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Les garçons étaient revenu. Je les avais suivit jusque dans la salle du conseil. Il y avait déjà Newt et Gally qui les attendait.

Thomas : On vient de trouver ça et je pense que ça peut nous aider à sortir d'ici. C'est une piste qu'il faudrait suivre.

Il avait donné la machine plutôt étrange à Newt. C'était un cylindre avec des fil électriques. 

Gally : Tu vois ce qu'il essaye de faire ? Il nous l'a met à l'envers. Il a violé plusieurs fois nos lois qui nous maintienne en vie et qui nous unis.

Gally : Il devrait être puni et sans oublier la nouvelle aussi.

Je déteste quand il m'appelle la nouvelle alors que ça fait quelques mois que je suis la.

Newt : C'est vrai. Ils vont passer une nuit sans manger. Et Après Thomas pourra devenir un coureur.

Gally : Pardon ! C'est n'importe quoi !

Il était parti de la salle en furi. J'allais le rattraper mais une main me pris le bras.

Minho : Laisse le.

Je me decrocha violemment de sa poigne et lui fit un regard noir. J'étais énervé contre lui. Pour m'avoir ignoré et de ne pas me laisser faire ce que je voulais.

Je couru pour rattraper Gally. Il était, comme à son habitude, parti dans la forêt.

Moi : Attend,Gally !

Il s'était arrêté net. Je me plaçais alors devant lui.

Gally : Qu'est ce qu'il y a encore la bleue ?

Moi : Je n'ai plus de prénom maintenant ?

Gally : Pourquoi faire ? Aller maintenant laisse moi.

Il m'énerve à agir de la sorte.

Gally : Si tu veux tout savoir. Je ne t'aime pas alors laisse moi maintenant.

Ma main, en une fraction de seconde, avait atteint la joue du garçon. Le claquement de ma paume contre sa peau venait resoné.

Puis je suis parti, le laissant la.

La nouvelle s'était réveillé. Elle avait grimpé le balcon. Je regardais la scène de loin. Ce qui était assez drôle car elle balançait toute sorte d'objets qu'elle avait sous la main. Elle est sûrement effrayé. Comme tout le monde l'était.

***

Chuck nous avait accompagné, moi et Thomas, au gnouf. La ou on allait passer la nuit.

J'essayais tant bien que mal de trouver une position correcte qui pourrait être un peu confortable. Mais dans un si petit espace et sur le sol même je pense que c'est peine perdu.

Après m'être callé dans une position. Mes yeux s'étaient fermé.

***

Thomas : Victoire, reveille toi !

Mon voisin était en train de me secouer. Il faisait encore nuit.

Moi : Oui ?

Thomas : Je pense que tu faisais un cauchemar. Tu étais en train de pleurer.

Je touchais mes joues avec mes doigts. Et en effet mes joues étaient humides.

Moi : Ah oui.

Je n'avais aucun souvenir de ce "cauchemar "

Thomas : Et si je peux me permettre tu répéter un prénom.

Moi : quel prénom ?

Thomas : Celui de notre cher bâtisseurs.

J'étais silencieuse.

Moi : Rien de grave. Ne t'inquiète pas. Mais merci de m'avoir réveillé.

***

Minho : Aller debout la dedans.

Ce réveil matinal était l'un de mes réveils préféré ! J'avais hâte de sortir de ce trou !

Minho : Avant de partir avec Thomas je voulais juste m'excuser Victoire. J'ai étais bête d'avoir agit comme ça.

Moi : C'est pas grave, ça n'a pas d'importance.

Il me prit dans ses bras et ce réconfort était la bienvenue en ce moment.

Après ça j'ai salué les garçons qui se dirigeaient vers les portes.

Quant à moi j'allais vers l'infirmerie. Je m'étais retrouvé nez à nez avec La nouvelle et Gally en train de discuter à côté du lit de Alby.

Ils s'étaient arrêtés de parler et me fixaient. Mais je continuais mes occupations au sein de l'infirmerie sans prêter attention. Après tout si il veut se la faire, c'est plus mon problème.

J'avais un pot en verre dans les mains. Mais je sentais que je n'allais pas bien. Mes jambes se flagolaient, ma vision était devenu trouble. J'avais entendu le vase se briser et puis plus rien.

Quelque temps plus tard, je ne saurais pas dire combien, je me réveilla dans un lit de l'infirmerie. Il faisait nuit. Ce qui signifié que j'étais la depuis un certain moment.

J'ai du être affaiblie à cause du labyrinthe mais aussi à la nuit passé au gnouf. Je n'avais pas mangé depuis un certain moment.

Un mouvement m'enleva de mes pensées.

Gally était là, endormie sur une chaise à côté de mon lit. Il gesticulait, ça ne devait pas être très confortable. Mais cela me surpris qu'il soit là. Il veillait à mon chevet.

Je lui secoua la jambe ce qui le fit grogner. Mais il se réveilla.

Gally : Qu'est ce qu'il y a ?

Sa voix était grave.

Moi : Tu peux retourner dans ton hamac.

Gally : Je reste la pour te surveiller.

Moi : Tu va pas rester sur cette chaise toute la nuit !

Gally : Pourquoi pas.

Qu'est ce qui peut être têtu parfois !

Je venait de me décaler dans le lit afin de lui laisser un peu de place. Son regard était hésitant. Alors je tapotait le matelas pour qu'il vienne.

Il venait de souffler mais il s'installa quand même à mes côtés. Son corps était chaud. Ses yeux, comme à son habitude, me fixaient.

Il s'allongea mais il prenait toute la place.

Moi : Tu prend toute la place !

Gally : C'est toi qui voulait que je sois la et maintenant tu te plaint.

Il m'attira vers lui. J'étais maintenant à moitié sur lui. Ses bras m'encerclaient. Je posais alors ma tête sur son torse. Et laissant ma main sur son ventre.

Son souffle, ses battements de cœur ainsi que le mouvement de son torse avait fait en sorte que je m'endorme plus vite. J'aurais même cru sentir un bisous sur mon front venant de sa part avant que mes yeux se ferment...

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DANGEROUS [ Gally ] Le LabyrintheOù les histoires vivent. Découvrez maintenant