chapitre 5

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- Attends un peu dit-il lorsque je me lèva pour partir. il faut que je sorte nous partirons ensemble.

- d'accord  lui avait-je  répondu en me levant.

-j'ai voulu utiliser les toilettes donc il m'a dirigé vers l'une des chambres que j'ai visité.

après avoir utilisé les toilettes j'attendais dans le couloir,  la porte de sa chambre était entrebâiller, et c'est là que mes yeux se sont posés sur lui en train de se changer mais cette fois-ci il n'était pas seulement dépourvu de sa chemise mais il n'avait plus son pantalon non plus.

tout ce qu'il portait c'était un simple boxeur noir dans laquelle je pouvais clairement voir la forme de son intimité et puis il attrapa un pantalon et commenca a l'enfiler.

je ne pouvais détacher mes yeux de lui ou plutôt de son corps, de sa nuque,  de ses épaules,  de son large dos, de ses jambes, ses fesse et je m'en passe.

je m'étais perdu en train de le regarder et il sentit mon regard, il s'arrêta au moment où il allait enfiler l'autre au pied du pantalon,  tourna la tête vers la porte et me regarda droit dans les yeux, à ce moment-là je ne savais pas comment me comporter et je ne savais pas ce qu'exprimait son regard.  " "étonnement" "question" colère" "blâme".

alors je me suis mis à rougir.  je suis resté pendant un moment le visage en feu et puis je ne pouvais plus, alors je me précipita devant la porte et me dirigea directement vers l'ascenseur.

je suis parti !!! oui!!!  et je ne l'ai pas entendu une fois dehors je marchais lentement sur le chemin pour aller à la maison, c'était aussi mon chemin pour aller au lycée depuis des années je connaissais chaque maison, chaque cour, de chaque clôture,  celle qui était repeint chaque année, celle dont les bois étaient devenus gris et  les barrières métalliques dont je frottais les bars avec un bâton avec mes amis je connaissais, les pavés, la chaussée et les trottoirs tous mes tout m'étais familiers.

Et pourtant pendant un moment je n'ai jamais su où j'allais,  ce n'est que quelques minutes plus tard que je réalisà que j'avais marché et que j'avais déjà dépassé ma maison.

alors je fis demi-tour et rentra chez moi une fois arrivé je me dirigea directement vers ma chambre avec mon cœur qui battait toujours  100 000 à l'heure.

lorsque mon cœur bati moins vite et que mon visage ne fut plus en feu,  le face-à-face qui avait eu lieu par la porte Entrebâillée me sembla très loin.

et c'est là que je m'en voulais, je m'en voulais car je m'étais enfui comme un enfant au lieu de réagir avec la tranquillité et assurance que j'attendais de ma part. je n'avais plus 10 ans j'en avais 17 mais pour dire vrai ce qui aurait dû me donner une tranquillité et une assurance me restait une énigme.

l'autre énigme c'était ce face à face lui-même entre le couloir et la porte de sa chambre pourquoi n'avait-je pas pu détacher mes yeux de lui, il avait un corps très robuste est très bien et tellement epanouie qui me plaisait et  très bien battit.

plus tard je ne savait que cela n'avait pas été simplement à cause de sa silhouette que je n'avais pas pu détacher mes yeux de lui,  mais à cause de ses attitudes et de ses gestes je me rappelle que son corps ses attitudes et ses mouvements étaient tellement précis et bien mesuré que parfois je me demandais s'il faisait exprès.

est ce qu'il s'il savait l'effet que ça me faisait mais en réfléchissant  à ce qui m'avait  excité,  l'excitation revint.

Et pour résoudre cet énigme,  je me remémorerais le face-à-face et le recul que j'avais pris en faisant une énigme disparu je revit tout comme si j'y étais et de nouveau je ne pouvais plus détacher les yeux .

insoluble ( jikook) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant