La roadie [Terminée]

Chapitre 18 - Greg & Clarisse 🔞

Média : To You I Give - Crippled Black Phœnix

Lundi 19 juin 2017

Quel plaisir de se réveiller dans les bras du beau gosse. Le torse de Greg collé contre mon dos, je savoure le massage que me procurent les mouvements lents de sa respiration accompagnés de la douce caresse de son souffle chaud dans mon cou. C'est le repos du guerrier comme on l'appelle communément. Moi je préfère lui donner le nom de sommeil réparateur post-vices de Clarisse ! Et avec ce que je lui ai fait subir hier, le tombeur a bien mérité que je le laisse dormir encore un peu.

Même si on fait une bonne équipe de débauchés tous les deux, je sais que je ne dois pas prendre goût à sa présence dans mon lit. J'ai pourtant bien essayé de l'amadouer afin de le revoir de temps en temps pour partager nos envies lubriques ensemble. Mais le batteur est une tête de mule et ne désire pas jouer les prolongations. Alors j'ai profité à fond de cette ultime nuit avec lui. Et cela a été un délice jusqu'à ce qu'on finisse par tomber d'épuisement. Il faut dire que ni l'un ni l'autre n'avions décidé d'être sages et raisonnables. D'ailleurs, à part au boulot, je ne crois pas qu'on puisse beaucoup utiliser ses adjectifs me concernant. Et encore moins avec un partenaire aussi sexy et insatiable que Greg.

Aussi hier soir, lorsqu'il m'a portée dans ses bras virils jusqu'à ma chambre, je savais déjà que la suite allait me plaire. Et je n'ai vraiment pas été déçue lorsqu'il m'a déposée délicatement sur mon lit avant de soulever ma robe. Mon string ayant fait les frais de l'esprit challenger de mon partenaire, ce dernier avait l'accès libre pour me reluquer sans vergogne. Et c'est ce qu'il a fait. C'était tellement érotique de voir ses yeux se délecter des courbes de mon corps, de sentir la tension de l'excitation monter en même temps que le désir dans son regard mutin.

— Tu ne devrais pas t'encombrer d'un bout de ficelle inutile. Tu n'imagines pas comme tu es belle et bandante ainsi, m'a-t-il avoué avant de plonger la bouche la première entre mes cuisses.

Il s'est occupé de me butiner jusqu'aux prémisses de l'orgasme décidant de me faire jouir avec sa queue plutôt qu'avec sa langue. Je ne me suis pas plainte de cette initiative préférant la puissance de ses coups de hanches.

Après avoir finalement atteint l'un et l'autre la jouissance, nous sommes allés fumer une clope à la fenêtre avant de retourner nous poser sur mon lit. Nous étions avachis l'un contre l'autre en train de siroter un verre lorsque une idée lumineuse de lubricité m'a traversé l'esprit.

— Tu n'as pas faim toi ? lui ai-je demandé avec ma préméditation en tête. La weed m'a donné une de ses fringales !

— Il n'y a pas que la fumette qui m'a filé la dalle ! m'a-t-il taquinée en tirant sur mon débardeur afin de me rapprocher de lui.

Il m'a embrassée voracement avant de mettre une claque sur ma fesse dénudée. Très satisfaite de sa réaction, je me suis levée pour aller dévaliser les placards de ma cuisine. Nous étions sur la même longueur d'ondes alors je me suis préparée à passer à l'attaque tout en déposant le plateau contenant mon butin de denrées sur le matelas.