DANGEROUS [ Gally ] Le Labyrinthe

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Enfin arrivé devant le gnouf, seulement Teresa était réveillé. Quant à Thomas, il avait sa tête sur les genoux de sa voisine.

Mais d'un seul coup il se leva brusquement. Il avait repris son souffle.

Thomas : Pourquoi on est dans le gnouf ?

Moi : Gally à pris le pouvoir.

Newt : Et vous allez être banni ce soir.

Thomas : Et vous faites rien ?

Minho : Il nous a laissé le choix, sois on le rejoins soit on fini banni avec vous.

Je sentais que Chuck qui était à côté de moi commençait à s'agiter.

Chuck : Et c'était débile de ta part de te piquer.

Thomas : Je sais mais tout le monde la laissé faire ?

Moi : Il a réussi à changer les opinions à propos de toi aux blocards en disant que c'était de ta faute.

Thomas : Il a pas totalement tort. Je faisais bien parti des personnes qui vous ont mis dans le bloc. Chaque mois un nom s'effaçait de nos registre et on vous regardait évoluer dans le bloc. D'ailleurs Teresa travaillait aussi pour eux.

Teresa : Quoi ? Ce n'est pas possible ! Pourquoi alors ils nous ont envoyé dans le labyrinthe ?

Newt : Ce n'est plus le problème maintenant, ce qui compte c'est qui on est aujourd'hui car les créateurs nous ont effacé la mémoire. Thomas tu a réussi à nous trouver une sortie alors continue tes efforts.

Thomas : Alby aurait du être parmi nous.

Newt : C'est pour ca que je te le demande, continue et sort nous d'ici. Alby aurait été d'accord avec moi.

Apres ce beau discours de Newt, les garçons allaient établir un plan d'évasion, ils sont donc parti. j'allais partir à mon tour mais Thomas m'interpella.

Thomas : Je t'ai vu aussi dans mes souvenirs Victoire. Mais c'est quelque chose que tu devra garder pour toi.

Moi : Vas y dis moi ?

Cela m'avais surprise de savoir que j'étais la aussi, avec les créateurs.

Thomas : Avant le labyrinthe tu n'étais pas avec Gally. Tu étais avec quelqu'un d'autre, une personne que tu connais bien.

Moi : Aller accouche ! Il faut que j'aille les aider.

Thomas : Tu sortais avec Minho.

Je restais la sans rien dire. Mais je repris mes esprits assez vite. Cette nouvelle m'avais choqué en effet ! Comment ne pas l'être !

Moi : Comme l'a dis Newt, ce qui compte c'est qui on est aujourd'hui. Et j'aime Gally maintenant. Minho est mon meilleur ami.

Thomas : Je comprend mais je voulais te le partager. Je ne voulais pas me sentir coupable de détenir toutes ces informations qui n'étaient même pas à moi, tu vois ?

Moi : Oui merci Thomas, oublions ça et faisons en sorte de sortir d'ici maintenant !

Puis je m'éloignais du gnouf. Je comprend mieux alors pourquoi je m'entends si bien avec Minho mais cela reste de l'amitié et rien d'autre. Peu importe ce qu'i s'est passé auparavant, mes sentiments ne sont plus les même à son égard.

Notre plus gros problème maintenant c'est d'établir un plan afin de nous enfuir du bloc. Et j'espérais au fond de moi que Gally change d'avis et puisse venir avec nous, avec moi.

***

Nous nous étions mis d'accord sur un plan de fuite. Que nous avions bien sur partagé à Thomas et Teresa. Chuck était chargé de rassembler nos affaires. Quant à moi on m'avait laissé faire ce que je voulais. 

j'ai donc était voir le garçon que j'aime. 

Il était là, à quelques mètres de moi. Il s'efforçait à reconstruire les bâtiments détruits. Ses muscles se contractaient à chacun de ses mouvements. Son corps était luisant à cause de ses efforts pour tout remettre en ordre. Il était beau. 

Il s'arrêta de travailler. En effet il venait de voir que je le fixais. Je ne pense pas être discrète non plus. Il posa tout ce qu'il avait dans les mains et venait à ma rencontre. 

Il passait ses bras autour de mes épaules. On se faisait un câlin.

Gally : Je me suis rendu compte que j'aurais pu te perdre la nuit quand les griffeurs sont venu. 

Moi : Mais je suis toujours là. 

Gally : C'est vrai et je ferai tout pour te protéger. 

Moi : Jusqu'à bannir nos amis ? 

Gally : Thomas et Teresa ne sont pas mes amis. 

Moi : Et tu va faire comment pour les autres nuits alors ? 

Gally : J'aviserais. 

Je voulais lui faire comprendre que sa logique avait une limite mais il était têtu. Il voulait vraiment rester ici. Car en sacrifiant mes amis ce soir , au maximum ça nous fera vivre un jour de plus. 

Gall: Bref. Je vois que tu à gardé mon pull depuis la dernière fois. 

Moi : C'est vrai, je peux te le rendre si tu veux.

Gally : Non garde le, il te va bien ! 

Ses yeux étaient encrés dans les miens. à quelques moment son regard glissait sur mes lèvres. Je pris alors les devants et déposa un baisers sur ses lèvres. Il n'attendait que ça. Ses mains étaient sur mes joues. 

Nos baisers et nos câlins étaient comme des aurevoirs pour moi. Je profitais de nos instants ensemble au maximum. 

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