DANGEROUS [ Gally ] Le Labyrinthe

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Au même moment. Pendant que Teresa et Thomas était au gnouf. Moi, Minho, Newt, Chuck, Frypan, Winston et d'autres encore attendaient Gally pour lui parler.

On était autour de lui.

Gally : Que je sois clair, sois vous êtes avec moi sois avec Thomas mais dans ce cas la vous finissez dans le Gnouf. Puis bannis.

Moi : Comment ça bannis ?

Gally : Demain soir je vais bannir Thomas et Teresa pour le bien de nous tous.

Minho : Comment ça pour notre bien ?

Il était choqué de ces propos et ça se voyait à cause de la grimace qu'il venait d'afficher sur son visage. Et je le comprend, Gally faisait n'importe quoi. On ne peut plus rester comme ça.

Gally : Depuis qu'ils sont arrivés dans bloc tout part en vrille et je me dis que si on donne directement aux griffeurs ce qu'ils veulent, on sera en sécurité.

Newt : Ok mais pour combien de jours ? un tout au plus.

Gally : Vous faites ce que vous voulez mais je vous aurais prévenu.

Puis il partit de son coté.

Le groupe de garçons se dissipa. Je regardais mes amis, on était tous du même avis. Mais cela voulais aussi dire que je vais devoir faire un choix, et pas l'un des plus facile.

***

Les garçons étaient partis se coucher, malgré qu'il reste peu de temps pour dormir. Car oui la nuit avait était longue mais si courte à la fois. Quant à moi, je n'arrivais pas à fermer l'œil. Je m'étais alors dirigé vers le balcon de bois. Qui est d'ailleurs l'une des seules constructions n'ayant pas été détruite.

J'étais appuyé contre la rambarde. Le grincement du bois m'indiquait que quelqu'un venait de monter aussi. Puis deux bras venant de derriere glissa sur mes hanches. Ses mains s'etaient rejoins vers mon ventre. Il me tira vers lui, j'avais alors mon dos collé à son torse.

Gally : Tu va bien ?

Moi : Mieux maintenant, et toi ?

Il posa sa tête sur mon épaule. Je sentais son souffle sur mon cou.

Gally : Tout ira mieux demain soir.

Il venait de m'embrasser dans le cou mais mon corps s'était crispé. Mais ce qu'il venait de dire me gênais. Je ne pense toujours pas que ce soit la solution de bannir Thomas et Theresa.

Moi : Tu sais Gally, je ne pense pas que...

Gally : S'il te plait, évitons d'en parler Victoire. Je n'ai pas envie de m'énerver.

Il avait sentit cette tension. Et je ne voulais pas non plus être en colère. Encore moins après ce qu'il c'était passé.

Il commençait à avoir un petit vent qui venait déplacer l'odeur de fumée laissé par le feu qui avait détruit certain habitat du bloc. Ce vent était plutôt frais. J'avais froid.

Gally enleva son étreinte, je me tourna alors vers lui. J'étais en face de lui et il venait d'enlever son gilet. Il n'avait plus qu'un t-shirt.

Gally : Tient tu en plus besoin que moi.

Il venait de passer sa veste sur mes épaules.

Moi : merci. dis-je timidement.

D'un seul coup mes joues venaient de chauffer. J'en suis sur, je devais être aussi rouge que les tomates du jardins de Newt !

Je m'étais alors rapproché de lui, je me mis sur la pointe des pieds afin de me donner plus de hauteur et je l'embrassa sur les lèvres. Il répondait à mon baisers tout en posant ses mains sur mon visage.

Gally : Je t'aime Victoire.

Moi : Je t'aime aussi Gally.

***

Le matin je m'étais réveillé sur le balcon dans les bras de mon compagnon. Nous nous sommes endormi peu après cette déclaration. J'avais toujours son gilet sur les épaules.

Je m'étais dégagée de son étreinte tout en faisant attention de ne pas le réveiller. Puis je descendais de l'estrade et alla vers la cuisine.

Le bâtiment de la cuisine était l'un des seul bâtiment n'ayant pas été détruit. Ce qui est une bonne nouvelle. Nous allons pouvoir nous restaurer !

Newt, Minho et Chuck étaient déjà réveillé. Je m'installa à côté d'eux pour le petit déjeuner. Minho avait l'air énervé.

Minho : Sympa ton nouveau pull.

Cette phrase avait un ton ironique. Ils avaient du s'apercevoir que j'avais passé la nuit avec lui.

Moi : Tu veux me dire quelque chose Minho ?

Minho : Oui, de quel côté tu est ?

Moi : Du côté qu'il pourra nous permettre de sortir d'ici.

Il avait retrouvé le sourire. En effet, je sais ce que je veux et malheureusement ce n'est pas ce que veux Gally.

Chuck : J'avais peur que tu ne veuille plus de nous.

Moi : J'ai des sentiments pour Gally c'est sur. Mais je reste tout d'abord votre amie. Et j'ai aussi mon mot à dire. Je ne vais pas attendre que quelqu'un me dicte ce que j'ai à faire quand même !

Minho leva les mains en signe de paix. Le déjeuner se déroulait tranquillement.
Je les considéré comme ma famille et je ne voulais pas me séparer d'eux.

Newt : Ça vous dis d'aller voir si Thomas s'est réveillé ?

Chuck : Ouai ça pourrais être une bonne idée !!

Nous débarrassons alors nos assiettes et partons vers le gnouf.

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