𝒜𝓁𝓁ℯ𝓇 𝓋ℴ𝓊𝓈 𝒻𝒶𝒾𝓇ℯ 𝒻ℴ𝓊𝓉𝓇ℯ

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Sa baguette tombe au sol mais elle l'a ramassé sans aucun soucis

- stupefix !

- protego!

Je me protégea juste à temps mais visiblement pas assez vite parce que l'intensité du sort me plaque quand même contre le mur. Je suis pas paralysé par le sort c'est déjà pas mal. Mais j'ai du mal à respirer pendant quelques secondes. Le souffle coupé. Je sens mon dos se prendre un gros coup et ma tête cogne à nouveau, j'ai la vision trouble. Mais il est hors de question que j'abandonne. On n'insulte pas mes proche et on leur fait pas de mal en ma présence.

Je me relève donc. Avec difficulté

- tu devrais abandonner maintenant.

- si je ne me trompe pas. Les effets ne changent pas, peut importe la quantité que l'on a sur nous n'est-ce pas ?

- biens sur mais ça ne change pas les choses. Tu es fichu. Abandonne.

Donc.. techniquement, je risque d'entrer en convulsions dès que je toucherais cette substance. Mais. Ça ne signifie pas que je ne pourrais pas bouger par la suite. Les autres ne convulse plus depuis quelques minutes. Alors peut-être que.. en plus j'ai mes chaussures. Ça retardera le processus assez longtemps pour que je m'avance jusqu'à elle .

Je n'ai rien d'autre à perdre de toute façon.

- je vais tous leur faire croire que tu es celle qui a installé cette plante ici, les professeurs n'en douteront même pas. Tu savais ce qu'était la plante et tous le monde sais que tu cachais ta réelle personnalité au monde entier. J'ai hâte de voir leur réaction quand...

J'avais posé un pied dans la substance

- qu'est-ce que tu fais ?

- je compte pas abandonner malheureusement.

Je continue d'avancer, essayant de ne pas glisser et de ne pas tomber mais plus je me rapprocher d'elle plus je sentait le liquide monté et très rapidement je sentis qu'il transperçait mes chaussettes. Je devais continuer sans y réfléchir. J'allais arriver devant elle quand elle se repris enfin et me jeta un sortilège de confusion que j'évite de peu.

- cest impossible. C'est impossible! Comment peut tu être encore debout ! Je t'ai détruit

- me détruire ? Mes amis me reconstruiront.

Je la vois lancer plusieurs sort mais je l'es évite avec plus au moin de difficulté. Comme si j'avais toujours su quoi faire. C'est comme s'entraîner au tir à l'arc. Il suffit de connaître sa cible et de se lancer. Ma cible a moi est bien différente de ce qu'elle semble pensé. Ce n'est pas elle que j'essaie d'atteindre

Aller.. quelque pas de plus.. juste assez. Non c'est trop tard. Tous mes muscles se bloque je sens mon coeur s'arrêter quelque seconde et je sens tout les spasmes me maintenir au sol, mes doigt se refermant dans le vide et tremblant. La douleur est horrible. J'ai l'impression que ma peau souhaite se détacher du reste de mon corp  mais qu'à l'intervalle elle tente de se transformer en pierre. Le souffle court j'entends un rire hystérique.

- cest finit. Tu ne peux plus rien faire à présent.

Non. Ça peut pas se finir comme ça. J'ai tellement de chose à faire. À apprendre, à vivre.

- laisse tous tomber pour de bon. Tous les autres on déjà abandonner. Ne rend pas les choses plus douloureuses pour toi.

- aller.. vous... faire... foutre...

Je sens les spasmes diminuer, la douleur est en train de s'estomper. Je sais que je n'aurais pas assez de force pour continuer.

- qu'est-ce que tu as dit?

Je pouvais entendre un mélange d'euphorie et de surprise se mêler à sa voix.

- je vous... dit.. d'aller vous... faire foutre.

Je retrouve petit à petit l'utilisation de mes mains.

- petite insolante

La vision claire, je regarde mes main ( et le reste de mon corp) recouverte de cette substance rouge.

- j'ai passé toute ma vie a essayer de plaire à des personnes qui en on rien a faire de moi... j'ai pas abandonné une seule fois

Je pose mes mains sur le sol recouvert de souffre du diable et me relève doucement. Me mettre a genoux est plus douloureux que prévu

- alors.. aller vous faire foutre si vous pensez que me décourager vas changer les choses.j'ai jamais abandonné et je le ferai pas pour vous.

Quand je sens mes jambes correctement je tante de me relever

- comment peut tu tenir debout! C'est une substance mortelle !

- elle met énormément de temps à tué.. j'ai le temps de vous faire mal.

Elle s'embla énervé et arriva devant moi.

Je remarqua alors avec étonnement que le liquide visqueux ne l'a touché pas. Comme si elle s'écarter en sa présence. J'était donc debout , elle, fasse à moi.

- tu n'es qu'une gamine de onze ans.

- ouais.. mais il parai que je suis aussi un monstre.

Utilisant toute mes force je lui met un coup de poings à la hauteur que j'atteignais, son ventre et pendant qu'elle chancelle en arrière j'en profite pour récupérer ma baguette.

- stupefix!

Elle est envoyé plus loin. Contre le mur .

Je dois récupérer là pétales quel as dans la main avant d'entrer récupérer la plante et l'apporter a un professeur.

Rassemblant le peu d'énergie que j'ai je cours vers elle, et tante de récupérer le pétale mais elle m'attrape par les bras et je me debat de toute mes force

- cest la fin pour toi! Si tu ne veux pas mourir touché par cette plante je vais devoir utiliser une autre technique.

Elle tenta d'attraper sa baguettes mais je la mordit juste à temps

Elle hurla de douleur. Et me mît un coup jusqu'à ce que ma tête heurte le mur

𝘼𝙪 𝙘œ𝙪𝙧 𝙙𝙚 𝙥𝙤𝙪𝙙𝙡𝙖𝙧𝙙 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant