Rebekah Mikaelson

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Tu as jeté ton jean de l'autre côté de la pièce en désespoir de cause, essayant de retenir tes larmes. C'était juste un stupide petit bout de papier dont tu ne t'étais pas foutu ce matin quand tu l'avais arraché de ton pied mais, maintenant c'était vital.

Les examens finaux et les dates limites d'évaluation approchaient et pour ce sujet, c'était dû aujourd'hui, mais tu avais pris une journée de congé pour essayer de te rattraper et ce petit bout de papier faisait la différence entre réussir et échouer.

« Non, non, non. » tu es tombé à genoux au bout d'un moment.

Tu étais tellement stressé, tu n'avais pas dormi ces derniers temps et tu avais eu tellement peur d'échouer que cela s'était enfoncé dans tes rêves, dans ton esprit. Des cauchemars prenait vie derrière tes yeux fermés.

« Amour? »

Tes yeux se sont tournés vers la fenêtre. Ta petite amie, Rebekah, se tenait à côté. Elle avait des yeux inquiets alors qu'elle évaluait ta forme sur le sol et les larmes coulant sur ton visage.

« R-reb »

La blonde fut à tes côtés en un instant, elle attira ta forme brisée dans ses bras fins et pâles, te rapprochant. Tu as essayé de calmer ta respiration en écoutant son cœur battre.

« Chérie » soupira Bekah, caressant tes cheveux bruns, « Tu ne devrais pas faire tout ça, ce n'est pas sain. »

« Je ne peux pas m'en empêcher, Beks !m Tu t'es exclamé, t'éloignant pour regarder dans ses yeux bleus brillants, « Les professeurs disent que c'est utile mais ça me tue ! Et je ne peux pas ne pas le faire, je vais échouer. »

Tu as recommencé à sangloter et Rebekah a froncé les sourcils face au système scolaire. Oui, à son époque, les femmes étaient mariées et on leur disait de faire le ménage, mais ce n'était pas aussi effrayant et stressant. C'était simple.

« Je... je ne veux pas échouer, Beks, » tu as murmuré, « Les autres... ils comprennent ce que les professeurs disent alors que je ne peux pas. Je suis stupide. »

« Tu n'es pas stupide, Amour. » Elle déposa un baiser sur ton front. « Ils te pousse juste trop fort. Je suis sûre que s'ils avaient juste ralenti, tu comprendrais. »

« Personne d'autre n'a besoin de ralentir, » tu as crié, « Pourquoi suis-je le seule! »

« Je ne suis pas sûr, T/p. » soupira l'originel,
« mais je sais que tu es si aimante et douce, c'est pourquoi je t'aime. Regarde moi et mes frères, nous n'avons jamais reçu d'éducation et nous réussissons. »

« C'est parce que vous êtes des vampires, » tu fronça les sourcils, « Vous venez de forcer tout. »

Rebekah haussa les épaules, « Eh bien, tu es la petite amie d'un vampire, aussi cliché que cela puisse paraître, mais je vais m'assurer que tu n'auras jamais à lever le petit doigt. Tu réussiras toujours pour moi, chérie. »

Imagines Tome 3 (aucune commande)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant