Bodyguard | Changbin

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CHAPITRE ONZE

J'imerge lentement au réveil et tombe sur le visage de mon garde du corps.

Error 404.

Je me suis endormie dans ses bras ?! On as dormi ensemble ?! Je cache mon visage rouge de honte et je l'entend grogner.

- Arrête de bouger. me dit-il d'une voix endormie

Je souris en le voyant encore à moitié endormi, il est mignon comme ça.
Je replace une de ses mèches de cheveux en reposant ma tête sur son bras et il ouvre un œil pour me regarder. Il sourie et m'attire contre lui en refermant ses yeux, si je pouvais arrêter le temps je le ferais maintenant.

- Tu as bien dormi ? me demande t-il

- Comme un bébé et toi ?

- Plutôt oui.

Je regarde la pendule accroché au mur, onze heure ?! Heureusement que je ne travail pas aujourd'hui, on a vraiment fait la grasse mat.

Je me lève et il me regarde parcourir la pièce jusqu'au comptoir. (NDA : c'est une cuisine ouverte)

- Qu'est-ce que tu fais ?

- Je prépare le déjeuner.

Il se lève à son tour, s'approche de moi et entour ma taille de ses bras musclés en posant son menton sur mon épaule.

- Besoin d'aide ?

- Ça ira, va t'asseoir.

Il embrasse mon épaule et s'assoit en face de moi sur une chaise haute du comptoir.

Je prépare des toast à l'avocat et des œufs puis retourne près de lui pour manger.

- Merci pour le repas.

- Je peux bien faire ça vu tous ce que tu fais pour moi.

Il me sourit et nous commençons à manger.

- Hier tu m'as dit que je te donnais envie de me protéger, pourquoi ça ?

- Hum.. Tu as ton caractère, tu ne te laisse pas faire mais derrière ça tu es douce et fragile, ça me donne envie de te prendre dans mes bras à chaque fois que je vois que tu passe un mauvais moment.

Je pouffe de rire.

- Eh ! Je te déclare mes sentiments et toi tu te moque ?

- Non c'est juste que.. je ne pensais pas que tu étais si sentimental.

- Tu rigole ou quoi ? Tu voyais pas tous ce que je faisais pour attirer ton attention ?

- Je pensais vraiment que tu faisais ça pour m'embêter.

- Tch.. Même les mecs le voyaient et me chariez sur ça puis en plus tu me repoussais à chaque fois.

- Tu avais qu'à être plus clair !

- Quoi ? Mais c'est toi qui comprend pas les appels de phares !