L'alliance de deux corps

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(chapitre corrigé)

1000 mots.

Tw: Scène de sexe explicite



La première fois


-Alors...

Orwell se tenait debout devant Orphely, torse nu, vêtu seulement d'un boxer. Orphely le regardait de ses grands yeux noirs, habillée d'un pyjama bleu qui ne cachait presque rien de ses formes. Les bretelles étaient fines et lâches, elles tombaient sur ses épaules et cela accentuait son décolleté proéminent, lui-même mis en valeur par un crop top visiblement trop petit pour son buste. Son ventre était à découvert et une chaîne de perles blanches reposait sur ses hanches, ajoutant un petit extra à sa peau parsemées de ces lignes craquelées et claires qui entouraient son bas ventre et descendaient sur ses cuisses et son fessier. Le petit short qu'elle portait cachait juste son intimité, étant presque similaire à un sous-vêtement, et ses chaussettes remontaient le long de ses jambes jusqu'à ses genoux.

Orphely se mordit la lèvre inférieure en souriant en coin.

-Alors...? répéta-t-elle d'une douce voix.

-Je ne sais pas par quoi commencer, avoua Orwell en riant nerveusement.

-Tu n'en as aucune idée?

-Si... Mais il y a peut-être des choses que tu n'aimerais pas que je te fasse.

Orphely haussa ses sourcils, riant légèrement.

-Alors demande-moi, dit-elle en effleurant ses côtes.

Orwell se pencha lentement, la fixant du regard et il souffla à son oreille:

-Est-ce que je peux t'embrasser?

Orphely hocha de la tête, silencieuse, et leurs lèvres se joignirent l'instant d'après. L'échange fut tout d'abord timide et lent, comme c'était le patron qui menait la danse, puis il passa de doux à passionné et langoureux lorsqu'Orphely prit les devants. Elle s'accrocha aux épaules de son petit ami et l'invita à se coucher sur elle. Orwell se coucha entre ses jambes, posant ses mains de part et d'autre de sa tête.

Ils se séparèrent plusieurs fois pour reprendre leur souffle et recommencèrent à se baiser de plus bel, faisant monter la tension entre eux. Bientôt, leur corps devinrent brûlant de désir.

-Je peux te caresser? demanda Orwell en se redressant.

-Hm-hm, fit Orphely en hochant de la tête.

Alors Orwell glissa lentement sa main sous le crop top de la brune, la faisant frissonner, et il attrapa doucement son sein dans sa paume. Il sourit en le caressant. C'était si doux, on aurait dit de la gélatine, et ça débordait de sa paume comme un ballon d'eau trop rempli. Il adorait ça.

Orphely rit soudainement, attirant son attention.

-Tu t'amuses? demanda-t-elle avec un sourire.

-Pardon, s'excusa-t-il en rougissant. C'est la première fois que je te découvre, alors je suis fasciné.

-Que tu me découvres, ou que tu découvres une paire de seins?

-Les deux...

Orwell releva le haut de la secrétaire, dévoilant sa poitrine qui rebondit sous ses yeux ébahis, et il l'attrapa à pleine main. Il se pencha vers l'avant pour l'embrasser, puis il s'autorisa à titiller ses boutons de chaires de sa langue. Orphely frissonna en posant sa main sur sa tête, l'incitant à continuer. Orwell s'en donna à cœur joie.

Ps: J'aime ton corpsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant