler pour que tu crèves enfin pour ensuite retrouver mon enfoiré de fils pour le mettre soit dans la cage des échecs ou une balle dans la tête. Dis Carlos

- Laissez-le tranquille, vous êtes ignoble comme père.

Je reçois une droite et Carlos recommence à m'étrangler. Je me débats, mes jambes bougent pour m'aider à lutter, c'est dur de résister, mais je dois essayer. Je finis par céder, je ne ressent plus rien, plus d'air. C'est la fin.

Nous deuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant