chapitre 9

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5 jours plus tard je me retrouvais devant sa porte. Les 4 autres jours durant j'ai  tenté de ne pas penser à lui mais il n'y avait rien pour m'occuper et me distraire , l'école n'était pas le meilleur moyen ,le médecin m'a permis encore que je retourne au lycée sans masque car la grippe était passé, j'ai essayé les livres mais  après des mois de lecture j'avais assez de livres et mon amis me demandais tout les jours a qui je pense ou a qui j'écrivais a longueur de journée sur mon téléphone, a chaque fois je lui trouvait une réponse peu convainquant.

Durant ces quatre jours je m'éveillai chaque matin avec une mauvaise conscience et quelquefois avec un pantalon de pyjama humide ou tachée, et les images,  les scènes dont je rêvais n'était pas bien.

je savais que ma mère , que le curé qui m'avait préparé à ma première communion et que ma grande sœur à qui j'avais confié les secrets de mon enfance ne me gronderai pas mais,  il me ferait gentiment la leçon avec une solitude qui serait pire qu'une réprimande, ce qui n'était pas bien.  surtout que ces images et scènes quand je ne les rêver pas passivement je l'ai imaginé délibérément.

je ne sais où j'ai trouvé le courage de retourner voir Jungkook.
Et lui dire que je rêvais de lui me prenant par derrière ou avec ma tête entre ses cuisse.  l'éducation morale se retourna-t-elle contre elle même en quelque sorte..

si le regard de désir était aussi grave que la satisfaction du désir,  si l'imagination était aussi grave que l'acte imaginé,  alors pourquoi pas la satisfaction et l'acte.

je constate  jour après jour que la pensée de toutes ces choses ne me quittaient pas.

dès lors je voulais tout,  je voulais  jungkook l'homme charmant et gentil mais aussi son corps, je voulais ses main sur moi .

le 5e jour une fois les cours terminé je ne dirigea vers son hôtel, mais il n'était pas là mais je monta quand même , comme si le gardien me l'avait pas déjà annoncer qu'il était parti,  j'ai sonné et attendit  je sonnais une seconde fois mais j'avais pas de réponse.

alors je m'assis dans le couloir et attendit. je n'étais pas soulagé comme on peut l'être quand c'est un décider la mort dans l'âme et craignait les conséquences on est content d'avoir mis sa décision à exécution,  en échappant aux conséquences je n'étais pas déçu non plus . j'étais  résolu à le voir et à attendre jusqu'à ce qu'il revienne.

insoluble ( jikook) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant